jeudi 12 novembre 2015

Bourse - BCE - Dow Jones - pétrole - Investir.fr: Infos de la nuit du 11 au 12 novembre 2015


La Bourse de Tokyo proche de l'équilibre à la mi-séance

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https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEg3WKL_gPCP8nFHfbbnpv49GF5MQhwte49wc2_29U9lFfSqbRl351NuB4HApaI_VTmF0JQe3D6PHnPAYJck1BzGT7Qhzy9h5em2Kftp_4xKApPu7_w9T31Tkcdthn5nKLtNkNsqMJZ7jCbKaQHSqfjBXItnGTvxBRo_tjBPaMNarUcO_IwMDWEOm2nGoGz55E_ERQ=La Bourse de Tokyo proche de l’équilibre à la mi-séance | Crédits photo : Reuters
TOKYO, 12 novembre (Reuters) - La Bourse de Tokyo a effacé jeudi ses pertes pour évoluer à l'équilibre à mi-séance dans des volumes peu étoffés
L'indice Nikkei, qui a ouvert en légère baisse, prend 0,03% à 19.697,04 points vers 03h10 GMT. Le Topix, plus large, recule au même moment de 0,03%.
L'indice MSCI des valeurs de la région Asie-Pacifique hors Japon s'est retourné à la hausse et gagne 0,73%
Les investisseurs ont appris avant l'ouverture que les commandes de machines par l'industrie japonaise avaient augmenté de 7,5% en septembre, leur première progression en quatre mois.
(Joshua Hunt; Patrick Vignal pour le service français)

BCE-Le débat sur un renforcement du QE est ouvert-Coeuré

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PARIS, 11 novembre (Reuters) - La Banque centrale européenne (BCE) n'a encore pris aucune décision quant à un renforcement de sa politique d'assouplissement quantitatif et le débat est ouvert, a déclaré Benoît Coeuré, membre du directoire de l'institution.
Dans une interview à paraître jeudi dans Le Figaro, il indique en outre que les décisions de la Réserve fédérale américaine, qui pourrait relever ses taux le mois prochain, n'auront "aucun impact" sur les choix de la BCE lors de la prochaine réunion de son conseil des gouverneurs début décembre.
"La décision n'est pas prise. Le débat est ouvert", a dit Benoît Coeuré à propos d'un renforcement de la politique monétaire très accommodante de la BCE.
"La reprise de la zone euro est sur les rails, elle accélère, mais elle reste faible, tandis que les anticipations d'inflation cessent de progresser et que l'inflation sous-jacente plafonne", a-t-il relevé, ajoutant :
"La question que nous nous posons actuellement est la suivante: certains facteurs spécifiques comme la baisse des prix des matières premières sont-ils transitoires? Ou bien vont-ils empêcher durablement le retour de l'inflation vers 2%? Si la réponse à cette deuxième question devait être positive, alors des mesures supplémentaires seraient prises".
Il a rappelé que la BCE prendrait sa décision sur la base des dernières projections économiques pour la zone euro dont elle disposera en décembre.
"Nous sommes conscients que les taux bas ont aussi des effets négatifs, notamment sur l'épargne, et pourraient poser des risques pour la stabilité financière s'ils restaient bas pendant trop longtemps", a encore déclaré le responsable de la BCE.
"Nous ne souhaitons pas que cette politique monétaire dure trop longtemps mais nous l'appliquerons aussi longtemps que nécessaire compte tenu de notre mandat", a-t-il assuré.
Au passage, il a déclaré sentir, chez certains Etats, "la tentation de s'en remettre totalement à la BCE" et de ne rien faire pour favoriser une relance de la croissance.
"Si toute la politique de croissance en zone euro repose sur les épaules de la BCE, cela va mal se terminer", a indiqué Benoît Coeuré en appelant les gouvernements à mettre en oeuvre les réformes nécessaires pour consolider la croissance et afficher une politique budgétaire crédible.
Interrogé sur la situation en Grèce, il a estimé qu'"une dynamique positive semble s'être enclenchée depuis le mois de juillet et elle commence à porter ses fruits."
"Les taux d'intérêt ont baissé et l'argent revient dans les banques grecques. Et cela va s'accélérer avec la recapitalisation des banques qui doit intervenir avant la fin de l'année. Mais ce ne sera pas facile", conclut-il. (Yann Le Guernigou, édité par Juliette Rouillon)

