Le
pétrole se ressaisit en Asie
Singapour - Le pétrole a rebondi mercredi en Asie après son
plongeon de la veille, mais ce répit ne devrait pas durer selon les analystes
en raison de l'excès d'offre.
Les investisseurs attendent en outre avec nervosité les chiffres hebdomadaires des réserves
américaines de brut, attendus mercredi.
Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de light
sweet crude (WTI) pour livraison en mars gagnait 54 cents à 28,48 dollars.
Le baril de Brent de la mer du Nord,
la référence européenne du brut, pour livraison en avril, prenait quant à lui
72 cents, à 31,04 dollars.
Après avoir déjà perdu plus d'un dollar la veille, le cours
du WTI avait cédé mardi 1,75 dollar à 27,94 dollars sur le New York Mercantile
Exchange (Nymex).
A Londres, le Brent de la mer du Nord a perdu mardi 2,53
dollars à 30,32 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
En cause, des rapports mensuels de l'Agence internationale de
l'Energie (AIE) et du Département américain de l'Energie (DoE), tous deux sceptiques sur un rebond du marché.
Daniel Ang, analyste chez Phillip Futures, a estimé que le
rebond de mercredi était en partie dû à la réouverture de certains marchés
régionaux après la pause du Nouvel An chinois.
Les investisseurs chinois reviennent
soutenir le marché après les fêtes, a-t-il dit à l'AFP. Ils achètent du brut à
bon prix.
Mais ce rebond ne durera pas, selon M. Ang, qui prévoit que
le DoE annoncera mercredi une nouvelle hausse des réserves américaines de brut,
ce qui est interprété comme le signe d'une baisse de la demande aux Etats-Unis,
ce qui, traditionnellement, fait baisser les prix.
Les fondamentaux sont toujours les mêmes, a expliqué M. Ang.
L'or noir a perdu 70% de sa valeur depuis juillet 2014 en
raison de la conjonction d'une production excédentaire et du ralentissement de
la demande mondiale, notamment de la Chine.
mba/jac/jr
INTERCONTINENTALEXCHANGE
GROUP
(©AFP / 10 février 2016 05h37)
Bourse de Tokyo: le Nikkei chute de plus de 3,7% en séance
Tokyo - L'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo chutait encore
de plus de 3,7% mercredi en séance, rattrapé par le yen qui est remonté face au
dollar, servant de valeur refuge face aux inquiétudes pour l'économie mondiale.
Une heure et demie avant la fermeture du marché, le Nikkei
des 225 valeurs vedettes lâchait 602,86 points (-3,75%) à 15.482,62 points. Il
avait déjà dévissé de 5,40% mardi et n'était pas tombé sous 16.000 points
depuis octobre 2014.
L'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau
abandonnait pour sa part 3,78% à 1.254,96 points.
Sur le volet des changes, le dollar est retombé nettement
sous les 115 yens, à 114,38 yens (contre 115,14 yens mercredi à l'ouverture),
et l'euro a décliné à 129,20 yens (contre 130 yens).
Les Bourses européennes et asiatiques ont continué à baisser
mardi déprimées comme la veille par les doutes sur le secteur bancaire et les
craintes sur
l'économie mondiale.
(©AFP / 10 février 2016 05h37)
Wall Street termine
proche de l'équilibre
mercredi
10 février 2016 06h00
(Répétition sans
changement d'une dépêche transmise mardi)
* Le Dow perd 0,08%, Le
S&P-500 0,07%, le Nasdaq 0,35%
* L'énergie recule encore
dans un marché nerveux
NEW YORK, 10 février
(Reuters) - La Bourse de New York a ralenti mardi son mouvement de repli grâce
à un sursaut en fin de séance des valeurs biotechnologiques et du secteur des
matériaux pour terminer proche de l'équilibre.
Gilead et Allergan ont
contribué au redressement des indices en prenant respectivement 2,33% et 2,27%.
