vendredi 6 novembre 2015

Dow Jones - Nasdaq -Bourse - Forex - Investir.fr: Infos de la nuit du 5 au 6 novembre 2015

La Bourse de Tokyo en hausse de près de 0,4% à la mi-séance

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La Bourse de Tokyo en hausse de près de 0,4% à la mi-séance | Crédits photo : ReutersLa Bourse de Tokyo en hausse de près de 0,4% à la mi-séance | Crédits photo : Reuters
TOKYO, 6 novembre (Reuters) - La Bourse de Tokyo était en hausse de près de 0,4% vendredi à la mi-séance, la faiblesse du yen permettant au Nikkei de se maintenir au-dessus des 19.000 points et se diriger vers une troisième hausse hebdomaire de suite.
Vers 3h40 GMT, l'indice Nikkei gagnait 0,36%, soit 68,30 points, à 19.184,71. A quelques heures de la clôture les gains sur l'ensemble de la semaine sont de l'ordre de 0,65%, ce qui porte de quelque 10% l'avancée depuis le début de l'année.
L'indice TOPIX, plus large, prend 2,70 points, soit 0,17%, 1.557,80.
L'équipementier automobile Takata perd encore plus de 9% -- après avoir déjà plongé de 25,2% jeudi et de 13,4% mercredi -- toujours sous le coup de l'annonce des constructeus de ne plus se fournir auprès de lui pour leurs airbags. (Joshua Hunt, Benoit Van Overstraeten pour le service français)

USA : Le Dow Jones cède 0,02%, le Nasdaq cède 0,25%

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USA : Le Dow Jones cède 0,02%, le Nasdaq cède 0,25% | Crédits photo : Ana Paula Hirama / Creative CommonsUSA : Le Dow Jones cède 0,02%, le Nasdaq cède 0,25% | Crédits photo : Ana Paula Hirama / Creative Commons
5 novembre (Reuters) - La Bourse de New York a fini sans tendance jeudi à la veille des chiffres mensuels de l'emploi auxEtats-Unis, le Dow Jones cédant 3,28 points ou 0,02% à 17.864,30.
Le Standard & Poor's-500, plus large, a abandonné 2,34 points, soit 0,11%, à 2.099,97 et le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 14,74 points (0,29%) à 5.127,74.
(Ces données sont susceptibles de varier encore légèrement).

La Chine a déposé une demande d'adhésion à la Berd

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LONDRES, 5 novembre (Reuters) - La Banque européenne de reconstruction et de développement (Berd) a annoncé jeudi avoir reçu une demande d'adhésion de la Chine, sur laquelle se prononceront ses actionnaires en décembre.
Le conseil d'administration va vraisemblablement recommander la semaine prochaine aux actionnaires de se prononcer en faveur de l'entrée de la Chine, qui prendrait ainsi une participation symbolique à tous points de vue, ont dit des sources au fait du dossier.
"La Chine a déposé une demande formelle d'adhésion à la Berd il y a quelques jours", a déclaré Hans Peter Lankes, économiste en chef par intérim de la Berd.
Le conseil d'administration est dominé par les pays du G7.
En mai, la Berd s'était dit disposée à coopérer sur des projets avec la Chine et sa nouvelle Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (AIIB).
La Berd, créée en 1991 pour soutenir les anciens Etats communistes d'Europe centrale dans leur transition vers une économie de marché, a vu ces dernières années son mandat élargi à certaines parties du bassin méditerranéen et de l'Asie centrale, et elle exerce à présent ses activités dans plus de 30 pays.
L'institution compte 64 pays actionnaires aux côtés de l'Union européenne et de la Banque européenne d'investissement.
Selon un responsable de la Berd, la Chine a sondé la banque en août dernier et a déposé sa demande officielle d'adhésion après la récente visite du président Xi Jingping à Londres, où se trouve le siège de la banque.
"Pourquoi cette demande ? C'est une question qu'il vous faudra poser aux autorités chinoises", a-t-il dit. "Est-ce un lieu où l'Europe et la Chine et la Berd peuvent travailler sur l'intégration et la connectivité de l'Europe et de la Chine ? Oui, certainement."
La Chine, en particulier, devrait s'intéresser aux activités de la Berd au Kazakhstan voisin, où la banque s'apprête à investir un milliard d'euros dans les prochaines années pour aider au projet de "route de la soie" cher à Pékin. (Marc Jones, Véronique Tison pour le service français)

