Le pétrole orienté à la
hausse en Asie
Singapour - Les cours du pétrole étaient toujours orientés
à la hausse lundi en Asie, dopés par les espoirs que des mesures de relance
dans la zone euro et au Japon permettent d'augmenter la demande de brut.
Vendredi, les cours s'étaient envolés, toujours portés par l'optimisme revenu à
la Bourse, ainsi que par un regain d'intérêt pour le fioul de chauffage dû à
une vague de froid en Europe et en Amérique du Nord.
Le cours du baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars avait gagné
2,66 dollars à 32,19 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A
Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance
avait pris 2,93 dollars à 32,18 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
Dans les échanges électroniques en Asie, le WTI gagnait lundi matin 14 cents à
32,33 dollars et le Brent 17 cents à 32,35 dollars.
Michael McCarthy, analyste chez CMC Markets Australia, a estimé que la hausse
pouvait s'expliquer par des indicateurs montrant que l'activité privée avait
continué de croître dans la zone euro en janvier, ce qui renforce l'espoir
d'une hausse de la demande, dans un marché de longue date pénalisé par un excès
chronique d'offre.
Après leur plongeon lié à la dégringolade des cours de l'or noir et aux
inquiétudes sur le ralentissement de la croissance mondiale, les Bourses
mondiales se sont ressaisies en fin de semaine.
L'optimisme est revenu jeudi avec des propos du président de la Banque centrale
européenne Mario Draghi qui a jugé nécessaire de réévaluer et peut-être revoir
la politique monétaire lors de la prochaine réunion du conseil des gouverneurs,
le 10 mars.
Au Japon, les investisseurs espèrent également un geste de la banque centrale
(BoJ). Selon le quotidien économique Nikkei, celle-ci va débattre lors de sa
réunion des 28 et 29 janvier d'une éventuelle expansion de son vaste programme
de rachat d'actifs.
str/mba/jac/myl
INTERCONTINENTALEXCHANGE GROUP
(©AFP / 25 janvier 2016 06h08)
Fed
et résultats trimestriels orienteront Wall Street
dimanche
24 janvier 2016 15h11
par Chuck
Mikolajczak
NEW YORK (Reuters) -
Wall Street a rendez-vous avec la Réserve fédérale et les investisseurs pensent
que la banque centrale pourrait se révéler plus accommodante sur les taux
mercredi, au terme de sa réunion de politique monétaire de deux jours, surtout
après les dernières déclarations de la BCE.
L'indice
S&P-500 a déjà perdu jusqu'à 9% cette année, conséquence des craintes nées
du ralentissement économique de la Chine, de la chute des cours du pétrole et
des déclarations du vice-président de la Fed Stanley Fischer dans lesquelles il
dit s'attendre à quatre hausses des taux cette année.
Mais le
président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a déclaré jeudi
que les turbulences des marchés financiers et les inquiétudes suscitées par les
pays émergents conduiraient la banque centrale à revoir sa politique monétaire
en mars, alimentant ainsi l'espoir de nouvelles mesures de soutien.
"On
pense que le message de la Réserve fédérale restera mesuré et que les quatre
hausses de taux évoquées ne sont pas envisageables; on estime donc que c'est
positif" pour la Bourse, dit Ken Polcari (O'Neil Securities).
La Bourse
devra également compter dans la semaine qui vient avec une "saison"
des résultats de sociétés qui bat désormais son plein et pourra vérifier si les
prévisions données à ce sujet sont trop pessimistes ou pas.
Il s'agira
pour les investisseurs de vérifier si la vigueur du dollar a pénalisé des poids
lourds de la cote tels que Boeing, McDonald's, 3M ou encore United
Technologies, qui sont aussi de gros exportateurs.
Apple, plus
forte capitalisation de Wall Street, sera également très suivi pour voir si les
ventes d'iPhone se tassent, comme le laissent craindre les prévisions de
certains de ses fournisseurs.
PIB VENDREDI
Pour Peter
Kenny (Kenny & Co), ce ne sont pas tant les résultats par eux-mêmes qui
importeront que les perspectives livrées par les entreprises. "Les
perspectives seront sensiblement plus importantes au regard de la question de
savoir si les Etats-Unis sont épargnés par la tempête internationale",
explique-t-il.
Des sociétés
telles Halliburton et Hess donneront les premiers témoignages des dégâts subis
par le secteur de l'énergie. Selon des données de Thomson Reuters, les
bénéfices de ce secteur auraient chuté de 73,3% durant le quatrième trimestre
de 2015.
Si l'on
ajoute les secteurs des ressources naturelles, de la finance et de la high
tech, on n'attend plus à Wall Street de retour de la croissance des profits
avant le second semestre.
Toutefois,
pour que la nette croissance des bénéfices attendue pour le second semestre se
réalise, il faudra que les dépenses de consommation aient augmenté et que le
dollar se soit stabilisé, observe Robert Pavlik (Boston Private Wealth).
