Le pétrole monte en Asie
Singapour - Les cours du pétrole étaient
orientés à la hausse lundi, des analystes mettant cette progression au crédit
de données économiques américaines encourageantes publiées la semaine dernière.
Dans les échanges électroniques en Asie, le
baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en avril progressait de 15
cents à 32,93 dollars vers 03H00 GMT.
Le baril de Brent de la mer du Nord, la
référence européenne du brut, pour livraison en avril, était en hausse de 45
cents à 35,55 dollars.
Michael McCarthy, analyste chez CMC Markets à
Singapour, a expliqué que des chiffres meilleurs que prévus de l'économie
américaine pouvaient augurer d'une hausse de la demande en pétrole, au moment
où le marché est plombé par les excédents d'offre.
Les commandes de biens durables aux Etats-Unis
ont rebondi en janvier de façon plus importante que ne le prévoyaient les
analystes grâce notamment à une solide hausse du secteur des transports, a
annoncé jeudi le département du Commerce.
Par ailleurs, la croissance économique des
États-Unis a finalement ralenti moins fortement que prévu au quatrième
trimestre, selon la deuxième estimation du département du Commerce qui a été
révisée en hausse vendredi à la surprise des analystes.
D'octobre à décembre, le produit intérieur brut
(PIB) américain a progressé de 1% en rythme annualisé et en données corrigées
des variations saisonnières, faisant mieux que la précédente estimation (+0,7%)
et surtout que les attentes des analystes (+0,4%).
Les cours du pétrole ont perdu près de 70% de
leur valeur depuis juin 2014, quand le baril se négociait à 100 dollars. La
faute à une offre excessive dans un contexte global de ralentissement
économique.
Les cours avaient rebondi la semaine dernière
sur l'espoir que les principaux producteurs réduisent leur production, mais les
investisseurs ne croient plus à un accord au sein de l'Opep, a déclaré M.
McCarthy.
Les investisseurs ne croient plus que l'Opep ait
la capacité de faire quoi que ce soit, a-t-il dit.
(©AFP / 29 février 2016 05h52)
La Bourse de Shanghai chute de 4% après le G20, la banque
centrale ne rassure pas
Shanghai - La Bourse de Shanghai chutait de plus
de 4% lundi peu après l'ouverture, dans un marché toujours affolé par la
dépréciation continue du yuan et peu convaincu par les engagements des
dirigeants chinois, lors du G20, à utiliser leurs marges de manoeuvre pour
soutenir l'économie.
Vers 02H30 GMT, l'indice composite shanghaïen
perdait 4,14%, soit 114 points, à 2.652,66 points.
De son côté, à la même heure, la Bourse de
Shenzhen, deuxième place de Chine continentale, s'enfonçait de 5,32%, à
1.644,16 points.
Les dirigeants chinois ont multiplié les déclarations
rassurantes durant le G20-Finances de Shanghai, s'engageant notamment à
maintenir le cours du yuan fondamentalement stable, alors que la devise connaît
un violent mouvement de dépréciation, reflet de l'essoufflement économique du
pays.
Il n'y a pas de fondement (économique) pour une
dépréciation persistante du renminbi (autre nom du yuan), a déclaré Zhou
Xiaochuan, gouverneur de la banque centrale chinoise (PBOC), en marge de la
réunion des grands argentiers du G20 à Shanghai vendredi et samedi.
Signe de la précarité de la situation, le yuan
--dont les fluctuations restent relativement encadrées -- n'en poursuivait pas
moins de plus belle lundi matin son net recul face au dollar.
La Chine conserve une marge de manoeuvre (...)
et les outils de politique monétaire nécessaires pour faire face aux risques
potentiels menaçant l'économie, et elle mènera une politique appropriée pour
soutenir l'activité, a-t-il martelé.
