vendredi 5 février 2016

INFOS BOURSE DE LA NUIT DU 4 AU 5 FEVRIER 2016

La Bourse de Hong Kong ouvre en hausse

Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a ouvert vendredi à la hausse, dans le sillage des places européennes et de Wall Street.


L'indice composite Hang Seng gagnait dans les premiers échanges 178,37 points, soit 0,93% à 19.361,46 points.


dan/jac/mf


(AWP / 05.02.2016 02h55)
http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=673706 

La Bourse de Tokyo en baisse à la mi-séance

vendredi 5 février 2016 04h54

TOKYO, 5 février (Reuters) - Les valeurs étaient en baisse vendredi à la mi-séance à la Bourse de Tokyo qui se dirigeait vers une quatrième séance consécutive de repli.
L'indice Nikkei des valeurs vedettes affichait un recul de 1,2 %, soit 253,43 points, à 16.791,56. Quant à l'indice Topix, plus large, il reculait de 25 points (soit 1,8%) à 1.363,57.
(Bureau de Tokyo; Eric Faye pour le service français)

La Bourse de Shanghai ouvre en quasi-équilibre (+0,07%)

Le chiffre d'affaires de News Corp continue de baisser

jeudi 4 février 2016 23h27

 (Actualisé avec précisions et contexte)
4 février (Reuters) - News Corp a annoncé jeudi une baisse de son chiffre d'affaires pour le quatrième trimestre consécutif, conséquence de l'appréciation du dollar et de la diminution des recettes publicitaires de ses activités de presse et de diffusion d'information, qui incluent le Wall Street Journal et l'agence financière Dow Jones.
Le groupe contrôlé par le magnat des médias Rupert Murdoch a réalisé sur la période octobre-décembre, deuxième trimestre de son exercice fiscal, un chiffre d'affaires de 2,16 milliards de dollars (1,93 milliard d'euros), en repli de 4,3% sur un an.
Les analystes financiers prévoyaient en moyenne un chiffre d'affaires de 2,13 milliards selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S.
Les revenus de la division de presse et d'information ont reculé de 8,1% à 1,40 milliard de dollars. La branche, qui génère les deux tiers environ du chiffre d'affaires total, possède aussi le New York Post et le Sun.
Les recettes publicitaires ont chuté de 12% sur le trimestre.
L'impact négatif des fluctuations des devises s'élève à 141 millions de dollars.
Le bénéfice net a diminué de 56% à 62 millions de dollars, soit 11 cents par action, contre 142 millions (24 cents/action) un an plus tôt.
Hors exceptionnels, le bénéfice par action est de 20 cents, soit un cent de moins qu'attendu par les analystes.
(Anya George Tharakan à Bangalore; Marc Angrand pour le service français)

LinkedIn-Les prévisions déçoivent, le titre chute hors séance

jeudi 4 février 2016 23h13

4 février (Reuters) - LinkedIn a présenté jeudi des prévisions de chiffre d'affaires et de bénéfice inférieures aux estimations des analystes pour le trimestre en cours, en arguant de la faiblesse du marché du recrutement hors d'Amérique du Nord.
Le titre du réseau social dédié aux professionnels plongeait de plus de 26% à 141,44 dollars dans les transactions hors séance.
La société prévoit pour le premier trimestre un bénéfice par action ajusté d'environ 55 cents, alors que le consensus Thomson Reuters I/B/E/S le donne à 74 cents.
Elle table sur un chiffre d'affaires d'environ 820 millions de dollars, lui aussi inférieur au consensus (866,9 millions).
Les services de recrutement de LinkedIn sont sous pression en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie-Pacifique "au vu de la situation économique mondiale", a déclaré le directeur financier de l'entreprise, Steve Sordello, dans un communiqué.
LinkedIn continue par ailleurs d'investir dans son développement en rachetant des entreprises, en recrutant des commerciaux et en augmentant sa présence hors des Etats-Unis.
Sur le trimestre clos le 31 décembre, l'entreprise a subi une perte nette de 8,4 millions de dollars (7,5 millions d'euros), soit six cents par action, à comparer à un bénéfice net de trois millions (deux cents par action) un an plus tôt.
Hors éléments exceptionnels, elle affiche un bénéfice de 94 cents par action, supérieur de 20 cents au consensus.
Le chiffre d'affaires trimestriel a progressé d'environ 34% à 861,9 millions de dollars.
(Natalie Grover et Sai Sachin R à Bangalore; Marc Angrand pour le service français)