USA : Le Dow Jones et le Nasdaq en baisse de 0,32%

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https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEiM-N8ITbAt6GfL00BcaSn5RVcGJeQlWmCVjgYkVd85JMK1_mbbPHAD8mvvH3t0ToiWtFT74t36HjZosJc8ymEPOh_kMPXyUdgvZQ6rBcS0Z5O93Jcq7bEJEQmTJE_ETYeuU3biiPXI1mWAzWzzFNR1veRZ4ybCYkyBNAGEU3XoFdDl4H4rA0jDHAJyv_50KCk=USA : Le Dow Jones et le Nasdaq en baisse de 0,32% | Crédits photo : Donald R. Swartz / Shutterstock.com
NEW YORK, 11 novembre (Reuters) - La Bourse de New York a terminé en légère baisse mercredi, le recul du pétrole ayant pesé sur les valeurs de l'énergie et les résultats décevants de Macy's sur le secteur de la distribution.
L'indice Dow Jones a reculé de 56,76 points, soit 0,32%, à 17.701,45 points.
Le S&P-500, plus large, a perdu 6,66 points, soit 0,32% également, à 2.075,06 points.
Le Nasdaq Composite a cédé 16,16 points (-0,32% également) à 5.067,09 points.
(Ces données sont susceptibles de varier encore légèrement).

Le pétrole termine en baisse de 3% à New York

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NEW YORK, 11 novembre (Reuters) - Les cours du pétrole ont terminé en forte baisse mercredi sur le marché new-yorkais Nymex, à leurs plus bas depuis mi-septembre, dans la crainte que les chiffres de l'agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) ne montrent une septième semaine d'affilée de hausse des stocks de brut aux Etats-Unis.
L'EIA doit publier jeudi ses statistiques hebdomadaires sur les stocks de pétrole auxEtats-Unis, un jour plus tard que d'habitude, en raison de Veterans Day, le 11 novembre américain.
Selon les chiffres publiés mardi soir par l'institut privé, American Petroleum Institute, les stocks de brut aux Etats-Unis ont augmenté de 6,3 millions de barils la semaine dernière, alors que les analystes interrogés par Reuters attendaient une hausse nettement inférieure, d'environ un million de barils.
Le contrat décembre sur le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a chuté de 1,28 dollar, soit 2,90%, à 42,93 dollars le baril.
Au moment de la clôture du Nymex, le Brent abandonnait 1,62 dollar, soit 3,44%, à 45,81 dollars.
Les cours du pétrole ont baissé au cours de cinq des six dernières séances en raison de la hausse des stocks américains.

EXCLUSIF-Les collectivités locales à la rescousse de la BCE?

