vendredi 18 décembre 2015

INFOS DE LA NUIT DU 17 AU 18 DECEMBRE 2015

La Bourse de Tokyo en légère hausse à la mi-séance


REUTERS | LE 18/12/15 À 04:41
TOKYO, 18 décembre (Reuters) - La Bourse de Tokyo était en petite hausse vendredi à la mi-séance, les investisseurs jouant la carte de la prudence après la clôture négative enregistrée jeudi soir à New York.
L'indice Nikkei gagnait 46,72 points, soit 0,24%, à 19.400,28.
Parallèlement, le Topix, plus large, avançait de 0,15% à 1.566,93 points.
(Nicolas Delame pour le service français)

« 4 sorcières » : surveillez les volumes !


 
INVESTIR.FR | LE 17/12/15 À 15:55
 
L’économie continuera de dominer l’actualité de cette dernière séance de la semaine. Après la décision de politique monétaire de la Banque du Japon, direction l’Europe pour une série de statistiques dont l’impact ne sera cependant que limité sur les marchés. En France, il s’agira par exemple des résultats de l’enquête de conjoncture de décembre, de l’indicateur du climat des affaires du même mois, des créations d’entreprises de novembre et des prix à la production et d’importation industrielle, toujours pour novembre. A 10 heures 30, on prendra connaissance de la balance courante italienne d’octobre. Ce sera une demi-heure après les comptes-courants de la zone euro du même mois.
Les rendez-vous américains sont également de second plan. A 15h45, les opérateurs attendent l’indice PMI Markit des directeurs des achats dans les services pour décembre. A 17 heures, place à l’enquête de la Fed de Kansas City.
Les opérateurs auront donc tout le loisir de se concentrer sur les volumes d’échanges, traditionnellement plus forts qu’à l’accoutumée en ce jour des « 4 sorcières », qui marque, en Europe comme aux Etats-Unis, l’échéance des contrats d’options et de futures sur les indices et actions. Un phénomène qui intervient tous les trimestres.
Côté actions, on notera l’assemblée générale d’Alstom. Les actionnaires doivent se prononcer sur les termes de l’offre publique de rachat des actions, portant sur 29,5% du capital à 35 euros par action, qui débuterait le 23 décembre.
A l’international, Blackberry publie ses comptes du troisième trimestre.