Des promesses qui peinaient toutefois à
convaincre les investisseurs, alors que la conjoncture ne cesse de s'assombrir
dans la deuxième économie mondiale, sur fond de contractions de l'activité
manufacturière et des exportations, de demande terne, et de sévères surcapacités
industrielles.
Le marché se montrait par ailleurs circonspect
et prudent à quelques jours de la cruciale réunion de l'Assemblée nationale
populaire (ANP), chambre d'enregistrement législative du régime, où sera
dévoilée la nouvelle feuille de route économique de Pékin.
Les investisseurs s'interrogent par ailleurs sur
une éventuelle accélération des réformes des mécanismes de marchés, après la
récente nomination d'un nouveau patron, Liu Shiyu, à la tête de l'autorité
chinoise de régulation des marchés financiers.
(©AFP / 29 février 2016 04h16
La Bourse de Hong Kong ouvre en baisse
Hong Kong (awp/afp) - La Bourse de Hong Kong a commencé
lundi la semaine à la baisse, après avoir terminé vendredi sur un bond de
2,52%.
L'indice composite Hang Seng reculait dans les
premiers échanges de 112,75 points, soit 0,58% à 19.251,40 points.
jac/mf
(AWP / 29.02.2016 02h48) 
La Bourse de Shanghai chute de plus de 3% peu après
l'ouverture
Shanghai (awp/afp) - La Bourse de Shanghai chutait de
plus de 3% lundi peu après l'ouverture, dans un marché toujours affolé par la
dépréciation continue du yuan et peu convaincu par les propos rassurants des dirigeants
chinois tenus lors du récent G20-Finances.
Dans les premiers échanges, l'indice composite
shanghaïen a ouvert sur un repli de 0,45%, à 2.754,81 points, avant d'accélérer
rapidement ses pertes et de lâcher plus de 3% vers 02H00 GMT.
(AWP / 29.02.2016 03h25)
Wall Street à l'affût
des indicateurs économiques
dimanche
28 février 2016 17h22
par Chuck Mikolajczak
NEW YORK (Reuters) - Les
investisseurs comptent sur la série d'indicateurs économiques américains
attendus dans les prochains jours pour permettre à Wall Street de poursuivre la
hausse des deux dernières semaines, maintenant que la saison des résultats -
qui se sont avérés plutôt moroses - arrive à son terme.
Sur fond d'inquiétude sur
la croissance mondiale, ils espèrent aussi que les nombreux indicateurs
attendus en Asie et en Europe reflèteront un relatif dynamisme, alors que les
pays du G20 n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur de nouvelles mesures de
soutien lors du sommet de vendredi et samedi.
L'indice Standard &
Poor's 500 a gagné 4,5% en deux semaines, sa meilleur performance sur une telle
période depuis un an, et 7,5% par rapport au point bas atteint en séance le 11
février, porté par des indicateurs meilleurs que prévu et des signes de
stabilisation du pétrole.
"Si on remonte deux
semaines en arrière, c'est vraiment le rapport positif sur les ventes de détail
qui nous a pour ainsi dire sortis du bourbier", a dit Jack Ablin,
responsable de l'investissement chez BMO Private Bank. "Maintenant que les
publications de résultats sont derrière nous, les indicateurs économiques vont
se retrouver au centre de l'attention."
Les chiffres mensuels de
l'emploi sont attendus en fin de semaine et les économistes tablent en moyenne
sur 193.000 postes créés en février ainsi que sur un taux de chômage de 4,9%,
inchangé par rapport à janvier.
Les créations d'emploi ont
ralenti plus fortement que prévu en janvier aux Etats-Unis, mais la hausse des
salaires et un taux de chômage au plus bas depuis huit ans semblent témoigner
d'une vigueur persistante du marché du travail.
L'ACTIVITÉ
DES SERVICES SURVEILLÉE DE PRÈS
Des indicateurs d'activité
dans les secteurs manufacturier et des services seront également publiés dans
la semaine. Les investisseurs attendent des signes montrant que le secteur
manufacturier a touché un point bas et qu'il s'apprête à repartir de l'avant.