La séance, très volatile,
a été marqué par une nouvelle chute des valeurs de l'énergie dans le sillage
d'un plongeon de près de 6% des cours du brut léger américain. L'indice du
secteur a abandonné 2,47%.
Le secteur financier, très
touché lundi dans un climat d'aversion généralisée au risque, a en revanche
limité la casse, n'abandonnant que 0,16%.
L'indice Dow Jones a
finalement perdu 12,67 points (0,08%) à 16.014,38 points. Le Standard &
Poor's 500, plus large, recule de 0,07% à 1.852,21 et le Nasdaq Composite cède
0,35% à 4.268,76.
Sur leur lancée de la
semaine dernière, ces trois grands indices de Wall Street avaient perdu du
terrain lundi.
"Il y a une forte
probabilité de correction supplémentaire sur les cours des actions, emmenée par
les valeurs bancaires et de l'énergie", dit Lorne Baring (B Capital Wealth
Management).
YELLEN
VA PARLER
Il pointe en particulier
le fait que les risques de faillites dans le secteur de l'énergie en raison de
l'effondrement des cours du pétrole constituent un facteur supplémentaire de
défiance à l'égard des banques, déjà pénalisées par un environnement de taux
bas.
Les marchés actions
américains ont tenté à plusieurs reprises de rebondir depuis le début de
l'année mais la poursuite de la chute des cours du pétrole les a
systématiquement plombés.
La prudence est d'autant
plus forte en ce début de semaine que les investisseurs attendent les auditions
de Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale, par le Congrès américain
mercredi et jeudi dans l'espoir d'en savoir plus sur le calendrier de
relèvement des taux aux Etats-Unis.
Les résultats
d'entreprises ne contribuent pas à un retour de la confiance parmi les
investisseurs.
Le titre Viacom a perdu
mardi plus de 21%, tombant à 32,86 dollars. Le groupe américain de médias a
annoncé mardi une chute plus prononcée que prévu de son chiffre d'affaires au
dernier trimestre 2015 en raison de la baisse de ses revenus publicitaires aux
Etats-Unis et du fait que son studio de cinéma Paramount a sorti moins de films
à succès sur cette période.
Coca-Cola a résisté en
revanche à la tendance générale, avec un gain de 1,52% à 43,30 dollars, après
avoir publié mardi un bénéfice trimestriel meilleur que prévu, en raison surtout
de réductions des coûts massives.
Sur le marché des changes,
le dollar s'est replié à son plus bas niveau depuis près de quatre mois,
perdant 0,55% face à un panier de devises de référence..
Sur le front obligataire,
les Treasuries ont joué leur rôle de valeur refuge, le rendement des
obligations d'Etat américaines à 5 ans tombant à 1,10%, son plus bas niveau
depuis juin 2013.
(Marcus E. Howard; Patrick
Vignal pour le service français)
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Les banques européennes
chutent plus brutalement qu'en 2008
mercredi
10 février 2016 06h00
(Répétition sans
changement)
* Début d'année difficile
pour les banques européennes
* Elles souffrent plus en
Bourse que début 2008
* Plus de 240 milliards de
dollars envolés
par Sinead Cruise et Richa
Naidu
LONDRES, 10 février
(Reuters) - Les actions des grandes banques européennes sont au coeur des
préoccupations des investisseurs et dégringolent plus brutalement qu'elles ne
l'avaient fait en 2008, au début de la crise financière.
Les banques européennes
ont perdu près d'un quart de leur valeur en Bourse, soit plus de 240 milliards
de dollars, depuis le début de l'année.
L'accumulation des
inquiétudes macro-économiques menace ainsi de défaire ce qui avait été construit
en huit ans pour réduire les coûts, équilibrer les bilans et se protéger contre
le risque.
La chute des cours du
pétrole, l'explosion des coûts technologiques et la volatilité des marchés ne
sont que quelques-uns des facteurs qui placent les banques au centre des
préoccupations des investisseurs.