La Fed a réussi à modifier les anticipations du marché-Lockhart

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La Fed a réussi à modifier les anticipations du marché-Lockhart | Crédits photo : Fed AtlantaLa Fed a réussi à modifier les anticipations du marché-Lockhart | Crédits photo : Fed Atlanta
5 novembre (Reuters) - La Réserve fédérale cherchait, dans son dernier communiqué de politique monétaire, à convaincre les investisseurs de la possibilité d'une hausse de taux en décembre et elle y est manifestement parvenue, a déclaré jeudi Dennis Lockhart, président de l'antenne d'Atlanta de la banque centrale.
"A l'entame de cette réunion (d'octobre), j'estimais qu'un bon résultat serait que les anticipations s'alignent avec l'opinion qu'un 'lift-off' à notre prochaine réunion de décembre soit une possibilité, mais non une certitude", a-t-il déclaré selon le texte d'un discours devant être lu à une conférence n Suisse.
"Je suis satisfait de voir que cela a été accompli."
La décision finale sur une première hausse de taux depuis dix ans - qualifiée de "décollage" (lift-off) par les Américains - reste tributaire des données économiques des prochaines semaines et aussi de la survenue éventuelle de nouveaux risques, comme cela avait été le cas en août quand les turbulences sur les marchés mondiaux ont amené la Fed à couper court aux anticipations de resserrement à sa réunion de septembre, a souligné Dennis Lockhart.
A son avis toutefois, les arguments en faveur d'un resserrement monétaire ne feront que se renforcer d'ici la réunion de la mi-décembre.
"A ce stade, mon analyse est que l'économie américaine est probablement dans une phase de croissance supérieure au potentiel, avec une poursuite de l'amélioration du marché du travail et une tendance inflationniste sous-jacente qui ne s'éloigne pas de l'objectif (de 2% de la Fed) même si elle n'évolue pas non plus rapidement dans cette direction", a-t-il dit. "Je pense que les arguments en faveur d'un lift-off continueront de se renforcer."
Une fois le mouvement enclenché, le rythme de hausse de taux sera certainement "très graduel", a-t-il ajouté, faisant écho aux propos tenus la veille par la présidente de la FedJanet Yellen. (Howard Schneider, Véronique Tison pour le service français)

La Grèce passe une série de lois dans l'espoir d'une tranche d'aide

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ATHENES, 6 novembre (Reuters) - Le parlement grec a approuvé vendredi une série de lois prescrites par les créanciers internationaux du pays, trois jours avant une réunion des ministres des Finances de la zone euro qui déterminera notamment si Athènes est en droit de recevoir une nouvelle tranche d'aide.
La Grèce doit passer un ensemble de mesures de réforme pour passer le test d'une première évaluation du respect des conditions attachées au versement du troisième plan d'aide de 86 milliards d'euros, défini cet été.
Une majorité des 300 élus du parlement grec a approuvé une loi qui améliore le calcul des pensions, oblige la Grèce à respecter les règles européennes en matière d'efficacité énergétique, lève les obstacles à la privatisation du plus grand port du pays et supprime des rabais fiscaux pour les agriculteurs.
Le vote de ce texte était une étape importante en vue du possible déblocage de deux milliards d'euros d'aide, une sous-tranche d'un premier versement de 26 milliards d'euros.
Mais la Grèce et ses créanciers n'ont toujours pas trouvé un terrain d'entente sur la manière de régler efficacement le problème des créances toxiques des banques grecques. (Renee Maltezou et Lefteris Papadimas, Benoit Van Overstraeten pour le service français)

 

USA 2016-Christie et Huckabee pas invités au quatrième débat républicain

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WASHINGTON, 6 novembre (Reuters) - Le gouverneur du New Jersey Chris Christie et l'ancien gouverneur de l'Arkansas Mike Huckabee n'ont pas été retenus pour le prochain grand débat télévisé, programmé mardi, entre candidats à l'investiture républicaine pour la présidentielle de 2016 aux Etats-Unis, a annoncé jeudi la chaîne de télévision Fox Business.
Les deux hommes avaient été invités aux trois précédents débats de ce type organisés à la télévision. Mais ils n'ont pas rempli les critères de participation fixés par la chaîne câblée, à savoir une moyenne d'au moins 2,5% d'intentions de vote au vu des quatre derniers sondages.
Chris Christie et Mike Huckabee rejoindront dont le gouverneur de Louisiane Bobby Jindal et l'ancien sénateur de Pennsylvanie Rick Santorum dans le débat "mineur", diffusé à une heure de moins grande écoute. Pour y participer, il faut afficher une moyenne d'intentions de vote d'au moins 1%.
Deux candidats républicains qui avaient précédemment participé à ces débats mineurs, le sénateur de Caroline du Sud Lindsey Graham et l'ancien gouverneur de New York George Pataki, partagent désormais le sort de l'ancien gouverneur de Virginie Jim Gilmore, de n'être invités à aucun des deux débats faute d'avoir marqué suffisamment de points dans les sondages.
Les huit candidats choisis par Fox Business pour son débat principal sont l'homme d'affaires Donald Trump, toujours en tête dans les sondages, le chirurgien à la retraite Ben Carson, le sénateur de Floride Marco Rubio, le sénateur du Texas Ted Cruz, l'ancien gouverneur de Floride Jeb Bush, l'ancienne directrice générale de Hewlett-Packard Carly Fiorina, le gouverneur de l'Ohio John Kasich et le sénateur du Kentucky Rand Paul.
Lors du précédent "principal" débat républicain télévisé, il y avait 10 candidats sur le plateau.
"Peu importe la scène, que l'on me donne une estrade et je serais là pour parler des vrais problèmes", a déclaré Chris Christie dans un tweet.
De son côté, Mike Huckabee, a déclaré que "ni les experts ni la presse allaient décider de l'élection, mais les citoyens".

Le prochain débat répulicain, prévu pour durer deux heures, sera diffusé mercredi à 02h00 GMT, précédé de trois heures par le débat "mineur". (Peter Cooney, Benoît Van Overstraeten pour le service français)

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