Les
Bourses asiatiques retombent dans leurs travers, en écho au pétrole
Tokyo - Les Bourses asiatiques trébuchaient lourdement mercredi, dans le sillage des places européennes et de Wall Street, lestées par la rechute du baril de pétrole sous les 30 dollars qui a ravivé les angoisses des marchés en ce début d'année calamiteux.
A Tokyo, l'indice phare Nikkei perdait 3,14% (-556,51 points) à mi-séance, à 17.194,17 points, oubliant l'optimisme qui avait suivi l'adoption surprise par la Banque du Japon (BoJ) de taux négatifs pour dynamiser l'activité économique. Il avait déjà cédé du terrain mardi, après deux jours de franc rebond.
L'euphorie se sera vite dissipée. Depuis la décision de la Banque du Japon la semaine dernière, les marchés sont nerveux, craignant que les banques centrales soient incapables de combattre les risques de déflation entraînés par le plongeon des prix du pétrole, a commenté, dans une note citée par l'agence Bloomberg, Mark Smith, économiste de la banque ANZ de Nouvelle-Zélande.
Ailleurs dans la région, la tendance était similaire. La Bourse de Hong Kong plongeait de plus de 3%, après avoir déjà reculé en début de semaine du fait d'indicateurs chinois décevants.
La Bourse de Shanghai, soutenue la veille par l'injection par la banque centrale chinoise de milliards de yuans sur le marché avant le Nouvel an, battait aussi en retraite.
Idem à Sydney, Séoul et plus encore à Singapour, Manille et Kuala Lumpur.
Mardi, les Bourses européennes et Wall Street avaient donné le ton, l'Eurostoxx 50 abandonnant 2,29%, tandis que le Dow Jones décrochait de 1,80% et le Nasdaq de 2,24%.
Sur le volet des changes, le yen, considéré comme une valeur refuge, se renforçait sensiblement, le dollar s'affichant autour de 119,50 yens à la mi-journée à Tokyo, contre 120,49 yens la veille.
- Débâcle pétrolière -
C'est encore une fois l'or noir, obsession des investisseurs en ce début 2016 exécrable sur les marchés, qui a précipité ce nouveau plongeon. Le cours du baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars a perdu 1,74 dollar à 29,88 dollars à New York, retombant en clôture sous le seuil des 30 dollars pour la première fois depuis le 21 janvier.
Le WTI cédait encore 18 cents à 29,70 dollars mercredi dans les échanges électroniques en Asie.
Depuis l'été 2014, le prix du baril a dégringolé de 70% sur fond d'offre trop abondante face à une faible demande.
La baisse continue des cours du brut est en grande partie imputable à l'offensive commerciale de l'Opep, et notamment de l'Arabie saoudite, qui inonde le marché d'or noir afin de contrer l'essor des hydrocarbures de schiste aux États-Unis. Elle s'explique aussi par la faiblesse de la demande chinoise, qui ne joue plus son rôle de locomotive.
La semaine dernière, les cours s'étaient repris à la faveur de spéculations sur la possibilité d'un accord entre la Russie et l'Opep, dont l'Arabie saoudite est le chef de file, mais la fébrilité a refait surface à l'approche de la publication des statistiques hebdomadaires du ministère américain de l'Energie (DoE), attendues dans la journée.
Principales victimes de ce marasme pétrolier, les valeurs liées aux matières premières amplifiaient leurs pertes mercredi.
A Hong Kong, le groupe public pétrolier chinois CNOOC lâchait ainsi 5,7% et PetroChina 5%. A Sydney, le géant minier BHP Billiton abandonnait 4,2%, à Tokyo les sidérurgistes JFE Holdings et Nippon Steel & Sumitomo Metal (NSSM) dévissaient chacun de plus de 7%.
En Europe mardi, la compagnie pétrolière britannique BP avait vu son action plonger de 8,7% après avoir annoncé une perte annuelle de 6,5 milliards de dollars et des milliers de suppressions d'emplois supplémentaires.
Son concurrent américain ExxonMobil a mieux résisté mais ses bénéfices ont tout de même été divisés par deux en 2015 et de nouvelles cures d'austérité se profilent cette année.