Wall Street finit en baisse avec l'énergie et les matériaux

jeudi 17 décembre 2015 22h33

par Marcus E. Howard
NEW YORK (Reuters) - Wall Street a mis fin à une série de trois séances de hausse jeudi, plombée par le recul des cours du pétrole et par des prises de bénéfice après avoir fait bon accueil la veille à la première hausse de taux aux Etats-Unis depuis neuf ans.
L'indice Dow Jones, en hausse de 1,28% mercredi après les annonces de la Réserve fédérale, est retombé de 253,25 points, soit 1,43%, à 17.495,84 points. Le Standard & Poor's-500, plus large, a cédé 31,18 points ou 1,50% à 2.041,89 et le Nasdaq Composite, à forte pondération technologiques, a reculé de 68,58 points (1,35%) à 5.002,55.
Les compartiments de l'énergie et des matières premières ont tiré le marché à la baisse dans le sillage des cours du brut, qui ont poursuivi leur glissade avec le brut léger américain qui a perdu jusqu'à 2,5% en séance, sous les 35 dollars le baril.
Les investisseurs ont par ailleurs digéré le relèvement d'un quart de point de l'objectif des fed funds, à 0,25-0,50%, perçu comme un signe de confiance dans l'économie américaine.
Cette première hausse de taux depuis juin 2006 a en outre été accompagnée de commentaires bien reçus de Janet Yellen, la présidente de la Fed, qui a réaffirmé que la normalisation de la politique monétaire serait graduelle et conditionnée à l'évolution de l'inflation, laquelle reste loin de l'objectif de 2% de la banque centrale.
"Le marché n'est pas parvenu à conserver ses gains de l'ouverture, mais c'était à prévoir après la forte hausse d'hier", commente Peter Cardillo, analyste chez First Standard Financial à New York.
L'attention des investisseurs va maintenant se porter sur les indicateurs à venir pour évaluer la capacité de l'économie à absorber des hausses de taux, ajoute-t-il.
"A court terme, jusqu'à la fin de l'année, le pétrole et les matières premières vont revenir en tête des préoccupations", complète Karen Hiatt, gérante chez Allianz Global Investors à San Francisco.
McDONALD'S DE RECORD EN RECORD
Neuf des dix grands indices sectoriels S&P ont fini en repli, les services aux collectivités étant le seul compartiment dans le vert (+0,10%).
Le secteur de l'énergie, en repli de 2,48%, a accusé la plus forte baisse, alourdi notamment par Conocophilips (-4,19%). Chevron et Exxon, composantes du Dow Jones, ont lâché respectivement 3,10% et 1,50%.
L'indice des matériaux a perdu 1,94%, plombé par le groupe minier Newmont Mining (-7,70%).
Apple (-2,12%), la première capitalisation américaine, a retiré le plus de points au S&P et au Nasdaq. IBM (-1,82%) a pesé sur le Dow Jones, dont 29 des 30 composantes ont fini dans le rouge.
Oracle a chuté de 5,09% à 36,93 dollars, ses résultats trimestriels pourtant meilleurs que prévu n'ayant pas impressionné les investisseurs.
FedEx, qui a lui aussi battu le consensus lors du trimestre écoulé, a en revanche été recherché et le titre a pris 2,02% contre la tendance, à 151,84 dollars.
Le groupe alimentaire General Mills a été sanctionné d'un recul de 3,31% après l'annonce d'un chiffre d'affaires inférieur aux attentes.
Au sein du Dow Jones, McDonald's a atteint un record pour la troisième séance d'affilée, à 118,90 dollars, profitant du succès de ses petits déjeuners désormais servis à toute heure. Mais le titre a ensuite effacé ses gains et fini en repli de 0,29% à 117,50 dollars, laissant l'assureur-santé UnitedHealth (+0,33%) signer la seule hausse de l'indice à la clôture.
(avec Abhiram Nandakumar à Bangalore, Véronique Tison pour le service français)

Les Bourses européennes finissent en nette hausse après la Fed

jeudi 17 décembre 2015 18h15

PARIS (Reuters) - Les Bourses européennes ont connu jeudi une séance de hausse vigoureuse au lendemain du relèvement des taux d'intérêt décidé par la Réserve fédérale aux Etats-Unis, interprété comme un signe de confiance dans la solidité de l'économie américaine.
À Paris, le CAC 40 a terminé sur un gain de 1,14% (52,87 points) à 4.677,54 points. Le Footsie britannique a pris 0,68% et le Dax allemand 2,57%, tandis que l'indice EuroStoxx 50 a gagné 1,84% et le FTSEurofirst 300 1,44%.
Au moment de la clôture en Europe, Wall Street, qui a réservé mercredi un bon accueil à la décision et aux commentaires de la Fed, effaçait en partie sa progression de la veille, ce qui a contribué à réduire les gains sur les places européennes dans l'après-midi.
Les secteurs sensibles aux cycles économiques ont brillé en Europe, en premier lieu l'automobile, plus forte hausse sectorielle du jour (+2,76%). Les constructeurs allemands Volkswagen (+4,26%), BMW (+3,38%) et Daimler (+3,25%) figurent ainsi parmi les plus fortes hausses de l'EuroStoxx 50, ce qui explique en partie la meilleure performance du Dax par rapport aux autres grands indices européens.
A l'inverse, le nouveau recul des cours du pétrole, avec un Brent de la mer du Nord redescendu brièvement aux abords de 37 dollars le baril, a pesé sur les compartiments des ressources de base (-1,12%) et de l'énergie (-0,33%), les deux seules baisses sectorielles du jour.
L'action Casino a chuté de 11,51%, plus forte baisse du FTSEurofirst 300, l'investisseur américain Carson Block invitant à prendre des positions à découvert sur le distributeur français en se montrant très critique au sujet de sa comptabilité. Casino a saisi l’Autorité des marchés financiers et dit envisager une action judiciaire après la diffusion de cet avis.
Sur le marché des changes, l'euro s'est affaibli face au dollar au lendemain du resserrement monétaire aux Etats-Unis, revenant juste au-dessus de 1,08 dollar.
(Bertrand Boucey pour le service français, avec Atul Prakash à Londres et Danilo Masoni à Milan, édité par Wilfrid Exbrayat)