La première
estimation du PIB du quatrième trimestre viendra clore vendredi une semaine
déjà lourde.
L'estimation
d'une croissance de 0,8% confirme l'opinion voulant que l'économie américaine a
ralenti au quatrième trimestre et il est donc peu probable que les
investisseurs réagissent à un chiffre réel qui serait conforme ou resterait
proche de cette estimation.
(Avec
Caroline Valetkevicth, Wilfrid Exbrayat pour le service français)
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Nouveau
rappel de 5 millions de véhicules dotés d'airbags Takata
vendredi
22 janvier 2016 22h00
(Reuters) - Les autorités américaines ont annoncé
vendredi le rappel d'environ cinq millions de véhicules équipés d'airbags du
groupe japonais Takata, susceptibles d'être défectueux et impliqués dans la
mort de 10 personnes.
Ce nouveau
rappel, qui s'ajoute à ceux de plus de 19 millions de véhicules de 12
constructeurs différents, a été décidé après le décès du conducteur d'un
pick-up Ford le mois dernier.
Outre Ford,
il concerne des Mazda, des Volkswagen, des Audi et certains utilitaires de
Daimler, a précisé la National Highway Traffic Safety Authority (NHTSA),
l'administration fédérale en charge de la sécurité routière.
"Il
s'agit d'une crise de sécurité de grande ampleur", a déclaré un
porte-parole de la NHTSA, ajoutant que le dossier était le plus complexe lié à
des problèmes de sécurité de toute l'histoire de l'automobile aux Etats-Unis.
En raison
d'un défaut de fabrication, les airbags de Takata peuvent se déclencher avec
une force excessive et disperser des éclats de métal dans l'habitacle du
véhicule. Outre les 10 décès évoqués, ils auraient fait plus de 100 blessés.
En novembre,
Takata a accepté de payer une amende de 70 millions de dollars (65 millions
d'euros) pour violation des règles de sécurité en vigueur. Le groupe japonais
pourrait devoir verser des indemnités de plus de 130 millions de dollars dans
le cadre d'un accord amiable avec la NHTSA.
(Marc
Angrand pour le service français)
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Apple,
Google progressent dans la voiture autonome-Daimler
dimanche
24 janvier 2016 16h29
FRANCFORT, 24 janvier (Reuters) - Dieter Zetsche, le président du directoire de
Daimler, a dit à l'hebdomadaire Welt am Sonntag qu'un déplacement récent dans
la Silicon Valley avait montré qu'Apple et Google avaient plus progressé dans
leurs projets automobiles qu'il ne le supposait.
Plusieurs
constructeurs automobiles et des sociétés high tech s'emploient à concevoir une
voiture à la conduite autonome. Google a testé son propre prototype en 2012, à
quoi Daimler a réagi en développant une Mercedes Classe S qui a parcouru 103 km
sans l'intervention du conducteur.
Le bruit
court qu'Apple travaille lui aussi à un tel véhicule mais ce dernier ne l'a
jamais confirmé.
"Notre
impression fut que ces sociétés peuvent faire plus et en savent plus que ce que
nous avions jusque-là supposé. Dans le même temps, elle ont plus de respect
pour nos propres réussites que nous le pensions", a dit Zetsche.
Zetsche et
quelques autres responsables de sociétés ont rencontré quelque 70 sociétés de
la Silicon Valley, rapporte l'hebdomadaire, sans autre précision.
"Il y a
eu des discussions concrètes et je dirai rien de leur contenu", a encore
déclaré Zetsche à l'hebdomadaire.
(Edward
Taylor, Wilfrid Exbrayat pour le service français)
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Le
crédit immobilier, source de difficultés-Nouy
dimanche
24 janvier 2016 15h13
FRANCFORT, 24 janvier (Reuters) - Le crédit immobilier est une source de
difficultés majeure pour les banques de la zone euro mais les mesures macro
prudentielles ont pour l'instant coupé court à toute évolution fâcheuse, a dit
la présidente du Mécanisme de supervision unique (MSU) de la Banque centrale
européenne (BCE).
Des taux
ultra-bas dans la zone euro accroissent les risques de bulles spéculatives et
la BCE a déjà observé que l'immobilier commercial pratiquait des prix exagérés.
"Une
source possible de difficultés pour les banques, ce sont les prêts
immobiliers", dit Danièle Nouy, dans un entretien à l'agence de presse
slovène. "Pour l'instant, nous n'avons observé aucune évolution
négative".
"Des
mesures macro prudentielles ont été prises (...) qui y contribuent sans
doute".