L'activité dans les
services sera également surveillée de près après l'annonce en première
estimation d'une contraction en février pour la première fois depuis octobre
2013, alors que ce secteur était jusqu'à présent un facteur de soutien.
"C'est (le rapport
sur) les services qui compte", dit Art Hogan, responsable de la stratégie
chez Wunderlich Securities.
Il explique que les
investisseurs sont résignés à avoir un indice d'activité manufacturière faible
mais qu'ils espèrent un chiffre plus positif dans les services.
D'un autre côté, des
indicateurs reflétant une reprise vigoureuse de l'économie américaine
pourraient refroidir l'enthousiasme pour les actions, de crainte que cela
n'incite la Réserve fédérale à relever ses taux à l'issue de sa réunion de
mi-mars.
"(Les chiffres de
l'emploi) pourraient entraver la progression du marché", dit Peter Kenny,
chargé de la stratégie chez Kenny & Co. "Les investisseurs y verront
un signe que la Fed est susceptible de modifier ses taux dans un délai plus
court."
La volatilité pourrait
également être accrue par les événements politiques avec l'arrivée du
"Super Tuesday" qui verra dans trois jours 11 Etats désigner leurs
délégués en vue de l'investiture démocrate pour la présidentielle de novembre.
Les cours du pétrole
resteront aussi un déterminant de la tendance boursière, le rebond de plus de
25% du brut léger américain par rapport au creux touché le 11 février ayant
largement contribué à celui des actions.
(Juliette
Rouillon pour le service français, édité par Marc Angrand)
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Déçus par le G20, les
marchés pourraient rechuter
dimanche
28 février 2016 18h41
par Sudip Kar-Gupta
LONDRES (Reuters) - Les
investisseurs pourraient réduire leur exposition aux marchés actions face à
l'incapacité du Groupe des 20 (G20) à prendre de nouvelles mesures concrètes
pour relancer la croissance.
Les ministres des Finances
et les banquiers centraux du G20 réunis vendredi et samedi à Shanghai ont
déclaré que les outils de la politique monétaire ne suffiraient pas à faire
sortir l'économie mondiale de sa torpeur.
Dans leur communiqué, les
ministres des Finances et banquiers centraux ont également pointé une série de
risques qui menacent la croissance, évoquant la volatilité des flux de
capitaux, la chute des cours des matières premières et les retombées potentielles
d'un éventuel Brexit, une sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne.
Mais ils n'ont annoncé
aucun programme spécifique de dépenses concertées pour stimuler l'économie
mondiale, ce que les investisseurs attendaient pourtant après l'accès de faiblesse
subi en début d'année par les marchés, lié principalement au ralentissement
chinois.
"Le fait que le G20
n'ait pris aucune nouvelle mesure devrait être accueilli avec découragement et
un recul probable des marchés d'actions", dit Richard Edwards chez HED
Capital.
Phoebus Theologites,
co-fondateur du fonds d'investissement SteppenWolf Capital, a estimé pour sa
part que l'euro pourrait s'apprécier face au dollar, le G20 ayant alimenté les
doutes sur l'efficacité de la politique monétaire de soutien à la croissance
menée par la Banque centrale européenne (BCE).
Or une hausse de l'euro,
qui freine les exportations européennes, tend à peser sur les marchés d'actions
en Europe.
La réunion de Shanghai a
entre autres été l'occasion de révéler les divergences entre les grandes
économies mondiales quant à l'opportunité de s'appuyer sur la dette pour
soutenir la croissance et au recours à des taux négatifs de la part de
certaines grandes banques centrales.
L'Allemagne a montré peu
d'enthousiasme vis-à-vis de nouvelles mesures de relance, son ministre des
Finances, Wolfgang Schäuble, ayant déclaré vendredi que le modèle de croissance
financé par la dette avait atteint ses limites.