 Wall Street clôture en hausse, grâce aux matières premières

jeudi 4 février 2016 23h08

par Caroline Valetkevitch
NEW YORK (Reuters) - Les marchés actions américains ont terminé en légère hausse jeudi grâce à la remontée des cours des matières premières, mais l'incertitude à la veille des chiffres de l'emploi et les prévisions jugées décevantes de certains grands noms de la distribution ont limité le rebond entamé la veille.
L'indice Dow Jones a gagné 79,92 points, soit 0,49%, à 16.416,58. Le Standard & Poor's 500 a pris 2,92 points (+0,15%) à 1.915,45 et le Nasdaq Composite a progressé de 5,32 points (+0,12%) à 4.509,56.
Si le marché pétrolier a terminé en repli après un bond de 7% mercredi, les cours du cuivre, de l'or et du zinc ont rebondi à la faveur de la dépréciation continue du dollar. L'indice S&P des valeurs de matières premières a pris 2,76% sur la journée.
En baisse pour la quatrième séance d'affilée, l'indice du dollar, qui reflète l'évolution du billet vert face à un panier de six autres grandes devises, a touché en séance son plus bas niveau depuis plus de trois mois à 96,259.
L'euro, lui, est monté à son plus haut niveau depuis le 22 octobre, à 1,1239 dollar.
Sur le marché actions, la séance a débuté dans le rouge après les chiffres hebdomadaires des inscriptions au chômage, en hausse plus marquée qu'attendu, et ceux de la productivité au quatrième trimestre, qui accusent leur plus forte baisse depuis plus d'un an.
Les commandes à l'industrie affichent quant à elles pour décembre leur recul le plus marqué depuis un an.
Ces indicateurs confortent aux yeux de nombreux investisseurs le scénario d'un ralentissement de la remontée des taux de la Fed.
RALPH LAUREN ET KOHL'S SANCTIONNÉS APRÈS LEURS RÉSULTATS
Le département du Travail doit publier vendredi à 13h30 GMT les statistiques mensuelles du marché du travail et les économistes interrogés par Reuters prévoient en moyenne 190.000 créations d'emploi en janvier, soit 102.000 de moins qu'en décembre.
Pour Adam Sarhan, directeur général de Sarhan Capital, le marché actions cherche à rebondir après avoir atteint des niveaux "fortement survendus" mais il peine à y parvenir en raison de la faiblesse des résultats des sociétés cotées et des indicateurs conjoncturels.
"On constate que beaucoup de statistiques économiques sont inférieures aux attentes", dit-il. "On manque d'un catalyseur haussier qui justifierait de nouvelles hausses des taux."
Aux valeurs, Ralph Lauren a chuté de 22,16% et l'enseigne de grands magasins Kohl's de 18,8% après la publication de chiffres de ventes décevants pour la saison des fêtes de fin d'année, assortis de prévisions peu encourageantes.
Les deux titres ont subi les plus mauvaises performances du S&P 500 sur la journée. Dans leur sillage, Macy's, Target, et J.C. Penney ont abandonné entre 2,1% et 4,8%. Quant à l'indice S&P de la distribution, il affiche un recul de 0,87%.
Le spécialiste des caméras de loisirs GoPro a lui perdu 8,68% après une prévision de chiffre d'affaires inférieure aux attentes des analystes.
La banque UBS a abaissé jeudi son objectif pour le S&P 500 fin 2016, le ramenant de 2.275 à 2.175 points, et réduit sa prévision de bénéfice pour les sociétés composant l'indice pour prendre en compte la dégradation des perspectives de croissance.
Après la clôture, LinkedIn chutait de 24% dans les transactions hors séance après la publication des résultats et des prévisions du réseau social professionnel.
Environ 9,5 milliards d'actions ont changé de mains jeudi, contre 9,4 milliards en moyenne sur les 20 dernières séances selon les données Thomson Reuters.
Sur le marché obligataire, les rendements ont reflué en réaction aux chiffres économiques du jour, qui plaident contre une poursuite de la remontée des taux. En fin de journée, les Treasuries à dix ans affichaient un rendement de 1,86% contre 1,88% mercredi soir, alors qu'il dépassait 2,3% fin décembre.
(avec Tanya Agrawal; Marc Angrand pour le service français)