Il faut y ajouter le poids
des créances douteuses et les taux d'intérêt négatifs qui menacent les marges
nettes d'intérêt et pourraient conduire les banques à facturer les comptes
courants.
"Il n'y a aucun signal
à l'achat sur le secteur bancaire", résume Neil Dwane, responsable de la
stratégie chez Allianz Global Investors.
Dans ce contexte, Deutsche
Bank, UniCredit et Credit Suisse ont vu leurs actions chuter deux fois plus
qu'elles ne l'avaient fait sur la même période au début de 2008.
Parmi les 15 principales
banques européennes, seules ING et Nordea Bank, qui ont cédé respectivement 21%
et 15%, ont perdu mois qu'entre le nouvel an et le 8 février 2008.
L'indice bancaire du STOXX
Europe 600 a perdu 24% depuis le début de l'année, contre 17% sur la même
période il y a huit ans.
MOINS
GRAVE QU'EN 2008 ?
Certains investisseurs
pointent du doigt l'argent bon marché mis à la disposition des banques par la
Banque centrale européenne (BCE) sous la forme des opérations de refinancement
à long terme (LTRO) lancées en 2011. Cet argent a permis, estiment-ils, aux
banques de camoufler leur dette en la restructurant.
Le marché des CDS (credit
default swaps), soit les primes d'assurances acquittées par les investisseurs pour
limiter leur exposition au risque de défaut d'un émetteur, est également très
nerveux en ce début d'année.
Les prix des CDS pour
HSBC, Deutsche Bank, Barclays et Standard Chartered flirtent ainsi avec des
pics de 10 ans.
Les risques de faillites
dans le secteur de l'énergie en raison de l'effondrement des cours du pétrole
constituent un facteur supplémentaire de défiance à l'égard des banques, déjà
pénalisées par un environnement de taux bas, notent les analystes.
Chaque banque a ses
propres soucis. Deutsche Bank, qui a plongé lundi à un creux de plusieurs
années, inquiète quant à sa capacité à honorer certains paiements obligataires
tandis que HSBC et Standard Chartered souffrent surtout en raison de leur
exposition à la Chine.
Barclays, dont la cotation
a été brièvement suspendue lundi pour excès de volatilité des échanges,
pourrait, craignent certains investisseurs, devoir recourir à une augmentation
de capital pour améliorer son ratio de solvabilité de référence (common equity
tier one).
Malgré la méfiance envers
les banques européennes, qui coïncide avec les mauvais résultats publiés par
certaines grosses banques américaines, les investisseurs pensent que l'horizon
est moins sombre qu'avant la crise financière.
"C'est un moment
préoccupant pour un actionnaire de banques mais je ne pense pas que ce soit
aussi grave qu'avant la crise de Lehman parce que la BCE est davantage prête à
agir et que les fissures dans le système financiers en sont pas encore
là", dit Andrea Williams, gérante de fonds chez Royal London Asset
Management. (Patrick Vignal pour le service français, édité par Benoît Van
Overstraeten)
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AGENDA ECONOMIQUE du
mercredi 10 février
mardi
9 février 2016 17h00
** HEURE DE PARIS (GMT+1) **
Marchés fermés en Chine continentale et à Hong Kong
PARIS :
- 08h45 Indice de la production industrielle / décembre
- 09h30 Rapport annuel de la Cour des comptes
- 14h30 Conférence de presse annuelle de la Direction générale de l'armement
LONDRES :
- 10h30 Production industrielle / décembre
WASHINGTON :
- 16h00 Audition de Janet Yellen par la commission des Services financiers de
la Chambre des représentants
- 20h00 Budget fédéral / janvier
SOCIÉTÉS :
PARIS :
Avant Bourse :
- 07h30 Hermès / CA du T4
- Orpéa / CA annuel
Après Bourse :
- Natixis, BPCE / résultats annuels
- 17h40 Lagardère / CA annuel
- Aperam / résultats annuels
- 17h50 Mercialys / résultats annuels
- Korian / CA annuel
- MGI Coutier / CA annuel
AMSTERDAM :
- Akzo Nobel / résultats du T4
- Heineken / résultats annuels
NEW YORK :
- Time Warner / résultats du T4 (avant Bourse)
- Cisco Systems / résultats du T2 (après Bourse)
La volatilité des
Bourses excessive, dit le gouverneur de la BdF
mardi
9 février 2016 23h01
PARIS (Reuters) - La
volatilité actuelle des marchés boursiers est excessive mais les banques
françaises sont deux fois plus solides qu'avant la crise financière, déclare le
gouverneur de la Banque de France dans un entretien qui paraît mercredi dans Le
Figaro.