Quand on voit BP faire part de résultats aussi désastreux et Exxon contraint de réduire encore les dépenses, on prend conscience de l'impact que le pétrole bon marché a sur l'économie. Les fondements se détériorent et le spectre d'une récession grandit, a averti Chris Weston, analyste chez IG à Melbourne, interrogé par Bloomberg News.
(©AFP / 03 février 2016 05h38)

Le
pétrole baisse en Asie en attendant les réserves américaines
Singapour (awp/afp) - Les cours du pétrole
étaient orientés à la baisse mercredi, les analystes anticipant une nouvelle
hausse des réserves américaines d'or noir, de nature à aggraver la situation de
surabondance de l'offre.
Les prix avaient repris du poil de la bête la semaine dernière, certains investisseurs espérant bien que la Russie et l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) trouvent un accord pour réduire leur niveau de production.
Mais les analystes tablent désormais sur de mauvaises nouvelles du département américain de l'Energie, qui doit annoncer mercredi les chiffres hebdomadaires des réserves de brut et de produits pétroliers, ainsi que la production nationale et l'activité des raffineries.
Une nouvelle hausse des réserves est attendue, ce qui est un indice d'une baisse de la demande chez le premier consommateur au monde.
Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en mars cédait 18 cents à 29,70 dollars, vers 03H40 GMT.
Le baril de Brent de la mer du Nord, la référence européenne du brut, pour livraison en avril, reculait quant à lui de 14 cents, à 32,58 dollars.
"Les analystes tablent sur une poursuite de la baisse des cours, avec une augmentation des stocks attendue à 4 millions de barils", a déclaré à l'AFP Michael McCarthy, analyste chez CMC Markets.
Depuis juin 2014, les cours ont perdu environ 70%.
Lundi à la clôture, le WTI pour livraison en mars a perdu 1,74 dollar à 29,88 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril a perdu 1,52 dollar pour terminer la journée à 32,72 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
(AWP / 03.02.2016 05h24)
Les prix avaient repris du poil de la bête la semaine dernière, certains investisseurs espérant bien que la Russie et l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) trouvent un accord pour réduire leur niveau de production.
Mais les analystes tablent désormais sur de mauvaises nouvelles du département américain de l'Energie, qui doit annoncer mercredi les chiffres hebdomadaires des réserves de brut et de produits pétroliers, ainsi que la production nationale et l'activité des raffineries.
Une nouvelle hausse des réserves est attendue, ce qui est un indice d'une baisse de la demande chez le premier consommateur au monde.
Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en mars cédait 18 cents à 29,70 dollars, vers 03H40 GMT.
Le baril de Brent de la mer du Nord, la référence européenne du brut, pour livraison en avril, reculait quant à lui de 14 cents, à 32,58 dollars.
"Les analystes tablent sur une poursuite de la baisse des cours, avec une augmentation des stocks attendue à 4 millions de barils", a déclaré à l'AFP Michael McCarthy, analyste chez CMC Markets.
Depuis juin 2014, les cours ont perdu environ 70%.
Lundi à la clôture, le WTI pour livraison en mars a perdu 1,74 dollar à 29,88 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril a perdu 1,52 dollar pour terminer la journée à 32,72 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
(AWP / 03.02.2016 05h24)
Bourse
de Tokyo: le Nikkei chute de plus de 3% dans la matinée
Tokyo - L'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo accentuait sa chute mercredi matin, lâchant plus de 3%, lesté par la baisse des cours du pétrole qui a entraîné un net recul des places étrangères mardi.
L'indice phare des 225 valeurs vedettes perdait 3,64% (-646,46 points) un peu plus d'une heure après l'ouverture, à 17.104,22 points. Il avait déjà cédé du terrain mardi, après avoir bondi de 2,80% vendredi puis de 2% lundi grâce à l'annonce par la Banque du Japon (BoJ) de l'adoption de taux négatifs pour doper l'activité économique.
L'indice élargi Topix de tous les titres du premier tableau dévissait pour sa part de plus de 3,6% à 1.398,91 points.