Le "Brexit", un cauchemar plus qu'un rêve pour la place de Paris

jeudi 4 février 2016 14h25

par Julien Ponthus
PARIS (Reuters) - Paris peut-il remplacer Londres comme capitale financière de l'Union européenne à la faveur d'un "Brexit" ?
Cette question n'agite guère la place de Paris, tant ses banquiers et financiers doutent qu'ils aient grand-chose à y gagner si les électeurs britanniques choisissent de sortir de l'Union européenne. Au contraire.
"Un 'Brexit' dur, de rupture, ferait mal aux Britanniques, certainement, mais ce qui est navrant pour nous, c'est que nous ne récupérerions pas l’activité qu’ils perdraient", explique à Reuters Pierre de Lauzun, délégué général de l’Association des marchés financiers (AMAFI).
"Ce ne serait donc pas un jeu à somme nulle, mais à somme assez négative", poursuit-il convaincu "qu'une partie importante de l’activité resterait à Londres à cause du savoir-faire, de la présence des investisseurs, de l'ouverture mondiale que les autres places n'ont pas du tout à ce degré".
A moins de cinq mois du 23 juin, date pressentie pour le référendum, l'issue du scrutin apparaît de plus en plus incertaine : certains sondages, comme celui publié dimanche par l'institut YouGov, donnent une légère avance (42% comme 38%), aux partisans d'une sortie de l'Union.
Cette étude, dont les résultats ont contribué à peser sur le cours de la livre lundi, a été publiée avant même le rejet par les eurosceptiques des propositions de réforme présentées par le Conseil européen pour prévenir un départ du Royaume-Uni.
The Sun, le tabloïd détenu par l'influent magnat des médias Rupert Murdoch, a qualifié mercredi le compromis de "tas de fumier fumant", laissant présager une âpre campagne durant laquelle la finance européenne n'aura aucune assurance sur l'emplacement futur de sa capitale.
"EFFET DÉSTABILISATEUR"
Les banquiers français redoutent "l'effet déstabilisateur", selon le mot de l'un d'entre eux, qu'aurait un "Brexit" mais pour l'heure ces derniers préfèrent rester discrets, redoutant une prise de position contreproductive.
"Les banques et les acteurs économiques ne sont pas favorables au 'Brexit'", tranche une responsable importante de la place de Paris, qui préfère conserver l'anonymat.
La médiatisation des donations des banques d'investissement américaines Goldman Sachs ou JP Morgan Chase & Co pour la campagne en faveur du maintien dans l'UE est vue comme un exemple de communication à ne pas suivre.
La discrétion est donc de mise, comme à la Commission européenne où les économistes ont reçu ordre des services de Jean-Claude Juncker, son président, de ne mener aucune étude sur les conséquences d'un "Brexit" afin de ne pas attiser le débat.
Selon un diplomate français, il n'est "pas du tout sûr que les Britanniques se laissent impressionner par les menaces brandies par ceux qui veulent rester dans l'UE", comme la perte de la place financière de Londres.
"Faire éclater l'UE, ça peut être jouissif pour une partie des électeurs britanniques", résume-t-il pour Reuters alors que la crise des migrants ou les craintes d'attentats jouent en faveur du parti sécessionniste.
"D'AUTRES SE REMUERONT"
Reste qu'une mobilisation à Paris pour faire de sa place une alternative à Londres ne semble guère fédératrice.
