jeudi 25 février 2016

INFOS BOURSE DE LA NUIT DU 24 AU 25 FEVRIER 2016 ET AGENDA ECONOMIQUE du jeudi 25 février

Le pétrole à nouveau à la baisse en Asie


Singapour - Les cours du pétrole étaient de nouveau orientés à la baisse en Asie jeudi après avoir rebondi la veille, les investisseurs doutant des capacités de l'Opep à enrayer la situation de surabondance de l'offre.

Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en avril reculait de 24 cents à 31,91 dollars vers 04H15 GMT.

Le baril de Brent de la mer du Nord, la référence européenne du brut, pour livraison en avril, cédait quant à lui 32 cents à 34,09 dollars.

Les cours s'étaient un peu repris mercredi dans un marché soulagé de voir baisser les stocks américains d'essence tout comme la production nationale.

Le WTI avait gagné 28 cents à 32,15 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le Brent avait gagné 1,14 dollar à 34,41 dollars.

Mais les inquiétudes sur l'excès d'offre, qui a fait dégringoler les cours de près de 70% depuis juin 2014, ont vite repris le dessus.

La réalité est que l'Opep ne va pas être en mesure de faire quoi que ce soit, a déclaré Michael McCarthy, de CMC Markets Australia.

Elle n'a pas la capacité de coordonner l'action de ses membres, alors quiconque attend que l'Opep prenne une décision risque d'être très déçu.

Le ministre saoudien du Pétrole Ali al-Naïmi a déclaré mardi qu'il avait bon espoir qu'un accord soit trouvé le mois prochain avec non seulement la Russie, le Qatar et le Venezuela, mais aussi d'autres pays pour obtenir un gel de production - mais il a une nouvelle fois exclu l'hypothèse d'une réduction de la production.

Mais son homologue iranien Bijan Namadar Zanganeh a de son côté rejeté l'idée même d'un gel de sa production, la qualifiant de plaisanterie.



(©AFP / 25 février 2016 05h52) http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=679679 

Le bénéfice net de Sulzer dégringole de 73,1%


Le groupe industriel zurichois Sulzer a enregistré un bénéfice net de 73,9 millions de francs en 2015, en chute de 73,1% par rapport à 2014. Le chiffre d'affaires s'est pour sa part contracté de 7,5%, à 2,9 milliards, a indiqué jeudi dans un communiqué la société.


Ajusté des effets de change, les ventes n'ont reculé que de 3,2%. Au niveau opérationnel, le résultat avant intérêts et impôts (EBIT) a en revanche retrouvé les chiffres noirs, passant de -69 millions de francs en 2014, à 120,9 millions à la fin 2015. 


Les entrées de commandes ont, quant à elles, baissé de 8,4% (3,7% sans les effets de change), à 2,9 milliards de francs.


Tablant sur une poursuite des prix du pétrole bas, Sulzer prévoit une diminution des commandes et du chiffre d'affaires de l'ordre de 5 à 10% en 2016, corrigée des effets de change. 



(ats / 25.02.2016 06h33) http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=679684 

La Bourse de Shanghai ouvre en recul, minée par les inquiétudes sur l'économie

Shanghai (awp/afp) - La Bourse de Shanghai a ouvert en repli jeudi, dans un marché toujours miné par les inquiétudes persistantes sur la faiblesse de l'économie mondiale et le vif ralentissement de la croissance chinoise.


Dans les premiers échanges, l'indice composite shanghaïen reculait de 0,23% à 2.922,24 points.


La Bourse de Shenzhen, deuxième place de Chine continentale, s'affichait elle en baisse de 0,22%, à 1.872,25 points.


jyq/jug/myl


(AWP / 25.02.2016 02h38)
http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=679670 

La Bourse de Hong Kong ouvre en baisse

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a ouvert jeudi en légère baisse, au lendemain de prévisions pessimistes du ministre des Finances de l'ex-colonie britannique, John Tsang, pour l'année 2016.