Les banques centrales
européennes disposent des instruments macroprudentiels nécessaires pour
remédier aux excès du cycle financier, ajoute François Villeroy de Galhau.
"Les banques
françaises sont (...) deux fois plus solides qu'elles ne l'étaient en 2007,
avec un ratio de capital porté de 6 à 12% de leurs risques pondérés",
dit-il.
"Quand on compare les
QE menés de part et d'autre de l'Atlantique, leurs effets sont à peu près
comparables en termes d'inflation et de croissance. Par ailleurs, la volatilité
des marchés boursiers est aujourd'hui excessive, face aux fondamentaux de
l'économie réelle", ajoute-t-il.
"Nous surveillons les
choses de très près", et "tant au niveau de la zone euro qu'en France
(...) ce cycle financier n'est pas au-dessus de sa moyenne historique",
juge-t-il.
"Si nécessaire, nous
aurions des moyens dits 'macroprudentiels' pour remédier aux excès, en imposant
par exemple des limites aux achats immobiliers finançables par crédit",
explique le gouverneur de la Banque de France.
A la question de savoir si
la Banque centrale européenne (BCE) peut aller encore plus loin dans la
politique de taux d'intérêt négatifs, il relève que "l'expérience récente
(...) a appris que le zéro n'est pas une limite pour les taux directeurs des
banques centrales."
"Les banques
centrales (...) ont à leur disposition toute une palette d'instruments de
politique monétaire: les taux négatifs, mais aussi les achats de titres avec le
QE, ou la 'forward guidance' qui éclaire les taux futurs. Nous en faisons
usage, comme c'est notre devoir", justifie François Villeroy de Galhau.
(Sophie
Louet, édité par Patrick Vignal)
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UBS aurait décidé de
geler les salaires dans la BFI
mardi
9 février 2016 22h06
NEW YORK/LONDRES (Reuters) -
(Répétition titre)
UBS a décidé un gel des
salaires dans sa division de banque d'investissement, a-t-on appris de deux
sources informées de cette initiative.
Ce gel s'applique à tout
le personnel de cette division, y compris les employés ayant récemment
bénéficié d'une promotion, et cette politique sera réexaminée au cours du
deuxième trimestre en fonction de l'évolution de l'activité et des
rémunérations dans le secteur, ont dit ces sources.
Les primes liées aux
performances ne sont pas concernées par cette mesure.
Un porte-parole d'UBS à
Londres a refusé de s'exprimer sur le sujet.
UBS a réorienté sa
stratégie à la suite de la crise financière mondiale. Elle a réduit la taille
de sa banque d'investissement et s'est concentrée sur la gestion de fortune,
qui fournit désormais plus de la moitié de son bénéfice d'exploitation.
Confrontées à un
environnement de taux bas, les banques européennes peinent à améliorer leur rentabilité
et s'efforcent de baisser leurs coûts.
La plus grande banque
européenne, HSBC, a récemment décidé un gel mondial des embauches et des
salaires tandis que sa concurrente britannique Barclays a aussi renoncé à toute
augmentation de ses employés.
(Olivia
Oran et Anjuli Davies, Bertrand Boucey pour le service français, édité par
Wilfrid Exbrayat)
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Le chiffre d'affaires de
Disney en hausse grâce à "Star Wars"
mardi
9 février 2016 23h19
(Reuters) - Walt
Disney a publié mardi un chiffre d'affaires trimestriel en hausse de 13,8%
grâce notamment au succès du film "Le Réveil de la Force", dernier
opus de la saga "Star Wars".
Le chiffre d'affaires au
premier trimestre de l'exercice décalé achevé le 2 janvier a progressé à 15,24
milliards de dollars contre 13,39 milliards de dollars un an plus tôt.
Le bénéfice net, en hausse
également, établit un record à 2,88 milliards de dollars, soit 1,73 dollar par
action, à comparer à 2,18 milliards (1,27 dollar par action) un an plus tôt.
(Lehar Maan, Patrick Vignal pour le service français)
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Coca-Cola fait mieux que
prévu grâce à la baisse de ses coûts
mardi
9 février 2016 16h02
(Reuters) -
Coca-Cola a publié mardi un bénéfice trimestriel meilleur qu'attendu, grâce à
l'impact de ses mesures d'économie et à la baisse des cours des matières
premières.
Le producteur américain de
sodas, qui s'est fixé pour objectif de réduire ses coûts annuels de trois
milliards de dollars d'ici 2018, a notamment supprimé des postes et vendu
certaines activités d'embouteillage et de fabrication.
Il a expliqué mardi
vouloir confier à des franchisés la totalité de ses activités d'embouteillage
en Amérique du Nord d'ici la fin 2017, soit trois ans plus tôt que prévu
initialement. Un passage en franchise est également au programme en Chine.
Le groupe tente par
ailleurs de doper ses recettes en relevant ses prix et en misant sur des
formats de conditionnement réduits.
Aux Etats-Unis, par
exemple, il met en avant les "mini-canettes" et les bouteilles de
huit onces (25 cl), a expliqué à Reuters la directrice financière, Kathy
Waller, ajoutant que cette stratégie commerciale était efficace dans la région.
Au quatrième trimestre de
l'an dernier, les ventes mondiales en volume ont progressé de 3%, grâce à une
demande en hausse pour Coca-Cola, Sprite et Coca Zéro.
Le chiffre d'affaires net
a toutefois reculé de 8% à 10 milliards de dollars (8,92 milliards d'euros), sa
troisième baisse consécutive.
Hors impact des
changements de périmètre et des changes, son recul est limité à 1%.
LES
COURS DU SUCRE ET DU MAÏS EN BAISSE
En Amérique du Nord,
premier débouché du groupe, le CA a chuté de 7%.
Toutefois, le bénéfice net
part du groupe a lui augmenté de près de 61% à 1,24 milliard de dollars, soit
28 cents par action, sur la période octobre-décembre.
Les dépenses commerciales
et les frais généraux ont été réduits de 9,2%, à 3,94 milliards et la baisse
des coûts des matières premières a contribué à l'amélioration des marges, a dit
Kathy Waller.
Les cours du sucre ont en
effet souffert de la perspective d'une récolte record au Brésil sur la saison
2016-2017 et ceux du maïs sont affectés par la surproduction mondiale. Or le
sucre et le maïs sont les deux principaux ingrédients utilisés par les
fabricants de sodas.
Hors éléments
exceptionnels, le bénéfice par action trimestriel de Coca-Cola ressort à 38
cents.
Le consensus Thomson
Reuters I/B/E/S donnait un bénéfice par action de 37 cents pour un chiffre
d'affaires de 9,91 milliards.
Pour 2016, le groupe table
sur une croissance de 6% à 8% du bénéfice par action hors effets de change et
prévoit de consacrer deux à 2,5 milliards de dollars à des rachats d'actions.
A Wall Street, l'action
Coca-Cola gagnait 0,52% à 42,87 dollars en début de séance alors que l'indice
Dow Jones, dont il fait partie, abandonnait 0,39%.
(avec Yashaswini
Swamynathan; Marc Angrand pour le service français)
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Serge Poznanski
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