La mention du Brexit dans
le communiqué final du G20 pourrait par ailleurs nuire à la livre sterling,
déjà tombée à son plus bas niveau depuis sept ans contre le billet vert
vendredi.
(avec Patrick Graham et Anirban Nag; Juliette Rouillon
pour le service français, édité par Marc Angrand)
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La politique monétaire
ne peut pas tout régler, dit le G20
samedi
27 février 2016 15h47
SHANGHAI (Reuters) - Les
ministres des Finances du G20 réunis à Shanghaï ont déclaré samedi que les
instruments monétaires ne suffiront pas pour faire sortir l'économie mondiale
de sa torpeur.
Dans un communiqué,
ministres des Finances et banquiers centraux pointent une série de risques qui
menacent la croissance mondiale, évoquant la volatilité des flux de capitaux,
la chute des cours des matières premières et les retombées potentielles d'un
éventuel Brexit.
"La reprise mondiale
se poursuit mais elle reste inégale et loin de notre ambition qui est celle
d'une croissance forte, durable et équilibrée", dit le communiqué publié
après une réunion de deux jours.
"Les politiques
monétaires continueront de soutenir l'activité économique et de garantir la
stabilité des prix, mais la politique monétaire ne peut pas à elle seule
conduire à une croissance équilibrée."
L'affaissement de la
croissance et les turbulences des marchés financiers ont contribué à
intensifier les frictions monétaires entre les principales économies de la
planète, souligne le communiqué du G20 qui évoque également les tensions
géopolitiques et la crise des migrants et des réfugiés en Europe.
Jeroen Dijsselbloem,
président de l'Eurogroupe, a dit à ce sujet que les ministres du G20
reconnaissaient la nécessité d'améliorer la communication entre banquiers
centraux, notamment sur les décisions susceptibles d'entraîner une dévaluation
des monnaies.
La question d'un éventuel
Brexit ne figurait pas dans les premières versions du communiqué final, selon
un responsable qui a y a eu accès, mais elle a été ajoutée à l'initiative des
responsables britanniques. Le Royaume-Uni se prononcera le 23 juin sur son
maintien dans l'Union européenne.
"Nous pensons qu'il
est dans l'intérêt de la sécurité nationale et de la sécurité économique du
Royaume-Uni, de l'Europe et des Etats-Unis que le Royaume-Uni demeure dans
l'Union européenne", a déclaré le secrétaire américain au Trésor Jack Lew.
La Chine, qui accueillait
la réunion, s'est de son côté saisie de l'occasion pour tenter de rassurer ses
partenaires sur la vigueur de sa croissance et sur ses capacités à répondre aux
préoccupations qu'elle suscite.
(Jan
Strupczewski,; Nicolas Delame pour le service français)
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Gestion-Collecte au plus
haut depuis 2009 sur les fonds dédiés à l'or
lundi
29 février 2016 06h00
(Répétition sans changement d'une dépêche transmise vendredi)
* Collecte au plus haut depuis 2009 sur les fonds dédiés à
l'or: bit.ly/1pcpMSF
* Huitième semaine consécutive de sorties sur les fonds
actions
* Obligations spéculatives: collecte au plus haut de 16
semaines
PARIS, 29 février (Reuters) - Les fonds dédiés à l'or
viennent d'enregistrer leur plus forte collecte nette depuis
juin 2009 et ceux investis en actions ont subi leur plus longue
période de rachats nets depuis 2008, montre une étude
hebdomadaire publiée vendredi par Bank of America-Merrill Lynch.
Ces flux soulignent l'instabilité persistante sur les
marchés financiers internationaux et l'absence d'appétit pour le
risque alors que les investisseurs étaient dans l'attente de la
réunion des ministres des Finances et des banquiers centraux du
G20 vendredi et samedi à Shanghai.
