vendredi 22 janvier 2016

INFOS BOURSE DE LA NUIT DU 21 AU 22 JANVIER 2016

La Bourse de Tokyo en forte hausse à mi-séance

vendredi 22 janvier 2016 04h04

TOKYO, 22 janvier (Reuters) - La Bourse de Tokyo était en forte hausse vendredi à mi-séance, profitant d'un rebond des prix du pétrole et des propos du président de la Banque centrale européenne Mario Draghi laissant espérer aux investisseurs de nouvelles mesures de soutien monétaire en Europe.
Après avoir baissé la veille de 2,4%, l'indice Nikkei affichait à la mi-journée un gain de 3,6% (575,58 points) à 16.592,84 et le Topix, plus large, une progression de 3,4% à 1.345,43.
Les turbulences sur les marchés financiers et les inquiétudes suscitées par les pays émergents, Chine en tête, conduiront la Banque centrale européenne (BCE) à revoir sa politique monétaire en mars, a annoncé jeudi son président Mario Draghi, alimentant l'espoir de nouvelles mesures de soutien dans moins de deux mois.
En outre, la Banque du Japon "envisage sérieusement" de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire au vu de la baisse des cours du pétrole qui rend son objectif d'inflation encore plus difficile à atteindre, rapporte vendredi le journal Nikkei.
Le rythme de croissance de l'activité manufacturière au Japon a légèrement ralenti en janvier mais reste solide, alors que les entrées de commandes à l'exportation ont accéléré, montrent les résultats préliminaires de l'enquête auprès des directeurs d'achat du secteur qui ont été publiés vendredi.
(Joshua Hunt; Jean-Stéphane Brosse pour le service français)

Japon-Le PMI manufacturier en légère baisse en janvier

TOKYO, 22 janvier (Reuters) - Le rythme de croissance de l'activité manufacturière au Japon a légèrement ralenti en janvier mais reste solide, alors que les entrées de commandes à l'exportation ont accéléré, montrent vendredi les résultats préliminaires de l'enquête auprès des directeurs d'achat du secteur.
L'indice PMI Markit/Nikkei est tombé en janvier à 52,4 en version "flash" contre 52,6 en décembre. Pour le neuvième mois d'affilée, il reste supérieur au seuil de 50 qui sépare la contraction de la croissance de l'activité.
Le sous-indice des entrées de commandes à l'export grimpe à 52,6 contre 52,2 en décembre mais celui des nouvelles commandes, qui regroupe à la fois l'export et les commandes intérieures - tombe à 52,7 contre 54,2, ce qui indique un probable ralentissement de la demande intérieure.
Les prix à la production ont sans doute baissé au Japon pour la première fois en plus de trois ans en raison de la baisse du prix des ressources de base, du pétrole en particulier, ce qui risque de poser des problèmes au gouvernement et à la Banque du Japon qui cherchent à sortir définitivement le pays de la déflation.
L'économie japonaise devrait croître modérément cette année grâce à l'augmentation des dépenses des ménages et des investissements, une perspective toutefois perturbée par le ralentissement en Chine et les déboires actuels des marchés financiers. (Stanley White; Jean-Stéphane Brosse pour le service français)

Le Japon envisage de nouvelles mesures d'expansion monétaire -presse

vendredi 22 janvier 2016 00h24

SYDNEY, 22 janvier (Reuters) - La Banque du Japon "envisage sérieusement" de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire au vu de la baisse des cours du pétrole qui rend son objectif d'inflation encore plus difficile à atteindre, rapporte vendredi le journal Nikkei.
La banque centrale, qui a un objectif d'inflation de 2% à moyen terme, prendra aussi en compte le raffermissement récent du yen et la baisse des marchés boursiers lors de sa réunion de politique monétaire des 28 et 29 janvier, ajoute le quotidien.
Un haut responsable de la BoJ cité par le Nikkei explique que la glissade des cours du brut pourrait se répercuter sur les anticipations d'inflation des consommateurs. "Dans ce cas il nous faudrait envisager des mesures d'assouplissement additionnelles", dit-il. (Wayne Cole, Véronique Tison pour le service français)

 