L'indice Hang Seng reculait dans les premiers échanges de 134,5 points, soit 0,7% à 19.057,95 points.


jac/gkg


(AWP / 25.02.2016 02h48) http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=679673 

 

Wall Street se retourne à la hausse avec le pétrole

jeudi 25 février 2016 06h00

(Répétition sans changement d'une dépêche transmise mercredi)
* Les indices profitent d'un rebond du pétrole
* Le marché reste très volatil
* Le dollar progresse face au sterling
par Chuck Mikolajczak
NEW YORK, 25 février (Reuters) - La Bourse de New York a effacé mercredi ses pertes à la faveur d'un retournement des cours du pétrole pour terminer à la hausse dans un contexte toujours marqué par une forte volatilité.
L'indice Dow Jones a gagné 53,21 points, soit 0,32%, à 16.484,99 points. Le Standard & Poor's 500, plus large a pris 8,53 points (0,44%) à 1.929,80 points et le Nasdaq Composite a progressé de 39,02 points (0,87%) à 4.542,61 points.
Longtemps orientés à la baisse, les cours du pétrole se sont retournés en cours de séance après l'annonce d'une diminution des stocks d'essence et Wall Street a suivi le mouvement.
L'évolution des cours du pétrole a fortement influencé la tendance sur les marchés d'actions depuis le début de l'année, ravivant l'inquiétude pour la santé de l'économie mondiale.
"Cela peut irriter les gens mais la réalité est que le pétrole et les marchés actions sont étroitement liés et c'est vrai depuis le mois de novembre, c'est aussi simple que cela", explique Randy Frederick, responsable du courtage et des dérivés pour Charles Schwab.
Longtemps orientée assez nettement à la baisse, Wall Street a été pénalisée pendant une bonne partie de la séance par les valeurs financières, qui ont elles aussi effacé leurs pertes à la faveur du rebond général.
Le secteur bancaire reste cependant fragile au lendemain de l'annonce par JPMorgan de difficultés sur le trimestre en cours liées à la mauvaise passe traversée par le secteur pétrolier et gazier.
La première banque américaine par l'actif a annoncé qu'elle allait provisionner au premier trimestre un demi-milliard de dollars supplémentaires pour couvrir d'éventuelles créances douteuses associées à ce secteur, touché de plein fouet par l'effondrement des cours du brut.
Avec la chute du pétrole, des milliers d'emplois ont été supprimés dans le secteur américain des hydrocarbures et environ un tiers des compagnies pétrolières américaines, soit 175 entreprises, sont confrontées à un risque élevé de faillite cette année, selon une étude du cabinet Deloitte.
LE STERLING SOUFFRE
Aux valeurs, le S&P-500 a été porté notamment par Apple , qui a gagné 1,49% à 96,10 dollars, le Nasdaq profitant en outre d'un bond de 21,7% pour DreamWorks après la publication de résultats trimestriels meilleurs que prévu.
Contre la tendance, Boeing a perdu 1,12%, Goldman Sachs ayant ramené de 102 à 100 dollars son objectif de cours pour le titre de l'avionneur, qui a perdu un cinquième de sa valeur depuis le début de l'année.
Sur le marché des changes, le dollar est resté stable face à un panier de devises de référence mais a fortement progressé contre le sterling, qui a touché mercredi un creux de sept ans sur fond de craintes d'une sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne.
Le sterling est passé sous 1,39 dollar, à 4 cents d'un niveau plus atteint depuis qu'il était descendu à parité avec le dollar, au milieu des années 1980. Il est remonté ensuite légèrement.
Sur le front de la dette, les Treasuries, eux aussi très liés au pétrole, ont effacé leurs gains pour finir sans grand changement.
(Chuck Mikolajczak; Patrick Vignal pour le service français)