La Fed donne un coup de pouce à la BCE en relevant ses taux

jeudi 17 décembre 2015 17h21

par Francesco Canepa et John O'Donnell
FRANCFORT (Reuters) - En resserrant sa politique monétaire pour la première fois depuis près de 10 ans, la Réserve fédérale américaine a rendu service à la Banque centrale européenne (BCE), qui pourrait voir retomber la pression exercée par ceux qui lui réclament de nouvelles mesures d'assouplissement.
Devenue réalité, la divergence des politiques monétaires entre les deux principales banques centrales de la planète présente quelques avantages pour l'institution de Francfort.
Engagée depuis mars sur la voie de l'assouplissement quantitatif (QE), la BCE a abaissé le 3 décembre dernier l'un de ses taux directeurs - le taux des dépôts passé encore plus en territoire négatif - et prolongé d'au moins six mois son programme d'achats de titres sur les marchés.
Les investisseurs ont jugé ces mesures insuffisantes, reprochant notamment à la banque centrale de ne pas avoir augmenté le montant de ses achats mensuels, qui reste à 60 milliards d'euros.
En relevant mercredi son taux d'intervention, la Fed a entraîné immédiatement une baisse de l'euro, un phénomène qui aurait un double avantage pour la BCE s'il se prolongeait puisqu'il aurait comme effet à la fois de favoriser les exportateurs de l'union monétaire et de réveiller une inflation assoupie.
La réaction calme des marchés à la décision de la Fed suggère en outre que les investisseurs acceptent le principe de la divergence entre les deux banques centrales, ce qui pourrait aider la BCE à poursuivre sur sa voie actuelle sans trop de pression.
L'EURO POURRAIT ENCORE BAISSER
"La BCE pourra maintenant jusqu'à un certain point désolidariser les conditions de financement dans la zone euro de celles aux Etats-Unis", analyse Dirk Schumacher, économiste de Goldman Sachs. "Le phénomène de la divergence est là pour un moment".
La réaction des marchés après la décision de la Fed, avec non seulement une baisse de l'euro mais aussi un repli des rendements des emprunts d'Etat des principales économies de la zone euro, est interprétée par certains analystes comme un satisfecit adressé à la Fed et une façon de réparer les dégâts d'une certaine maladresse de la BCE.
"Nous ne voyons pas la politique monétaire américaine déborder sur l'Europe et nous ne le verrons pas car la hausse des taux avait été totalement anticipée", fait valoir Marco Brancolini, stratège taux chez RBS.
"Surtout, les taux en zone euro ne subiront l'influence des taux américains qu'à très court terme. Sur le long terme, le niveau des Bunds à 10 ans dépendra (...) de la politique monétaire (de la BCE)".
Pour certains, la vraie bonne nouvelle du tour de vis monétaire de la banque centrale américaine pourrait être que l'euro continue à se déprécier face au dollar.
"Il y a le potentiel pour que l'euro se dévalue encore et c'est la meilleure chose qui puisse arriver à la zone euro", dit ainsi Peter Bofinger, l'un des "sages" qui conseillent le gouvernement allemand en matière de politique économique.
Ceci, combiné à une accélération de la reprise, rendrait moins nécessaire une nouvelle action de la BCE. De fait, les analystes interrogés par Reuters n'évaluent qu'à 40% la probabilité qu'elle agisse à nouveau l'an prochain.
(Patrick Vignal pour le service français)