Sur le volet des changes, le yen continuait à se renforcer face aux principales devises, ce qui décourage l'achat d'actions de groupes exportateurs. Il valait dans la matinée à Tokyo autour de 119,60 yens, contre 120,49 yens à la fermeture mardi. L'euro est quant à lui revenu à 130,71 yens, contre 131,44 yens la veille.
Depuis la décision de la Banque du Japon la semaine dernière, les marchés sont nerveux, craignant que les banques centrales soient incapables de combattre les risques de déflation entraînés par le plongeon des prix du pétrole, a commenté, dans une note citée par l'agence Bloomberg, Mark Smith, économiste de la banque ANZ de Nouvelle-Zélande.
Le pétrole a encore nettement baissé mardi, dans un marché déprimé par l'absence d'avancée sur le front d'une concertation internationale pour faire baisser la production et la perspective de stocks en hausse aux Etats-Unis.
Conséquence, les Bourses européennes et Wall Street ont fortement reculé. L'Eurostoxx 50 a abandonné 2,29%, tandis que le Dow Jones a décroché de 1,80% et le Nasdaq de 2,24%.
(©AFP / 03 février 2016 02h45)

La
Bourse de Hong Kong plonge de plus de 3% à l'ouverture
Hong Kong - La Bourse de Hong Kong plongeait de plus de 3% mercredi dans les premiers échanges, dans le sillage des places européennes et de Wall Street plombées par la chute du baril de pétrole sous les 30 dollars.
L'indice composite Hang Seng cédait vers 02H00 GMT 615,71 points, soit 3,17% à 18.831,13 points.
Après avoir tenté de rebondir en janvier, l'or noir a rechuté lundi et mardi, repassant sous les 30 dollars à New York, dans un marché déprimé par l'absence d'avancée sur le front d'une concertation internationale pour faire baisser la production et la perspective de stocks en hausse aux Etats-Unis.
En conséquence, les Bourses européennes et Wall Street ont fortement reculé. L'Eurostoxx 50 a abandonné 2,29%, tandis que le Dow Jones a décroché de 1,80% et le Nasdaq de 2,24%.
(©AFP / 03 février 2016 03h07)
Wall Street finit en net repli
avec la nouvelle chute du pétrole
mardi
2 février 2016 22h31
par Chuck Mikolajczak
NEW YORK (Reuters) - Wall
Street a fini en net recul mardi, la nouvelle chute du pétrole ayant alimenté
les inquiétudes sur la croissance mondiale et incité les investisseurs à fuir
les actifs à risque.
Le pétrole subit son
énième plongeon après une brève embellie à la fin de la semaine dernière. Le
marché croit de moins en moins à un accord entre les membres de l'Opep et les
pays extérieurs au cartel sur une réduction de la production.
L'indice Dow Jones a cédé
295,64 points, soit 1,80%, à 16.153,54 points. Le S&P-500, plus large, a
perdu 36,35 points, soit 1,87%, à 1.903,03 points. Le Nasdaq Composite a reculé
de son côté de 103,42 points (-2,24%) à 4.516,95 points.
Le baril de Brent perdait
4,7% à ce stade et le brut léger américain est brièvement tombé sous la barre
des 30 dollars, en baisse de 5,5%, après une chute de près de 6% lundi, le
fugitif espoir d'un accord entre les pays de l'Opep et les producteurs
extérieures au cartel s'estompant progressivement.
Les marchés pétroliers ont
déjà effacé l'essentiel de leurs gains de la semaine dernière, qui a vu les
cours reprendre près de 20% par rapport à leurs creux de mi-janvier à la suite
de déclarations du ministre russe de l'Energie selon lesquelles l'Arabie
saoudite suggérait de réduire la production de brut.
"Nous n'avons
toujours pas rompu la corrélation entre le pétrole et les actions et nous
n'avons pas encore touché le fond en ce qui concerne les cours du
pétrole", souligne Jeff Carbone, co-fondateur de Cornerstone Financial
Partners.