L'année 2016 commence par une baisse du chômage

mercredi 24 février 2016 19h35

PARIS (Reuters) - Le chômage a diminué de 0,8% le mois dernier en France, une baisse qui n'a toutefois pas profité aux seniors, dont le nombre d'inscrits à Pôle emploi s'est stabilisé, ni aux chômeurs de longue durée, toujours plus nombreux, selon les chiffres publiés mercredi par le ministère du Travail.
Le ministère souligne que cette baisse intègre un "rebond inhabituellement fort" du nombre de sorties de Pôle emploi au motif de cessation d’inscription pour défaut d’actualisation, ce qui s'était déjà produit en septembre 2013 en raison d'un problème informatique.
Mais "il n'y a pas de bugs à ce stade qui sont signalés", a déclaré la ministre du Travail, Myriam El Khomri.
Le nombre de demandeurs de catégorie A, sans aucune activité, s'est contracté en janvier de 0,8%, à 3.552.600, soit 27.900 de moins qu'à fin décembre.
En ajoutant les catégories B et C (personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d'inscrits à Pôle emploi a diminué de 0,3% à 5.459.700 (5.782.200 en incluant les départements d'Outre-mer), soit 18.300 de moins qu'un mois plus tôt.
Sur un an, le nombre de demandeurs de catégorie A progresse de 1,8% et celui des A, B et C de 4,2%.
Le ministère a d'autre part revu en légère baisse la hausse du chômage sur l'ensemble de l'année 2015 : +88.200 pour les catégories A et +259.500 pour les A, B et C (+89.900 et +259.700 annoncé précédemment).
Par catégorie d'âge, les chômeurs de moins de 25 ans ont reculé de 1,5% en janvier et les 25-49 ans de 0,9%. Mais les 50 ans et plus sont restés stables, leur progression sur un an atteignant 7,8%.
Le nombre de chômeurs inscrits depuis plus d'un an à Pôle emploi, considérés comme chômeurs de longue durée, a encore augmenté de 0,3% sur le mois et de 9,1% sur un an.
Leur part dans le nombre total de chômeurs est en hausse de 0,3 point à 45,4% et l'ancienneté moyenne de leur inscription s'allonge de trois jours, à 574.
PREMIÈRES ENTRÉES AU PLUS HAUT DEPUIS 2006
Myriam El Khomri a souligné que les chiffres de janvier s'inscrivaient dans la tendance de stabilisation des demandeurs d'emploi de catégorie A sur les huit derniers mois.
Elle a noté en outre que la baisse de 8.000 chez les moins de 25 ans sur le mois confirmait l'évolution de l'ensemble de 2015, marquée par 22.000 chômeurs de moins dans cette catégorie qui a bénéficié de la relance des contrats aidés.
"Ce que nous avons déjà réussi à faire pour les jeunes, nous devons le faire pour l’ensemble des demandeurs d’emploi", a dit la ministre lors d'une visite à l'agence Pôle emploi de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).
Avec le pacte de responsabilité, le plan pour l'emploi annoncé par François Hollande en janvier et la future réforme du Code du travail, "nous avons des outils qui nous permettent d'essayer de faire reculer le chômage le plus rapidement possible", a-t-elle ajouté.
S'agissant des entrées et sorties à Pôle emploi, le ministère du Travail a décidé de ne les publier que sur la base des trois derniers mois, estimant qu'elle reflète mieux la tendance que leur évolution plus heurtée au mois le mois.
Sur les trois mois à fin janvier, les entrées ont ainsi augmenté de 1,8%, du fait notamment d'un bond (+12,6%) des premières entrées, qui sont à leur plus haut depuis début 2006.
Les sorties enregistrent dans le même temps une hausse de 3,0%, une évolution qui recouvre une augmentation sensible des reprises d'emploi déclarées (+5,1%), des arrêts de recherche (+5,6%) et des radiations administratives (+4,0%).
Quant aux cessations d'inscription pour défaut d'actualisation, le principal motif de sorties, elles sont en hausse de 1,5% sur trois mois après une baisse continue depuis l'automne et sont à leur plus haut niveau depuis septembre 2013.
(Yann Le Guernigou, avec Myriam Rivet et Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse)