En France, aucun plan de bataille n'est officiellement en travaux pour rendre la monnaie de sa pièce au Premier ministre britannique David Cameron, qui avait promis en 2012 de dérouler le "tapis rouge" aux entrepreneurs fuyant la taxe à 75% sur les très hauts revenus qui avait été mise en oeuvre par François Hollande.
"C'est très caractéristique : l'idée de profiter du 'Brexit' ne fait l'objet d'aucun débat public en France. On ne voit aucun travail de réflexion collective sur le sujet", dit Pierre de Lauzun.
"D'autres se remueront, je pense notamment aux Néerlandais", ajoute-t-il, alors que ces derniers ne participent pas au projet de taxe sur les transactions financières (TTF) préparé par dix pays de la zone euro dont l'Allemagne et la France.
Pourtant, des places seront à prendre, ont déjà averti des banques installées à Londres.
"Je ne révèle aucun secret quand je dis que dans l'hypothèse improbable d'un 'Brexit', nous mettrions plus de ressources à Francfort", avait confié en juin au Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung Richard Gnodde, co-dirigeant de la division de banque d'investissement de Goldman Sachs.
A Londres, l'Investment Association, qui regroupe des gestionnaires de fonds, a dit redouter que les clients du continent qui ont investi dans les fonds gérés à Londres ne rapatrient une partie de leur argent, une crainte relayée par une note de l'agence Moody's, diffusée le 3 décembre.
PAS DE "SCHADENFREUDE" À PARIS
La "Schadenfreude", ce sentiment qui désigne une joie maligne face aux déboires d'autrui, est moins visible sur les bords de la Seine que du Main où, selon un gérant récemment interrogé par Reuters, "un 'Brexit' serait le plus grand cadeau à Francfort depuis la fondation de la ville".
"Je pense que cela peut favoriser des places comme Luxembourg et Francfort, je doute que cela favorise Paris où il y a une fiscalité des entreprises et des particuliers pour ces professions qui est extrêmement pénalisante", estime un ancien dirigeant d'une grande banque française.
"Malheureusement, cela fait trop longtemps qu'on a perdu la bataille, les fonds sont au Luxembourg, petit à petit, la place s'est atrophiée", regrette la gérante d'un grand fonds d'investissement basé à Paris.
La réticence des dirigeants politiques de droite comme de gauche à promouvoir ouvertement le secteur financier est souvent tenue responsable du manque d'ambition de la place de Paris.
"S'il y avait une opportunité, je ne suis pas sûr qu'on en profiterait vu le peu d'intérêt (des politiques) à développer les services financiers", explique un directeur général d'un groupe bancaire français.
La réponse à un "Brexit" pourrait cependant venir de Bruxelles qui pourrait être tenté d'imposer des clauses de sortie drastiques à David Cameron afin de renforcer le secteur financier de la zone euro.
"Comment pourriez-vous espérer qu'après avoir quitté l'économie européenne, cette économie accepterait que son centre financier soit à l'extérieur de ses frontières", s'est interrogé l'ancien commissaire européen belge Karel de Gucht lors d'un débat organisé par le think tank Open Europe en janvier.
(Julien Ponthus avec Alexandre Boksenbaum-Granier, Leigh thomas et Elizabeth Pineau édité par Jean-Michel Bélot)