Le marché américain a été
pénalisé par la chute du pétrole mais aussi par des craintes concernant
l'impact sur l'économie mondiale de la panne de en Chine. Dans ce contexte les
investisseurs s'attendent à voir la Réserve fédérale américaine ralentir le
rythme de relèvement de ses taux directeurs.
L'attention des
investisseurs va désormais se tourner vers les chiffres de l'emploi de janvier
qui seront publiés vendredi.
Les intervenants
surveillent également les primaires en vue de l'élection présidentielle du 8
novembre aux Etats-Unis.
Hillary Clinton et Bernie
Sanders ont pratiquement fait match nul lundi dans le caucus démocrate de
l'Iowa, tandis que, dans le camp républicain, le conservateur texan Ted Cruz a
damé le pion au favori au plan national, Donald Trump.
Rick Meckler, de LibertyView
Capital Management, note que les résultats de l'élection dans l'Iowa créent une
incertitude accrue faute d'un véritable vainqueur.
"Au fond, les
investisseurs préfèreraient un peu plus de certitudes qu'ils ne le constatent
pour le moment, tant sur le plan électoral qu'au niveau des marchés de
l'énergie", dit-il.
Tous les indices S&P
sectoriels ont fini dans le rouge à l'exception de celui des services
collectifs, le moins cyclique.
Aux valeurs, Exxon Mobil a
perdu 2,23% après avoir annoncé une baisse de 58% de ses bénéfices au quatrième
trimestre et une baisse de 25% de ses dépenses d'investissement cette année
face à la chute des cours du brut.
Contre la tendance,
Alphabet a pris 1,32% à 780,91 dollars après des résultats meilleurs que prévu.
La maison mère de Google est devenue la première capitalisation boursière au
monde, détrônant ainsi Apple (-2,02%) qui avait presque monopolisé la première
place pendant quatre ans.
Michel Kors Holdings s'est
envolé de 23,91% à 50,11 dollars. Le fabricant de sacs à main a annoncé une
baisse de 0,9% de ses ventes trimestrielles clos le 26 décembre, nettement
inférieure au recul de 4,5% attendu selon Consensus Metrix.
Yahoo (-1,72%) devait
publier ses résultats après Bourse. Selon le Wall Street Journal, la directrice
générale Marissa Mayer annoncera à cette occasion un plan de restructuration
prévoyant de réduire les effectifs de 15%.
(avec
Tanya Agrawal, Juliette Rouillon pour le service français)
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Reuters 2016 Tous droits réservés.
Fort recul des marchés
boursiers à la clôture en Europe
mardi
2 février 2016 17h57
PARIS (Reuters) - Les
Bourses européennes ont fortement reculé mardi sous l'effet d'un nouveau
plongeon des cours du pétrole et du très mauvais accueil réservé aux résultats
des poids lourds de la cote que sont BP et UBS.
Wall Street, où la séance
est également marquée par une batterie de résultats d'entreprises, recule
d'environ 1,3% à l'heure de la clôture en Europe, pour des raisons similaires.
À Paris, le CAC 40 a cédé
2,47% (108,34 points) à 4.283,99 points. À Francfort, le Dax a reculé de 1,81%
et à Londres, le FTSE a perdu 2,28%. L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 a
baissé de 2,14% et l'EuroStoxx 50 de la zone euro de 2,29%.
Après leur chute de la
veille, les cours du brut reculent encore d'environ 4% en raison des craintes
concernant la panne de croissance chinoise et du scepticisme quant aux chances
de voir les principaux producteurs s'entendre sur les moyens de résorber
l'écart entre l'offre et la demande.
L'indice regroupant les
valeurs pétrolières européennes perd 4,88%, accusant la plus forte baisse
sectorielle devant le compartiment des banques (-4,03%) et celui des ressources
de base (-3,56%).
Dans le secteur pétrolier,
BP a chuté de 8,68% après avoir annoncé une perte de 6,5 milliards de dollars
(5,8 milliards d'euros) au titre de 2015, son plus mauvais résultat depuis au
moins vingt ans, en conséquence de la chute des cours du pétrole.