Des décisions de politique monétaire de la Banque centrale
européenne, de la Banque du Japon et de la Réserve fédérale
américaine sont par ailleurs attendues le mois prochain.
Les fonds investis en or ont collecté 2,6 milliards de
dollars (2,27 milliards d'euros) tandis que ceux spécialisés sur
les actions et les obligations ont enregistré une décollecte de
2,7 milliards et 200 millions respectivement sur la semaine au
24 février, selon l'étude qui reprend des données d'EPFR Global,
une société de recherche spécialisée dans le suivi des flux de
souscription des grandes sociétés de gestion internationales.
Les entrées cumulées sur trois semaines dans les fonds
dédiés à l'or atteignent 5,8 milliards de dollars, au plus haut
depuis juin 2009.
Graphique des flux cumulés sur trois semaines dans les fonds
dédiés à l'or depuis 2009:
bit.ly/1pcpMSF
"Les flux ont coïncidé avec une communication de la Fed
poussant le dollar à la baisse et avec les inquiétudes
grandissantes des investisseurs sur le risque d'une rechute en
récession", écrit BofA Merril Lynch.
La décollecte sur les fonds investis en actions - leur
huitième semaine consécutive de sorties - a concerné toutes les
zones géographiques à l'exception des fonds dédiés aux valeurs
japonaises, qui ont bénéficié de 100 millions d'entrées nettes.
Les fonds investis en valeurs américaines ont subi 3,6
milliards de dollars de rachats et connaissent des sorties
nettes sur 11 des 12 dernières semaines.
Les fonds spécialisés dans les actions émergentes ont
enregistré une dix-septième semaine consécutive de rachats avec
1 milliard de dollars de sorties.
Les fonds en valeurs européennes connaissent une troisième
semaine consécutive de rachats mais pour un montant limité à 74
millions sur la période sous revue.
Dans un contexte de généralisation des rendements négatifs,
les fonds obligataires ont enregistré des rachats nets limités à
hauteur de 200 millions de dollars, la course au rendement
bénéficiant aux fonds investis en obligations spéculatives et
émergentes.
Les fonds dédiés aux obligations à haut rendement ont
collecté 3,1 milliards de dollars, leur plus forte collecte
hebdomadaire en 16 semaines. Les fonds investis en dettes
émergentes ont bénéficié de leurs premières entrées nettes en
sept semaines avec une collecte de 200 millions.
Souscriptions(+)/Rachats(-) nets par grandes catégories de
fonds (en milliards de dollars):
Semaine au 24/02 2016
Actions -2,7 -55,72
Obligataires -0,2 +3,64
Monétaires +5,72 +40,02
Matières premières +2,68 +11,47
Sources : BAML, Global Investment Strategy, EPFR Global
(Marc Joanny, édité par Dominique Rodriguez)
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AGENDA ECONOMIQUE du
lundi 29 février
lundi
29 février 2016 06h00
** HEURE DE PARIS (GMT+1) **
PARIS :
- 14h50 Adjudication de 5,6 milliards à 6,8 milliards d'euros de BTF
BERLIN :
- 08h00 Ventes au détail / janvier
BRUXELLES :
- Déplacement d'Emmanuel Macron, participation au Conseil compétitivité
consacré notamment à la crise sidérurgique européenne
- 11h00 Inflation en zone euro / février (estimation flash)
HELSINKI :
- 09h00 PIB / T4
STOCKHOLM :
- 09h30 PIB / T4
ATHENES :
- 11h00 PIB révisé / T4
WASHINGTON :
- 15h45 Indice PMI de Chicago / février
- 16h00 Promesses de vente immobilières / janvier
SOCIÉTÉS :
PARIS :
- Sopra Steria Group / résultats annuels (avant Bourse)
- 07h30 Eurofins Scientific / résultats annuels (avant Bourse)
- Viadeo / CA annuel
www.jascapital.com
Serge Poznanski