(Balazs
Koranyi, Wilfrid Exbrayat pour le service français)
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L'Iran
confirme vouloir 114 Airbus, s'intéresse aussi à Boeing
dimanche
24 janvier 2016 13h57
par Tim
Hepher
TEHERAN (Reuters) -
L'Iran prévoit d'acheter 114 avions à Airbus d'ici un mois ou deux et envisage
d'autres opérations, ont dit dimanche les autorités iraniennes, une semaine
après la levée des sanctions économiques et financières qui pesaient sur le
pays.
La
République islamique pourrait avoir besoin au total de 500 nouveaux appareils à
moyen terme sur les trois ans à venir, a déclaré le député Mahdi Hashemi,
président de la Commission parlementaire du développement.
Il
s'exprimait lors de la première grande réunion post-sanctions qui se tenait à
Téhéran, le Sommet CAPA Aviation.
Le
gouvernement iranien dit depuis longtemps qu'il doit rafraîchir sa flotte
vieillissante, qui a beaucoup souffert de la pénurie de pièces de rechange en
raison des sanctions commerciales imposées par les Etats-Unis et les pays
occidentaux.
Ces
sanctions ont été levées le week-end dernier après constat de la mise en oeuvre
par Téhéran de l'accord de juillet 2015 encadrant son programme nucléaire.
Le
gouvernement iranien discutera des modalités du contrat avec Airbus la semaine
prochaine, a précisé à la presse le ministre iranien des Transports, Abbas
Akhoondi.
Le président
iranien, Hassan Rohani, est attendu à Paris mercredi dans le cadre d'une
tournée en France et en Italie qui était prévue en novembre mais avait été
reportée en raison des attentats de Paris et Saint-Denis.
"VENEZ AVEC VOS
PROPOSITIONS"
L'Iran est
également intéressé par les avions de l'américain Boeing, a indiqué le ministre
des Transports. L'Iran voudrait acheter plus de 100 Boeing a ensuite précisé à
Reuters le vice-ministre des Transports, Asghar Fakhrieh Kashan.
En ce qui
concerne Airbus, l'Iran a conclu un accord provisoire pour acheter huit
exemplaires de l'A380, le très gros porteur de l'avionneur européen, livrables
à partir de 2019, a-t-il détaillé. L'achat de 16 A350 est également prévu.
L'Iran est
intéressé en outre par des avions régionaux et notamment par le MRJ de
Mitsubishi et les séries C du canadien Bombardier, a dit le vice-ministre.
Les
compagnies aériennes iraniennes privées parlent aussi au brésilien Embraer et
au russe Soukhoï.
Selon le
député Mahdi Hashemi, la commande à Airbus pourrait être passée d'ici deux
mois. Le ministre iranien des Transports avait annoncé le 16 janvier que l'Iran
avait décidé d'acheter 114 avions civils à l'avionneur européen juste avant
l'annonce officielle de la levée des sanctions internationales contre la
République islamique.
Le député
Hashemi a invité les investisseurs internationaux et les compagnies aériennes à
se présenter à Téhéran.
"Venez
avec vos propositions", a-t-il dit. "Nous voudrions avoir de nouveaux
contrats et les honorer immédiatement et rattraper les pertes liées au passé
dont nous avons souffert."
(Avec Nadia
Salim, Danielle Rouquié pour le service français)
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réservés.
L'Iran
prépare son retour dans les échanges bancaires mondiaux
vendredi
22 janvier 2016 21h13
par Jonathan
Saul
LONDRES (Reuters) -
Les banques iraniennes travaillent à la reprise des transactions
internationales avec des institutions étrangères via le système SWIFT, ont
déclaré à Reuters vendredi un représentant de la Middle East Bank et un
responsable de la banque centrale.
Les
sanctions internationales visant le secteur bancaire iranien ont été levées le
week-end dernier en application de l'accord sur le nucléaire conclu en juillet,
tout comme celles touchant l'assurance et le transport maritime.
Mais pour
permettre la reprise effective des opérations bancaires internationales de
l'Iran, interrompues depuis 2012, les banques iraniennes doivent être reliées à
leurs contreparties étrangères via SWIFT (Society for the Worldwide Interbank
Financial Télécommunications), le système international de transmission des
paiements et des lettres de crédit.
"Nous
avons envoyé près de 40 SWIFT à différentes banques dans le monde entier en
leur disant que, maintenant que les sanctions sont levées, nous aimerions
échanger des documents et en leur demandant si elles envisageaient une relation
de banque correspondante", a déclaré Parviz Aghili, directeur général de
la Middle East Bank de Téhéran. "Certaines d'entre elles ont répondu en
posant un certain nombre de questions et en demandant des documents dont elles
ont besoin."
"J'ai
l'impression que cela prendra quelques semaines avant qu'il y ait de véritables
reprises de relations. Ce sera lent", a-t-il ajouté.
Il a précisé
que d'autres banques iraniennes avaient engagé les mêmes démarches via SWIFT.