Airbus va produire plus d'A330, l'A400M victime de retards

mercredi 24 février 2016 13h01

par Cyril Altmeyer et Tim Hepher
LONDRES (Reuters) - Airbus Group a de nouveau augmenté son dividende après des résultats 2015 légèrement supérieurs aux attentes et a décidé de relever sa production de long-courriers A330 pour faire face à la demande.
Le groupe européen d'aérospatiale et de défense met toutefois en garde mercredi dans un communiqué sur le risque qui subsiste concernant l'avion de transport militaire A400M, victime de retards.
Airbus Group, qui compte livrer plus de 20 A400M cette année, précise discuter encore avec les pays clients sur un nouveau calendrier de développement des capacités militaires et de livraisons, ainsi que d'une révision de la formule d’indexation des prix.
"Nous travaillons très dur pour éviter de nouvelles charges", a assuré le président exécutif d'Airbus Group Tom Enders lors d'une conférence de presse sur les résultats annuels du groupe, à Londres.
Il a mentionné des progrès dans les réductions de coûts et l'amélioration des processus, en particulier dans la production.
"Mais c'est un programme qui reste perturbé de diverses manières", a ajouté Tom Enders, disant ne pas pouvoir garantir l'absence de nouvelles charges, mais sans vouloir fournir de précisions à ce stade sur leur niveau éventuel.
La maison mère d'Airbus a aussi décidé de produire sept A330 par mois à partir de 2017, après avoir récemment réduit son rythme mensuel de dix à neuf, puis à six.
Mais Tom Enders a assuré que l'avionneur avait la capacité nécessaire pour augmenter encore sa production à l'occasion de l'arrivée de la version remotorisée, l'A330neo.
Ces variations de production sont liées à la transition avec l'A350, le nouveau long-courrier devant passer à la vitesse supérieure cette année avec plus de 50 livraisons prévues contre 14 en 2015.
POURSUITE "OPPORTUNISTE" DU DÉSENGAGEMENT DE DASSAULT
L'an passé, Airbus Group a dégagé un bénéfice opérationnel (Ebit) avant exceptionnels de 4,132 milliards d'euros (+2%) contre un consensus de 4,114 milliards selon les données réunies par Inquiry Financial.
Le groupe a passé une charge nette de 635 millions d’euros liée à l’écart de comptabilisation des paiements avant livraison en dollars et aux réévaluations bilancielles dues à la faiblesse de l’euro face au dollar.
Mais Airbus Group a également enregistré un gain net de 748 millions d'euros issu de la vente d’une participation de 18,75% dans Dassault Aviation au premier semestre.
Le chiffre d'affaires du groupe a augmenté de 6% l'an passé à 64,50 milliards (consensus 64,736 milliards), dont 11,512 milliards (+5%) dans les activités de défense que le groupe cherche à céder partiellement.
L'action perd 2,78% à 53,87 euros à 12h45 à la Bourse de Paris, en phase avec la baisse du marché (-2,23% pour l'indice CAC 40).
"Ces résultats ne sont peut-être pas particulièrement excitants, mais l'excitation est bien la dernière chose dont on a besoin à ce stade délicat", résume Sandy Morris, analyste chez Jefferies.
Bernstein juge de son côté dans une note ces résultats "solides".
"Bonne performance opérationnelle chez Airbus et performance meilleure que prévu dans les hélicoptères sont les principaux moteurs", souligne l'intermédiaire.
Airbus Group propose un dividende de 1,30 euro par action au titre de 2015 après 1,20 euro pour 2014 et confirme qu'il va poursuive son programme de rachat d’actions après avoir dégagé un bénéfice net en hausse de 15% à 2,696 milliards (consensus 2,742 milliards).
Son flux de trésorerie disponible avant acquisitions s’est amélioré à 1,175 milliard d'euros fin 2015 contre 1,109 milliard fin 2014.
Pour 2016, Airbus Group prévoit une stabilité de son Ebit et de son bénéfice par action avant éléments non récurrents, ainsi que de son flux de trésorerie disponible.
Le directeur financier Harald Wilhelm a dit viser l'équilibre financier du programme A380 cette année malgré une baisse des livraisons par rapport aux 27 appareils livrés en 2015.
Airbus travaille à réduire les coûts du très gros porteur pour maintenir l'équilibre financier du programme atteint en 2015 après 15 ans d'investissements massifs.
(Edité par Dominique Rodriguez)

Le luxe français contre la modification du calendrier de la mode

mercredi 24 février 2016 16h10

PARIS (Reuters) - Les grands noms de la couture française comme Dior, Chanel ou Saint Laurent ont dit "non" à une éventuelle modification du calendrier des défilés parisiens, à l'heure où certaines marques veulent éliminer les délais entre la présentation et la mise en vente de leurs collections.
Le comité exécutif de la Fédération française de la couture, regroupant les responsables de Dior, Chanel, Hermès et Kering (propriétaire de Gucci, Balenciaga ou Saint Laurent), a fait savoir mercredi qu'il entendait conserver l'organisation actuelle des présentations des collections.
"Inverser le cycle, commencer par une présentation commerciale tuerait la créativité", a déclaré au Figaro le président de la fédération professionnelle Ralph Toledano.
Sa position est partagée par François-Henri Pinault, PDG de Kering, qui a récemment déclaré à la presse que le défilé faisait partie intégrante du processus créatif et que l'attente était constitutive de la "création du désir dans l'univers du luxe".
Le britannique Burberry, suivi par Tom Ford, a fait grand bruit sur la planète mode en annonçant début février qu'il allait faire coïncider ses défilés sur les podiums avec la disponibilité de ses produits dans les magasins, selon le principe du "see now-buy now".
"Burberry fait ce qui lui convient. Nous, nous ferons ce qui convient à nos marques", a ajouté le PDG de Kering.
Burberry va ainsi renoncer au traditionnel calendrier de la mode, où les collections sont présentées environ six mois avant leur vente en boutique, au motif que les réseaux sociaux ont modifié les habitudes et rendent ce délai obsolète.
Cette décision intervient alors qu'aux Etats-Unis, la fédération des créateurs (CFDA) s'interroge elle aussi sur la nécessité de repenser le calendrier des collections, à l'heure où les défilés sont immédiatement vus et commentés sur l'ensemble de la planète via les réseaux sociaux.
Aux yeux des maisons de luxe françaises, cette approche, en se mettant trop à l'écoute des consommateurs, va à l'encontre de la création, sans parler des obstacles qu'elle pose en matière de délais de fabrication et de "supply chain" (chaîne logistique).
La fédération de la couture précise avoir mené une enquête auprès de ses adhérents, qui révèle "qu'aucun client ne s'est jamais plaint de ne pas pouvoir acheter en boutique un produit vu sur internet".
Alors que certains estiment que la refonte du système permettrait de couper court aux copies des enseignes de "fast fashion" comme Zara ou H&M, Ralph Toledano assure, lui, que la disponibilité immédiate des produits n'empêchera rien.
"Le remède à la contre-façon il n'y en a qu'un seul: faire des produits plus difficiles à imiter, créer un design à valeur ajoutée".
(Pascale Denis, édité par Jean-Michel Bélot)