Légère baisse du climat des affaires après les attentats

jeudi 17 décembre 2015 22h20

PARIS (Reuters) - Le climat des affaires s'est légèrement détérioré en France ce mois-ci après les attentats de novembre, qui ont surtout impacté les secteurs des services et du commerce de détail, selon les données publiées jeudi soir par l'Insee.
L'indicateur global, calculé à partir des réponses des chefs d'entreprise interrogés dans le cadre de cette enquête mensuelle, est ressorti à 101, en baisse de seulement un point par rapport à son plus haut depuis juillet 2011 touché en novembre.
La moyenne de long terme de l'indicateur se situe à 100.
Par secteurs, l'indicateur des services recule de deux points, à 99, et celui du commerce de détail de quatre points, à 105.
Mais celui de l'industrie a augmenté d'un point, à 103, alors que les économistes interrogés par Reuters l'anticipaient à 101. Et celui du bâtiment est ressorti également en hausse d'un point à 92, un plus haut depuis juin 2014.
L'indicateur de retournement pour l'ensemble de l'économie reste dans la zone indiquant une situation conjoncturelle favorable, souligne l'Insee.
Malgré sa baisse, due particulièrement au secteur de l'hébergement-restauration, le plus touché par le contrecoup des attentats, l'indicateur des services reste nettement au-dessus de son niveau de la fin de l'été.
C'est surtout le solde des opinions des chefs d'entreprise relatif à l'activité passée qui a souffert ce mois-ci alors que les perspectives pour l'activité future ne sont qu'en léger retrait.
De plus, le solde sur les investissements passés est stable, tandis que celui sur les investissements prévus s’améliore, les deux soldes se situant au-dessus de leur moyenne de long terme.
Dans l'industrie manufacturière, le solde d'opinions des industriels sur leur perspectives personnelles de production rebondit (+7 points) et efface une bonne partie de son recul du mois précédent (-9 points) mais, en sens inverse, celui des perspectives générales de production du secteur perd neuf points.
Leur opinion sur les carnets de commandes s'améliore, que ce soit au niveau global que s'agissant des commandes en provenance de l'étranger.
L'Insee, qui prévoyait à l'origine de publier ces données vendredi matin, a avancé leur diffusion pour la faire coïncider avec celle de son dernier point de conjoncture, où elle donne une première estimation de l'impact des attentats de novembre à Paris et Saint-Denis sur l'économie française.
(Yann Le Guernigou)

La Fed lance le rally de fin d’année du Cac 40



 

 | INVESTIR.FR | LE 17/12/15 À 17:49 @GLillery

La Bourse de Paris signe une troisième séance de hausse consécutive après la décision de la Fed de relever ses taux, comme attendu. Les commentaires de Janet Yellen ont été appréciés des investisseurs. Le Cac 40 peut enfin débuter son rally de Noël. Le titre Casino plonge suite au conseil de « vendre à découvert » de Muddy Waters. Le groupe a saisi l’AMF.

C’est parti ! Le Cac 40 entame la dernière quinzaine de décembre, traditionnellement propice au rally de fin d’année. Il avait pris un peu d’avance puisqu’il s’agit de sa troisième séance de hausse d’affilée. L’indice profite de l’annonce historique, hier soir, de la Fed, de relever ses taux d’intérêt pour la première fois depuis 2006. Les investisseurs avaient déjà largement anticipé l’information. Ce sont donc essentiellement les commentaires de Janet Yellen qui ont dopé le marché. Son discours accommodant a été perçu comme un gage de solidité de la santé économique américaine.
« Le marché est vraiment soulagé que la Fed n’ait pas opté pour une hausse de 50 points de base, tout en se félicitant qu’elle n’ait pas choisi de ne rien faire du tout », traduit Michael Woischneck, de Lampe Asset Management à Düsseldorf. « La Fed garde par ailleurs une orientation fondée sur l’évolution des statistiques, avec de la flexibilité pour réagir. Cela met les marchés plus à l’aise », conclut-il.
A la clôture, le Cac 40 progresse de 1,14% à 4.677,54 points, malgré le léger ralentissement après l’ouverture des marchés américains. Le volume d’affaires est particulièrement étoffé avec 4,57 milliards d’euros échangés.
Ailleurs en Europe, le Footsie londonien gagne 0,89%, le Dax de la Bourse de Francfort 2,69% et l’Euro Stoxx 50 des principales valeurs de la zone euro 1,99%. Les 19 indices sectoriels Stoxx 600 sont orientés à la hausse, avec une note particulière pour les sociétés exportatrices et financières.
A l’inverse, le Dow Jones et le S&P 500 abandonnent 0,75% et le S&P 5000,92%. Dans une note publié aujourd’hui, les analystes de CM-CIC Securities estiment que : « les indices américains ont réagi positivement à l’annonce mais, dans la durée, nous privilégions les indices européens qui profiteront du différentiel de politique monétaire ».
Sur le marché des changes, le billet vert s’apprécie de 0,7% à 1,0807 pour 1 euro.