Un haute
responsable de la banque centrale iranienne a par ailleurs déclaré à Reuters
que les canaux de transactions seraient bientôt rouverts.
"En
réalité, c'est l'affaire de quelques semaines seulement, moins d'un mois. Parce
que toutes nos banques, qu'elles soient privées ou contrôlées par l'Etat, ont
pris les mesures administratives nécessaires pour rejoindre le système
SWIFT", a-t-il dit.
SWIFT n'a
pas répondu à une demande de commentaire sur les relations entre les banques
iraniennes et internationales via son système.
Parallèlement
aux relations via SWIFT, l'Iran va aussi s'employer à convaincre des banques
étrangères de revenir s'impliquer dans son système financier. Même si, pour bon
nombre d'entre elles, les préoccupations liées aux sanctions américaines encore
en vigueur risquent de freiner le mouvement.
LE FACTEUR
DOLLAR COMPLIQUE LA DONNE
En effet, si
une part importante des sanctions internationales liées au programme nucléaire
iranien ont été levées, certaines sanctions prises par les Etats-Unis sont
encore en vigueur.
Des banques
non-américaines peuvent donc reprendre des transactions avec l'Iran sans
craindre d'être pénalisées aux Etats-Unis mais les banques américaines ne
peuvent pas faire de même, que ce soit directement ou indirectement.
Les
sanctions américaines interdisent aux banques et aux compagnies d'assurance
basées aux Etats-Unis toute transaction commerciale avec l'Iran mais elles
empêchent aussi de réaliser des opérations avec l'Iran libellées en dollar
américain via le système financier américain.
Ce facteur,
qui complique la donne, incite les banques européennes à la prudence, d'autant
que certaines d'entre elles, comme Deutsche Bank ou BNP Paribas ont été
sanctionnées ces dernières années aux Etats-Unis pour non-respect de sanctions
internationales.
Le
responsable de la banque centrale iranienne a néanmoins déclaré que des banques
de plusieurs pays européens, dont l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et
l'Italie, avaient eu des discussions en vue d'ouvrir des succursales en Iran
après la levée des sanctions.
"Si
Dieu le veut, nous verrons cela arriver aussi. L'Iran est un marché très
attractif pour les affaires et ils le savent", a-t-il dit.
Parviz
Aghili, lui, a estimé qu'il faudrait au moins six à 12 mois avant que de
grandes banques envisagent sérieusement de faire des affaires en Iran.
"Les
plus petites banques qui ne sont pas impliquées sur le marché américain seront
prêtes à travailler avec des banques iraniennes", a-t-il dit. "Mais
même ces plus petites banques s'attendent à subir des vérifications
anti-blanchiment et il faut qu'elles y soient prêtes et qu'elles demandent à
leurs contreparties de s'y préparer."
Les grandes
banques, a-t-il ajouté, ne prendront sans doute pas le risque de revenir en
Iran dans l'immédiat, à cause du risque lié aux sanctions américaines et de la
possibilité d'un retour des sanctions internationales.
En revanche,
il a estimé que les contraintes liées au dollar ne constituaient pas un
obstacle majeur. "Nous pouvons traiter en euro, en franc suisse, dans
toutes les devises non-américaines", a-t-il dit.
(avec Philip
Blenkinsop à Bruxelles; Marc Angrand pour le service français)
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Toshina
va vendre une partie de son pôle puces
dimanche
24 janvier 2016 15h39
TOKYO (Reuters) -
Toshiba compte vendre une partie de son pôle semi-conducteurs pour se remettre
à flot après un scandale comptable représentant l'équivalent de 1,2 milliard
d'euros, a-t-on appris samedi auprès de trois sources proches du dossier.
La
Développent Bank of Japan, un établissement public qui a déjà investi dans
l'activité semi-conducteurs de Seiko Holdings, a manifesté son intérêt pour
cette opération qui ne concernerait pas les mémoires flash NAND, précise-t-on.
Toshiba veut
céder ses activités dans les systèmes LSI et les circuits discrets, très
utilisés dans l'automobile, l'électroménager et la mécanique industrielle. Ces
activités, déficitaires, ont réalisé un chiffre d'affaires de 330 milliards de
yens (2,6 milliards d'euros) sur l'exercice annuel clos le 31 mars 2015.
Un
porte-parole de Toshiba a dit qu'aucune décision n'avait été prise concernant
cette vente. Une porte-parole de la Développent Bank of Japan s'est refusé à
tout commentaire.
Après le
scandale comptable, le groupe japonais s'est recentré sur son pôle énergie, qui
englobe le nucléaire, et sur le stockage au travers de ses mémoires NAND,
employées en particulier dans les smartphones.
(Kentaro
Hamada, Makiko Yamazaki, Taiga Uranaka, avec Kiyoshi Takenaka, Wilfrid Exbrayat
pour le service français)
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