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par John O'Donnell
FRANCFORT, 11 novembre (Reuters) - La Banque centrale européenne (BCE) étudie l'opportunité de racheter des obligations émises par des villes comme Paris ou des régions telles que la Bavière, selon des sources au fait d'un éventuel élargissement de son programme d'assouplissement quantitatif (QE).
L'idée de reprendre des emprunts des collectivités locales pourrait se matérialiser prochainement mais pas dès la prochaine réunion de politique monétaire de décembre, selon l'une des sources, plutôt en mars de l'année prochaine.
La BCE s'est refusé à tout commentaire.
Les rachats effectués par la BCE dans le cadre de son programme QE lancé en mars dernier sont censés se concentrer sur les obligations souveraines mais la croissance peinant à repartir en zone euro, l'institut d'émission réfléchit à d'autres moyens de la relancer ainsi que l'inflation.
C'est pourquoi, dans la perspective de sa prochaine réunion de politique monétaire le 3 décembre, les responsables de la BCE se penchent sur l'idée d'étendre les rachats à la dette régionale.
"On a de gros marchés, comme l'Espagne et l'Italie, et la France a elle aussi un marché bien développé", a expliqué l'une des sources.
L'encours des emprunts émis par des villes ou des régions européennes atteint presque les 500 milliards de dollars (466 milliards d'euros), selon des données de Thomson Reuters IFR. Les régions ont placé pour plus de 76 milliards de dollars d'obligations sur les 12 derniers mois.
La Ville de Paris, par exemple, a emprunté quatre milliards d'euros au total par ce biais-là. Elle a placé récemment pour 300 millions d'euros d'obligations.
La dette régionale est habituellement moins bien notée que la dette souveraine et son marché est morcelé en Europe, avec beaucoup de petites émissions. "Certaines villes d'Espagne et d'Italie sont fauchées mais une ville sera toujours là", a poursuivi la source. "Il y aura toujours quelqu'un pour payer les dettes; elles ont l'appui de l'Etat et elles peuvent lever des impôts".

LES LÄNDER DOPÉS, ESPAGNE ET ITALIE RÉVEILLÉES
Une autre source a confirmé que racheter de la dette régionale ou locale sur le marché secondaire était une hypothèse de travail, attestant aussi du fait que les possibilités de choix de la BCE sont limitées.
La dette des entreprises, par exemple, est très recherchée et donc difficile à acheter. Se fournir en titres directement en Bourse serait mal vu en raison du risque afférent. Outre de la dette souveraine, la BCE rachète aussi des obligations sécurisées et des actifs titrisés (ABS).
Les Länder allemands tireraient tout particulièrement profit d'un QE étendu à ce type de valeurs mobilières. Ces derniers ont déjà placé pour des centaines de milliards d'euros d'obligations et ils dominent ce marché où, du coup, cela leur reviendrait encore moins cher d'emprunter.
Elargir la gamme des titres rachetés par la BCE serait aussi un coup de pouce donné aux marchés espagnol et italien, qui manquent d'entrain. Toutefois, la dette régionale compte dans la dette globale d'un pays et les autorités veillent en principe à ce qu'elle ne gonfle pas trop.
Le président de la BCE Mario Draghi espère, dans les semaines qui viennent, se rallier la majorité du Conseil des gouverneurs pour de nouvelles mesures de relance de lazone euro. De ce point de vue, la Bundesbank, qui voit d'un très mauvais oeil le recours à la planche à billets, accepterait peut-être plus facilement le principe de racheter de la dette locale.
Le QE reposant sur la taille relative des pays de la zone euro, c'est Allemagne qui récupère le plus d'obligations et certains analystes prédisent qu'elle risque de se retrouver à cours de titres à racheter pour des questions de rendement et mettre en jeu des obligations régionales pourrait résoudre la question. (Avec Jon Penner à Londres, Wilfrid Exbrayat pour le service français, édité par Véronique Tison)

CREDIT AGRICOLE : L'introduction en Bourse d'Amundi fixée à 45 euros par action

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PARIS, 11 novembre (Reuters) - Amundi a annoncé mercredi que son introduction en Bourse se ferait au prix de 45 euros par action, soit plutôt dans la partie basse de la fourchette indicative préalablement fixée entre 42 euros et 52,50 euros par titre.
Sur la base de ce prix, la filiale commune de gestion d'actifs du Crédit agricole est valorisée à environ 7,5 milliards d'euros.
La première cotation d'Amundi s'effectuera jeudi.
Selon les données Thomson Reuters, cette mise sur le marché est, en valorisation, la plus importante IPO sur le marché français depuis l'éclatement de la crise financière en 2008. Une source proche de l'entreprise avait indiqué mardi à Reuters que la fourchette de prix avait été resserrée à 43-45 euros. (Jean-Michel Belot)

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