La Banque d'Angleterre abaisse ses prévisions de croissance

jeudi 4 février 2016 17h04

par David Milliken et Ana Nicolaci da Costa
LONDRES (Reuters) - La Banque d'Angleterre (BoE) a revu en baisse jeudi ses prévisions de croissance et l'unique membre de son comité de politique monétaire qui avait soutenu le principe d'une hausse des taux ces derniers mois est revenu sur sa position.
Ces annonces laissent penser que les taux resteront stables sur une longue période, même si le gouverneur de la BoE, Mark Carney, a déclaré à l'issue du comité de politique monétaire que le prochain pas serait probablement un relèvement de taux.
Faisant écho au pessimisme des banquiers centraux dans le monde, Mark Carney a souligné que la croissance mondiale était au mieux modeste, avec des risques accrus liés au ralentissement dans les économies émergentes, qui freine la croissance britannique malgré la bonne résistance de la demande intérieure.
Face au rééquilibrage de l'économie chinoise, à l'augmentation des flux de capitaux, au durcissement des conditions financières et à l'augmentation de la volatilité sur les marchés, il a noté une montée des risques pour le pays.
"Toutes ces évolutions créent des risques baissiers pour la croissance au Royaume-Uni à travers les canaux du commerce, de la finance et de la confiance", a-t-il déclaré.
"Les perspectives pour le commerce extérieur sont particulièrement sombres et les exportations nettes devraient peser sur la croissance britannique sur la période étudiée."
Les chutes des marchés pétrolier et boursier et les risques apparus dans les économies émergentes ont incité les banques centrales internationales à revoir en baisse leurs estimations de croissance et d'inflation et à débattre ouvertement de la nécessité de s'orienter vers de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire plutôt que vers une normalisation dès cette année.
La Banque du Japon a adopté la semaine dernière des taux négatifs, la BCE a laissé entendre qu'elle abaisserait ses taux en mars et le gouverneur de la Réserve fédérale de New York, William Dudley, a déclaré mercredi qu'il se pourrait qu'il n'y ait aucune hausse de taux cette année après celle de décembre.
UNE HAUSSE DE TAUX "PLUS PROBABLE"
Le Royaume-Uni a bien résisté jusqu'à présent à la faiblesse de la croissance en Europe, affichant une croissance relativement solide, peu de surcapacité et un taux de chômage proche de l'équilibre de long terme, laissant penser que la BoE suivrait bientôt l'exemple de la Fed en relevant ses taux directeurs.
Les turbulences sur les marchés mondiaux ont refroidi ces attentes mais Mark Carney a déclaré mercredi que le prochain mouvement sur les taux de la banque centrale serait à la hausse.
"Nous ferons ce qu'il faut au bon moment sur les taux", a-t-il dit. "Le plus probable est que le prochain pas soit une hausse."
La Banque d'Angleterre a annoncé à l'issue de son comité de politique monétaire que la totalité de ses neufs membres avaient voté le maintien de son taux d'intervention à un plus bas record de 0,5%, dont il n'a plus bougé depuis près de sept ans.
Ian McCafferty, partisan d'un durcissement monétaire depuis août, a renoncé à son opinion.
"Une période d'inflation basse plus prolongée laisse penser que l'accélération du rythme des hausses salariales sera dans un premier temps moins sensible qu'on ne le pensait jusqu'alors", dit-il, dans le compte-rendu de la réunion.
L'institut d'émission pense toujours que le scénario le plus probable est que les taux d'intérêt augmentent progressivement sur les trois ans à venir mais elle ne semble pas pressée de suivre l'exemple de la Réserve fédérale américaine, qui a durci sa politique monétaire en décembre, juste avant le dernier coup de tabac sur les marchés.
La BoE projette dorénavant une croissance de 2,2% cette année, alors qu'elle anticipait 2,5% en novembre, de 2,3% en 2017 (2,6% en novembre) et de 2,4% en 2018 (2,5%). Cela représenterait le profil de croissance le plus bas depuis près de trois ans.
L'inflation mesurée par les prix de détail devrait rester inférieure à 1% tout au long de 2016, selon la BoE, ce qui est plus long que ce qu'elle projetait précédemment, avant de remonter à un petit peu plus de 2% en l'espace de deux ans, sans changement sur sa prévision antérieure.
(Wilfrid Exbrayat et Juliette Rouillon pour le service français, édité par Bertrand Boucey)



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