Wall Street se reprend un peu avec la BCE et le pétrole

jeudi 21 janvier 2016 23h26

par Noel Randewich
NEW YORK (Reuters) - Wall Street a rebondi modestement jeudi après sa chute de la veille, profitant comme les Bourses européennes un peu plus tôt de la remontée des cours du pétrole et des espoirs de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) dès le mois de mars.
L'indice Dow Jones des 30 grandes valeurs a repris 115,94 points, soit 0,74%, à 15.882,68 au lendemain d'un recul de 1,17% et le Standard & Poor's 500, plus large, a gagné 9,66 points ou 0,52% à 1.868,99.
Le Nasdaq Composite a fini stable à 4.472,06 points, soit un gain modique de 0,37 point (0,01%).
La BCE a comme attendu maintenu ses taux lors de sa réunion de politique monétaire jeudi mais son président Mario Draghi a déclaré que les turbulences sur les marchés financiers et les inquiétudes suscitées par les pays émergents, Chine en tête, la conduiraient à "revoir, et possiblement à reconsidérer" sa politique lors de sa prochaine réunion du 10 mars.
Parallèlement, les cours du pétrole ont rebondi avec le brut léger américain qui a repris 4,1% à New York et le Brent de mer du Nord près de 5%, leur meilleure séance depuis le début de l'année.
La baisse continue des cours du pétrole et les inquiétudes sur la croissance mondiale avaient fait clôturer la veille le S&P à son plus bas niveau depuis 2014.
Pour autant, les indices de Wall Street ont fini sous leurs meilleurs niveaux du jour et n'ont franchi aucun niveau technique signifiant, notent des intervenants en y voyant le signe que le marché reste fragile.
"C'est une situation différente des autres années quand on pouvait acheter l'esprit tranquille après une forte baisse", juge Bruce Bittles, stratège chez Robert W. Baird & Co à Nashville. "Là on a une tendance réellement négative et une Fed qui est bien moins accommodante qu'en 2012, 2013 ou 2014."
Le financier George Soros a dit à Bloomberg TV être à la vente sur S&P et s'est dit certain d'un atterrissage brutal de l'économie chinoise, qu'il "observe déjà."
REBOND DES VALEURS DE L'ÉNERGIE
Sept des dix grands indices sectoriels S&P ont fini en hausse, emmenés par le compartiment de l'énergie qui a bondi de 2,89% dans le sillage des cours du brut.
Home Depot, en hausse de 3,23%, a apporté la plus forte contribution à la progression du Dow Jones. Le numéro un américain du bricolage a bénéficié d'une note de JP Morgan prédisant de bons résultats trimestriels grâce au temps doux de la fin 2015.
Verizon, le premier opérateur de téléphonie mobile aux Etats-Unis, s'est adjugé 3,26% après la publication de résultats trimestriels meilleurs que prévu.
Egalement au sein du Dow Jones, General Electric s'est octroyé 2,11% à la veille de la publication de ses résultats, aidé par des commentaires positifs de Citigroup qui en a fait sa valeur préférée au sein des groupes multi-industriels.
Parmi les valeurs de second rang, l'opérateur d'oléoducs Kinder Morgan a bondi de 13,88% après avoir annoncé un plan de réduction de sa dette qui laisse espérer un dividende préservé, voire majoré.
Aux technologiques, le fabricant de puces Xilinx a bondi de 8,59% à 46,78 dollars après des résultats supérieurs aux attentes et sur fond de spéculations d'OPA, Qualcomm ou le chinois Tsinghua Holdings pouvant faire office de prédateurs selon les analystes de BMO. Lattice Semiconductor, également perçu comme une cible, a gagné 10,77%.
A la baisse, le groupe ferroviaire Union Pacific a perdu 3,55% à 71,00 dollars après des résultats et prévisions qui ont déçu les investisseurs. L'indice Dow Jones du transport ferroviaire a cédé 2,15% dans la foulée pour porter son recul à 12% depuis le début de l'année, conséquence de la baisse des cours des matières premières et des volumes de fret.
(Abhiram Nandakumar à Bangalore, Véronique Tison pour le service français)

 

La Bourse de New York a fini en hausse

jeudi 21 janvier 2016 22h09

 (Reuters) - La Bourse de New York a fini en hausse de 0,73% jeudi, l'indice Dow Jones gagnant 115,74 points à 15.882,48.
Le S&P-500, plus large, a repris 9,65 points, soit 0,52%, à 1.868,98.
Le Nasdaq Composite a fini stable de son côté, grignotant 0,37 point (0,01%) à 4.472,06.
(Ces données sont susceptibles de varier encore légèrement).