Du côté des banques, UBS a
perdu 6,83% à la suite de l'annonce de résultats meilleurs que prévu mais
caractérisés par une sortie inattendue d'argent frais de sa division gestion de
fortune.
Tout le secteur a souffert
dans son sillage, à commencer par Société générale (-6,35%), plus forte baisse
d'un CAC 40 entièrement dans le rouge.
Sur le marché des changes,
le dollar progresse très légèrement face à un panier de devises de référence
tandis que sur le marché de la dette, les obligations d'Etat jouent leur rôle
de valeur refuge et voient leurs rendements baisser.
(Patrick
Vignal pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)
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Japon-Nouvelle hausse de
l'activité dans les services
mercredi
3 février 2016 03h25
TOKYO, 3 février (Reuters) - Le secteur des services
japonais a connu en janvier sa croissance la plus forte depuis cinq mois, signe
que le ralentissement économique chinois et la situation des marchés boursiers
mondiaux n'inquiètent pas les consommateurs et les entreprises de l'archipel,
montre une enquête menée auprès des directeurs d'achat et publiée mercredi.
L'indice PMI Markit/Nikkei
s'est établi à 52,4 le mois dernier contre 51,5 en décembre.
La composante des
nouvelles affaires a atteint 52,2 en janvier, contre 52,0 en décembre, ce qui
est là aussi sa hausse la plus forte en cinq mois.
(Stanley White; Eric Faye
pour le service français)
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Chine/Indicateurs-Croissance
des services à un plus haut de 6 mois
mercredi
3 février 2016 03h07
PEKIN, 3 février
(Reuters) - Principaux indicateurs économiques chinois du mois:
*
INDICE PMI CAIXIN DES SERVICES A 52,4 EN JANVIER
3 février - La croissance
dans le secteur des services a atteint son rythme le plus fort depuis six mois
en janvier, montre une enquête publiée mercredi, ce qui contribue à compenser
la faiblesse du secteur manufacturier qui pèse sur la deuxième économie au
monde.
L'indice Caixin-Markit des
directeurs d'achat est remonté à 52,4 en janvier, après avoir atteint un plus
bas de 17 mois à 50,2 en décembre.
Le sous-indice mesurant
l'emploi dans le secteur des services a connu sa plus forte augmentation depuis
six mois, passant à 51,8 en janvier, contre 51,3 un mois plus tôt, tandis que
la composante mesurant les nouvelles affaires a augmenté elle aussi, ce qui
sous-entend que les entreprises du secteur des services ont créé davantage
d'emplois pour répondre aux besoins plus importants.
En 2015, la contribution
du secteur des services au PIB s'est élevée à 50,5%, dépassant la barre des 50%
pour la première fois.
*
INDICE PMI DU SECTEUR MANUFACTURIER A 49,4 EN JANVIER
1er février - L'activité
dans le secteur manufacturier s'est contractée en janvier pour le sixième mois
d'affilée, selon l'indice officiel des directeurs d'achats du secteur (PMI)
publié lundi.
Il s'est établi à 49,4 en
janvier contre 49,7 en décembre, en dessous de la barre des 50 qui sépare la
croissance de la contraction sur une base mensuelle.
Les économistes interrogés
par Reuters tablaient sur 49,6.
La croissance économique
chinoise a ralenti l'an dernier, à 6,9%, son niveau le plus faible depuis 25
ans.
*
INDICE PMI CAIXIN-MARKIT MANUFACTURIER A 48,4 EN JANVIER
1er février - L'activité
manufacturière s'est contractée pour le onzième mois d'affilée en janvier,
selon l'indice Caixin-Markit des directeurs d'achat (PMI) du scteur.
Il s'est établi à 48,4 en
janvier, soit légèrement au-dessus des 48,2 de décembre, et déjouant les
anticipations du marché qui étaient de seulement 48,0. L'indice reste toutefois
nettement en dessous de la barre de 50, ce qui sous-entend que la situation
économique continue de se détériorer en ce début 2016.
*
Pour retrouver les principaux indicateurs publiés en janvier: (Service
économique)
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Reuters 2016 Tous droits réservés.
Serge Poznanski
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