La Fed de Noël avant l’heure

La Réserve fédérale américaine a relevé d’un quart de point l’objectif du taux des Fed Funds dans une fourchette de 0,25% à 0,5% et indiqué que sa politique monétaire resterait accommodante, confirmant une approche déjà qualifiée par les marchés de « resserrement accommodant ». Sa présidente, Janet Yellen, a souligné que les prochaines hausses de taux seraient progressives et dépendraient de l’évolution du climat économique.
Les marchés apprécient le fait que l’adjectif « graduelles » a été abondamment utilisé pour caractériser les hausses de taux à venir. Chris Weston, chef stratégiste marché chez IG à Melbourne, s’amuse du fait que si l’on avait émis l’idée il y a quelques mois que le S&P 500progresserait de 1,45% et que le Vix [dit indice de la peur] chuterait de 14% le jour d’une hausse des taux, beaucoup auraient dit que c’était impossible. Pour John Augustine, gérant américain cité par Reuters, « c’est un communiqué de Noël » dans la mesure où la Fed « a donné à l’épargnant un peu plus d’intérêts, à l’investisseur un peu plus de confiance dans l’économie, à l’entreprise un peu plus d’espérance dans l’inflation ».

Casino « shorté » par un cabinet, le titre chute !

Les séances se suivent en ne se ressemblent pas pour Casino, qui plonge de 11,51% à 43,335 euros. Carson Block, fondateur du cabinet Muddy Waters Research, recommande la vente à découvert du titre du distributeur. Pour lui, l’action est l’une des plus « surévaluées » et des moins bien comprises, et il fustige l’utilisation de « l’ingénierie financière » pour masquer une situation « fortement dégradée ». En fin d’après-midi, le groupe Casino a réagi à des « des allégations grossièrement erronées ». La société a d’ailleurs saisi l’Autorité des Marchés Financiers et pourrait faire valoir ses droits au pénal. Hier, le titre avait bondi de 6,47% à la suite de l’annonce d’un plan de désendettement qui lui avait valu une note favorable de JPMorgan, passé de « neutre » à « surpondérer ».
Accor progresse de 2,74% à 40,29 euros dans le sillage de la progression de plus de 5% de l’action Hilton Worldwide Holdings. Le Wall Street Journal rapporte que le groupe américain pourrait scinder ses hôtels pour les intégrer dans une société d’investissement immobilier, opération qui offre un statut fiscal très avantageux.
Airbus Group s’adjuge 1,15% à 65,13 euros. L’avionneur a présélectionné Carlyle et KKR pour la vente de ses actifs d’électronique de défense, les deux fonds ayant présenté les meilleures offres, rapporte Reuters en citant des sources proches du dossier. L’action profite également de la fermeté du dollar face à l’euro.
Les valeurs financières saluent la hausse des taux de la Fed. Société Générale gagne 2,37% à 43,19 euros, Axa 2,24% à 25,11, Credit Agricole1,67% à 10,65 et BNP Paribas 1,52% à 53,28.
Le secteur automobile est également entouré à l’image de Renault (+2,88% à 91,42 euros), Peugeot (+2,15% à 16,14) et Valeo (+1,27% à 139,4).
Enfin, Orange s’octroie 2,35% à 15,65 euros. L’autorité de la concurrence a infligé une amende de 350 millions d’euros à l’opérateur historique. Le PDG Stéphane Richard a déclaré que cette amende, largement provisionnée, n’aura pas d’impact sur les résultats et les objectifs du groupe.
Serge Poznanski

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire