mercredi 10 février 2016

INFOS BOURSE DE LA NUIT DU 9 AU 10 FEVRIER 2016 ET AGENDA ECONOMIQUE DU 10 FEVRIER 2016

Le pétrole se ressaisit en Asie


Singapour - Le pétrole a rebondi mercredi en Asie après son plongeon de la veille, mais ce répit ne devrait pas durer selon les analystes en raison de l'excès d'offre.

Les investisseurs attendent en outre avec nervosité les chiffres hebdomadaires des réserves américaines de brut, attendus mercredi.

Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars gagnait 54 cents à 28,48 dollars.

Le baril de Brent de la mer du Nord, la référence européenne du brut, pour livraison en avril, prenait quant à lui 72 cents, à 31,04 dollars.

Après avoir déjà perdu plus d'un dollar la veille, le cours du WTI avait cédé mardi 1,75 dollar à 27,94 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

A Londres, le Brent de la mer du Nord a perdu mardi 2,53 dollars à 30,32 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).

En cause, des rapports mensuels de l'Agence internationale de l'Energie (AIE) et du Département américain de l'Energie (DoE), tous deux sceptiques sur un rebond du marché.

Daniel Ang, analyste chez Phillip Futures, a estimé que le rebond de mercredi était en partie dû à la réouverture de certains marchés régionaux après la pause du Nouvel An chinois.

Les investisseurs chinois reviennent soutenir le marché après les fêtes, a-t-il dit à l'AFP. Ils achètent du brut à bon prix.

Mais ce rebond ne durera pas, selon M. Ang, qui prévoit que le DoE annoncera mercredi une nouvelle hausse des réserves américaines de brut, ce qui est interprété comme le signe d'une baisse de la demande aux Etats-Unis, ce qui, traditionnellement, fait baisser les prix.

Les fondamentaux sont toujours les mêmes, a expliqué M. Ang.

L'or noir a perdu 70% de sa valeur depuis juillet 2014 en raison de la conjonction d'une production excédentaire et du ralentissement de la demande mondiale, notamment de la Chine.

mba/jac/jr

INTERCONTINENTALEXCHANGE GROUP

(©AFP / 10 février 2016 05h37) http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=675024 

Bourse de Tokyo: le Nikkei chute de plus de 3,7% en séance


Tokyo - L'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo chutait encore de plus de 3,7% mercredi en séance, rattrapé par le yen qui est remonté face au dollar, servant de valeur refuge face aux inquiétudes pour l'économie mondiale.

Une heure et demie avant la fermeture du marché, le Nikkei des 225 valeurs vedettes lâchait 602,86 points (-3,75%) à 15.482,62 points. Il avait déjà dévissé de 5,40% mardi et n'était pas tombé sous 16.000 points depuis octobre 2014.

L'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau abandonnait pour sa part 3,78% à 1.254,96 points.

Sur le volet des changes, le dollar est retombé nettement sous les 115 yens, à 114,38 yens (contre 115,14 yens mercredi à l'ouverture), et l'euro a décliné à 129,20 yens (contre 130 yens).

Les Bourses européennes et asiatiques ont continué à baisser mardi déprimées comme la veille par les doutes sur le secteur bancaire et les craintes sur l'économie mondiale.


(©AFP / 10 février 2016 05h37) http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=675024 


Wall Street termine proche de l'équilibre

mercredi 10 février 2016 06h00

(Répétition sans changement d'une dépêche transmise mardi)
* Le Dow perd 0,08%, Le S&P-500 0,07%, le Nasdaq 0,35%
* L'énergie recule encore dans un marché nerveux
NEW YORK, 10 février (Reuters) - La Bourse de New York a ralenti mardi son mouvement de repli grâce à un sursaut en fin de séance des valeurs biotechnologiques et du secteur des matériaux pour terminer proche de l'équilibre.
Gilead et Allergan ont contribué au redressement des indices en prenant respectivement 2,33% et 2,27%.
La séance, très volatile, a été marqué par une nouvelle chute des valeurs de l'énergie dans le sillage d'un plongeon de près de 6% des cours du brut léger américain. L'indice du secteur a abandonné 2,47%.
Le secteur financier, très touché lundi dans un climat d'aversion généralisée au risque, a en revanche limité la casse, n'abandonnant que 0,16%.
L'indice Dow Jones a finalement perdu 12,67 points (0,08%) à 16.014,38 points. Le Standard & Poor's 500, plus large, recule de 0,07% à 1.852,21 et le Nasdaq Composite cède 0,35% à 4.268,76.
Sur leur lancée de la semaine dernière, ces trois grands indices de Wall Street avaient perdu du terrain lundi.
"Il y a une forte probabilité de correction supplémentaire sur les cours des actions, emmenée par les valeurs bancaires et de l'énergie", dit Lorne Baring (B Capital Wealth Management).
YELLEN VA PARLER
Il pointe en particulier le fait que les risques de faillites dans le secteur de l'énergie en raison de l'effondrement des cours du pétrole constituent un facteur supplémentaire de défiance à l'égard des banques, déjà pénalisées par un environnement de taux bas.
Les marchés actions américains ont tenté à plusieurs reprises de rebondir depuis le début de l'année mais la poursuite de la chute des cours du pétrole les a systématiquement plombés.
La prudence est d'autant plus forte en ce début de semaine que les investisseurs attendent les auditions de Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale, par le Congrès américain mercredi et jeudi dans l'espoir d'en savoir plus sur le calendrier de relèvement des taux aux Etats-Unis.
Les résultats d'entreprises ne contribuent pas à un retour de la confiance parmi les investisseurs.
Le titre Viacom a perdu mardi plus de 21%, tombant à 32,86 dollars. Le groupe américain de médias a annoncé mardi une chute plus prononcée que prévu de son chiffre d'affaires au dernier trimestre 2015 en raison de la baisse de ses revenus publicitaires aux Etats-Unis et du fait que son studio de cinéma Paramount a sorti moins de films à succès sur cette période.
Coca-Cola a résisté en revanche à la tendance générale, avec un gain de 1,52% à 43,30 dollars, après avoir publié mardi un bénéfice trimestriel meilleur que prévu, en raison surtout de réductions des coûts massives.
Sur le marché des changes, le dollar s'est replié à son plus bas niveau depuis près de quatre mois, perdant 0,55% face à un panier de devises de référence..
Sur le front obligataire, les Treasuries ont joué leur rôle de valeur refuge, le rendement des obligations d'Etat américaines à 5 ans tombant à 1,10%, son plus bas niveau depuis juin 2013.
(Marcus E. Howard; Patrick Vignal pour le service français)

Les banques européennes chutent plus brutalement qu'en 2008

mercredi 10 février 2016 06h00

(Répétition sans changement)
* Début d'année difficile pour les banques européennes
* Elles souffrent plus en Bourse que début 2008
* Plus de 240 milliards de dollars envolés
par Sinead Cruise et Richa Naidu
LONDRES, 10 février (Reuters) - Les actions des grandes banques européennes sont au coeur des préoccupations des investisseurs et dégringolent plus brutalement qu'elles ne l'avaient fait en 2008, au début de la crise financière.
Les banques européennes ont perdu près d'un quart de leur valeur en Bourse, soit plus de 240 milliards de dollars, depuis le début de l'année.
L'accumulation des inquiétudes macro-économiques menace ainsi de défaire ce qui avait été construit en huit ans pour réduire les coûts, équilibrer les bilans et se protéger contre le risque.
La chute des cours du pétrole, l'explosion des coûts technologiques et la volatilité des marchés ne sont que quelques-uns des facteurs qui placent les banques au centre des préoccupations des investisseurs.
Il faut y ajouter le poids des créances douteuses et les taux d'intérêt négatifs qui menacent les marges nettes d'intérêt et pourraient conduire les banques à facturer les comptes courants.
"Il n'y a aucun signal à l'achat sur le secteur bancaire", résume Neil Dwane, responsable de la stratégie chez Allianz Global Investors.
Dans ce contexte, Deutsche Bank, UniCredit et Credit Suisse ont vu leurs actions chuter deux fois plus qu'elles ne l'avaient fait sur la même période au début de 2008.
Parmi les 15 principales banques européennes, seules ING et Nordea Bank, qui ont cédé respectivement 21% et 15%, ont perdu mois qu'entre le nouvel an et le 8 février 2008.
L'indice bancaire du STOXX Europe 600 a perdu 24% depuis le début de l'année, contre 17% sur la même période il y a huit ans.
MOINS GRAVE QU'EN 2008 ?
Certains investisseurs pointent du doigt l'argent bon marché mis à la disposition des banques par la Banque centrale européenne (BCE) sous la forme des opérations de refinancement à long terme (LTRO) lancées en 2011. Cet argent a permis, estiment-ils, aux banques de camoufler leur dette en la restructurant.
Le marché des CDS (credit default swaps), soit les primes d'assurances acquittées par les investisseurs pour limiter leur exposition au risque de défaut d'un émetteur, est également très nerveux en ce début d'année.
Les prix des CDS pour HSBC, Deutsche Bank, Barclays et Standard Chartered flirtent ainsi avec des pics de 10 ans.
Les risques de faillites dans le secteur de l'énergie en raison de l'effondrement des cours du pétrole constituent un facteur supplémentaire de défiance à l'égard des banques, déjà pénalisées par un environnement de taux bas, notent les analystes.
Chaque banque a ses propres soucis. Deutsche Bank, qui a plongé lundi à un creux de plusieurs années, inquiète quant à sa capacité à honorer certains paiements obligataires tandis que HSBC et Standard Chartered souffrent surtout en raison de leur exposition à la Chine.
Barclays, dont la cotation a été brièvement suspendue lundi pour excès de volatilité des échanges, pourrait, craignent certains investisseurs, devoir recourir à une augmentation de capital pour améliorer son ratio de solvabilité de référence (common equity tier one).
Malgré la méfiance envers les banques européennes, qui coïncide avec les mauvais résultats publiés par certaines grosses banques américaines, les investisseurs pensent que l'horizon est moins sombre qu'avant la crise financière.
"C'est un moment préoccupant pour un actionnaire de banques mais je ne pense pas que ce soit aussi grave qu'avant la crise de Lehman parce que la BCE est davantage prête à agir et que les fissures dans le système financiers en sont pas encore là", dit Andrea Williams, gérante de fonds chez Royal London Asset Management. (Patrick Vignal pour le service français, édité par Benoît Van Overstraeten)

AGENDA ECONOMIQUE du mercredi 10 février

mardi 9 février 2016 17h00

** HEURE DE PARIS (GMT+1) **
 
    
     Marchés fermés en Chine continentale et à Hong Kong 
    
 PARIS :
 - 08h45 Indice de la production industrielle / décembre
 - 09h30 Rapport annuel de la Cour des comptes
 - 14h30 Conférence de presse annuelle de la Direction générale de l'armement 
    
      
 LONDRES :   
 - 10h30 Production industrielle / décembre
    
 WASHINGTON :
 - 16h00 Audition de Janet Yellen par la commission des Services financiers de 
         la Chambre des représentants
 - 20h00 Budget fédéral / janvier
    
    
                          SOCIÉTÉS :
    
 PARIS :
    Avant Bourse :
 - 07h30 Hermès / CA du T4 
 - Orpéa / CA annuel 
    
    Après Bourse :
 - Natixis, BPCE / résultats annuels 
 - 17h40 Lagardère / CA annuel  
 - Aperam / résultats annuels
 - 17h50 Mercialys / résultats annuels
 - Korian / CA annuel
 - MGI Coutier / CA annuel 
 
 
 AMSTERDAM :  
 - Akzo Nobel / résultats du T4
 - Heineken / résultats annuels
    
 NEW YORK :  
 - Time Warner / résultats du T4 (avant Bourse)
 - Cisco Systems / résultats du T2 (après Bourse)
  

La volatilité des Bourses excessive, dit le gouverneur de la BdF

mardi 9 février 2016 23h01

PARIS (Reuters) - La volatilité actuelle des marchés boursiers est excessive mais les banques françaises sont deux fois plus solides qu'avant la crise financière, déclare le gouverneur de la Banque de France dans un entretien qui paraît mercredi dans Le Figaro.
Les banques centrales européennes disposent des instruments macroprudentiels nécessaires pour remédier aux excès du cycle financier, ajoute François Villeroy de Galhau.
"Les banques françaises sont (...) deux fois plus solides qu'elles ne l'étaient en 2007, avec un ratio de capital porté de 6 à 12% de leurs risques pondérés", dit-il.
"Quand on compare les QE menés de part et d'autre de l'Atlantique, leurs effets sont à peu près comparables en termes d'inflation et de croissance. Par ailleurs, la volatilité des marchés boursiers est aujourd'hui excessive, face aux fondamentaux de l'économie réelle", ajoute-t-il.
"Nous surveillons les choses de très près", et "tant au niveau de la zone euro qu'en France (...) ce cycle financier n'est pas au-dessus de sa moyenne historique", juge-t-il.
"Si nécessaire, nous aurions des moyens dits 'macroprudentiels' pour remédier aux excès, en imposant par exemple des limites aux achats immobiliers finançables par crédit", explique le gouverneur de la Banque de France.
A la question de savoir si la Banque centrale européenne (BCE) peut aller encore plus loin dans la politique de taux d'intérêt négatifs, il relève que "l'expérience récente (...) a appris que le zéro n'est pas une limite pour les taux directeurs des banques centrales."
"Les banques centrales (...) ont à leur disposition toute une palette d'instruments de politique monétaire: les taux négatifs, mais aussi les achats de titres avec le QE, ou la 'forward guidance' qui éclaire les taux futurs. Nous en faisons usage, comme c'est notre devoir", justifie François Villeroy de Galhau.
(Sophie Louet, édité par Patrick Vignal)

UBS aurait décidé de geler les salaires dans la BFI

mardi 9 février 2016 22h06

NEW YORK/LONDRES (Reuters) - (Répétition titre)
UBS a décidé un gel des salaires dans sa division de banque d'investissement, a-t-on appris de deux sources informées de cette initiative.
Ce gel s'applique à tout le personnel de cette division, y compris les employés ayant récemment bénéficié d'une promotion, et cette politique sera réexaminée au cours du deuxième trimestre en fonction de l'évolution de l'activité et des rémunérations dans le secteur, ont dit ces sources.
Les primes liées aux performances ne sont pas concernées par cette mesure.
Un porte-parole d'UBS à Londres a refusé de s'exprimer sur le sujet.
UBS a réorienté sa stratégie à la suite de la crise financière mondiale. Elle a réduit la taille de sa banque d'investissement et s'est concentrée sur la gestion de fortune, qui fournit désormais plus de la moitié de son bénéfice d'exploitation.
Confrontées à un environnement de taux bas, les banques européennes peinent à améliorer leur rentabilité et s'efforcent de baisser leurs coûts.
La plus grande banque européenne, HSBC, a récemment décidé un gel mondial des embauches et des salaires tandis que sa concurrente britannique Barclays a aussi renoncé à toute augmentation de ses employés.
(Olivia Oran et Anjuli Davies, Bertrand Boucey pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)

Le chiffre d'affaires de Disney en hausse grâce à "Star Wars"

mardi 9 février 2016 23h19

 (Reuters) - Walt Disney a publié mardi un chiffre d'affaires trimestriel en hausse de 13,8% grâce notamment au succès du film "Le Réveil de la Force", dernier opus de la saga "Star Wars".
Le chiffre d'affaires au premier trimestre de l'exercice décalé achevé le 2 janvier a progressé à 15,24 milliards de dollars contre 13,39 milliards de dollars un an plus tôt.
Le bénéfice net, en hausse également, établit un record à 2,88 milliards de dollars, soit 1,73 dollar par action, à comparer à 2,18 milliards (1,27 dollar par action) un an plus tôt.
(Lehar Maan, Patrick Vignal pour le service français)

Coca-Cola fait mieux que prévu grâce à la baisse de ses coûts

mardi 9 février 2016 16h02

 (Reuters) - Coca-Cola a publié mardi un bénéfice trimestriel meilleur qu'attendu, grâce à l'impact de ses mesures d'économie et à la baisse des cours des matières premières.
Le producteur américain de sodas, qui s'est fixé pour objectif de réduire ses coûts annuels de trois milliards de dollars d'ici 2018, a notamment supprimé des postes et vendu certaines activités d'embouteillage et de fabrication.
Il a expliqué mardi vouloir confier à des franchisés la totalité de ses activités d'embouteillage en Amérique du Nord d'ici la fin 2017, soit trois ans plus tôt que prévu initialement. Un passage en franchise est également au programme en Chine.
Le groupe tente par ailleurs de doper ses recettes en relevant ses prix et en misant sur des formats de conditionnement réduits.
Aux Etats-Unis, par exemple, il met en avant les "mini-canettes" et les bouteilles de huit onces (25 cl), a expliqué à Reuters la directrice financière, Kathy Waller, ajoutant que cette stratégie commerciale était efficace dans la région.
Au quatrième trimestre de l'an dernier, les ventes mondiales en volume ont progressé de 3%, grâce à une demande en hausse pour Coca-Cola, Sprite et Coca Zéro.
Le chiffre d'affaires net a toutefois reculé de 8% à 10 milliards de dollars (8,92 milliards d'euros), sa troisième baisse consécutive.
Hors impact des changements de périmètre et des changes, son recul est limité à 1%.
LES COURS DU SUCRE ET DU MAÏS EN BAISSE
En Amérique du Nord, premier débouché du groupe, le CA a chuté de 7%.
Toutefois, le bénéfice net part du groupe a lui augmenté de près de 61% à 1,24 milliard de dollars, soit 28 cents par action, sur la période octobre-décembre.
Les dépenses commerciales et les frais généraux ont été réduits de 9,2%, à 3,94 milliards et la baisse des coûts des matières premières a contribué à l'amélioration des marges, a dit Kathy Waller.
Les cours du sucre ont en effet souffert de la perspective d'une récolte record au Brésil sur la saison 2016-2017 et ceux du maïs sont affectés par la surproduction mondiale. Or le sucre et le maïs sont les deux principaux ingrédients utilisés par les fabricants de sodas.
Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action trimestriel de Coca-Cola ressort à 38 cents.
Le consensus Thomson Reuters I/B/E/S donnait un bénéfice par action de 37 cents pour un chiffre d'affaires de 9,91 milliards.
Pour 2016, le groupe table sur une croissance de 6% à 8% du bénéfice par action hors effets de change et prévoit de consacrer deux à 2,5 milliards de dollars à des rachats d'actions.
A Wall Street, l'action Coca-Cola gagnait 0,52% à 42,87 dollars en début de séance alors que l'indice Dow Jones, dont il fait partie, abandonnait 0,39%.
(avec Yashaswini Swamynathan; Marc Angrand pour le service français)

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