 

AGENDA ECONOMIQUE du jeudi 25 février

mercredi 24 février 2016 18h17

 (Rajoute l'inflation allemande et supprime les ventes au détail)
    ** HEURE DE PARIS (GMT+1) **
    
  
 PARIS :  
 - 08h15 Intervention d'Emmanuel Macron à une conférence-débat de la Fédération 
         nationale des travaux publics 
 - 08h45 Indices des prix des logements anciens / T4
 
 BUENOS AIRES, MONTEVIDEO :
 - Visite d'Etat de François Hollande en Argentine, visite officielle en Uruguay
    
 BERLIN :    
 - 08h00 Indice GfK du moral des ménages / mars
 - 08h00 Inflation / janvier (définitif)
    
 MADRID :    
 - 09h00 PIB / T4
    
 LONDRES :   
 - 10h30 PIB / T4 (2e estimation) 
    
 FRANCFORT : 
 - 10h00 Masse monétaire M3, crédit au privé en zone euro / janvier
     
 BRUXELLES : 
 - 11h00 Inflation / janvier (définitif) 
    
 WASHINGTON :
 - 14h30 Inscriptions au chômage / semaine au 20 février
 - 14h30 Commandes de biens durables / janvier
 
 
                 SOCIÉTÉS :
    
 PARIS :
    Avant Bourse :
 - 06h30 Seb / résultats annuels
 - 07h00 Axa / résultats annuels 
 - 07h00 Technip / résultats annuels
 - 07h30 Areva / résultats annuels 
 - 07h30 Bureau Veritas / résultats annuels
 - 08h00 Engie / résultats annuels
 - Veolia / résultats annuels
 - Safran / résultats annuels
 - Plastic Omnium / résultats annuels
 - Solvay / résultats annuels 
 - Groupe Flo / résultats annuels 
    
    Après Bourse :
 - Saint-Gobain / résultats annuels 
 - Havas / résultats annuels
 - Spir Communication / résultats annuels 
 - Axway / résultats annuels   
    
    Egalement :
 - 09h30 Air France-KLM / comité central d'entreprise 
         d'Air France (1ère journée)
 - 11h00 La Banque Postale / présentation des résultats 2015 
 - 14h30 Crédit mutuel (CM11), CIC / présentation des résultats 2015
 - Europcar / résultats annuels
 - Groupe Gorgé / CA annuel
 - GFI Informatique / résultats annuels 
 
    
 BRUXELLES : 
 - Solvay / résultats du T4
 - Anheuser-Busch InBev / résultats du T4
    
 BARCELONE : 
 - Mobile World Congress (dernier jour)
          bit.ly/1SAfnMh
     
 LONDRES :   
 - Lloyds Banking Group / résultats annuels
       
 FRANCFORT : 
 - Bayer / résultats du T4
 - Deutsche Telekom / résultats du T4
 - Henkel / résultats du T4    
 MADRID :    
 - Repsol / résultats annuels
    
 NEW YORK :  
 - Gap / résultats du T4 (après Bourse)
 - Kraft Heinz / résultats du T4 (après Bourse)

    

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