Le rouble poursuit sa glissade, nouveau plus bas record

jeudi 21 janvier 2016 19h45


MOSCOU (Reuters) - Le rouble a touché jeudi de nouveaux plus bas historiques pour la deuxième journée consécutive, ajoutant aux difficultés de l'économie russe déjà affaiblie par la chute des cours du pétrole et les sanctions occidentales imposées après le conflit en Ukraine.
La devise russe a enfoncé pour la première fois le seuil des 83 pour un dollar et reculé jusqu'à 86, sa plus forte baisse en une séance depuis près d'un an. Elle s'est reprise ensuite pour s'établir à 82,33, en hausse de 1,1% par rapport à la veille, en profitant d'un rebond des cours du brut.
Depuis 18 mois, le rouble a perdu quelque 60% de sa valeur, pénalisé par la baisse des cours du pétrole dont le pays est un important exportateur.
Le nouvel accès de faiblesse de la monnaie a amené la présidente de la Banque centrale de Russie, Elvira Nabiullina, a annulé son déplacement au Forum économique mondiale de Davos où elle devait participer vendredi à une table-ronde.
Mercredi, la banque centrale avait affirmé que l'affaiblissement du rouble avait un "caractère objectif" et se déroulait de manière ordonnée.
(Elena Fabritchnaïa et Oksana Kobzeva; Véronique Tison pour le service français)

 

La BCE reverra sa politique en mars face aux nouveaux risques

jeudi 21 janvier 2016 16h26

par Francesco Canepa et John O'Donnell
FRANCFORT (Reuters) - Les turbulences sur les marchés financiers et les inquiétudes suscitées par les pays émergents, Chine en tête, conduiront la Banque centrale européenne (BCE) à revoir sa politique monétaire en mars, a annoncé jeudi son président Mario Draghi, alimentant l'espoir de nouvelles mesures de soutien dans moins de deux mois.
L'euro a cédé du terrain face au dollar et les Bourses du Vieux Continent ont accentué leur progression après cette promesse, faite au cours d'une conférence de presse tenue après la réunion du Conseil des gouverneurs de la BCE, qui avait auparavant laissé ses taux directeurs inchangés.
La monnaie unique se traitait à 1,0840 dollar vers 14h50 GMT contre plus de 1,09 dollar en matinée. Au même moment, l'indice CAC 40 de la Bourse de Paris, qui a cédé plus de 10% en moins de trois semaines, regagnait 0,53% et l'EuroStoxx 50 0,75%.
Mario Draghi a également assuré que les taux devraient rester "à leurs niveaux actuels ou à des niveaux inférieurs pendant une période prolongée".
"Au commencement de la nouvelle année, les risques baissiers se sont encore accrus dans un contexte d'incertitude renforcée sur les perspectives de croissance des économies émergentes, sur la volatilité des marchés financiers et de matières premières et sur les risques géopolitiques", a-t-il expliqué.
"Il sera par conséquent nécessaire de revoir et éventuellement de reconsidérer l'orientation de notre politique monétaire lors de notre prochaine réunion, début mars lorsque de nouvelles projections par les équipes macroéconomiques seront disponibles."
Ces propos ont renforcé les anticipations par les marchés de mesures supplémentaires de soutien à l'issue de la prochaine réunion de politique monétaire, le 10 mars.
De nombreux analystes s'attendaient jusqu'à présent à une nouvelle réduction de 10 points de base du taux de dépôt, actuellement fixé à -0,30%, mais pas avant la réunion de juin.
En décembre, la BCE avait abaissé son taux de dépôt, pénalisant un peu plus les banques qui choisissent de déposer leurs liquidités auprès la banque centrale, et elle avait prolongé jusqu'en mars 2017 son programme d'achats de titres (principalement des emprunts d'Etat) sur les marchés.
"M. Draghi a clairement ouvert la porte à des initiatives dès la prochaine réunion en mars. Il a employé un ton préoccupé à propos de l'évolution de la situation mondiale et de son impact sur une inflation déjà anémique", a commenté Joe Manimbo, analyste senior de Western Union Business Solutions.
CONFIANCE AFFICHÉE SUR LES BANQUES
Défendant ces décisions, qui ont déçu les investisseurs, Mario Draghi a déclaré jeudi qu'elles étaient alors "tout à fait appropriées et efficaces", rappelant que la situation avait beaucoup évolué depuis, le prix du pétrole ayant chuté de 40% en un mois et demi.
Les prévisions économiques de décembre étaient fondées sur l'hypothèse d'un cours moyen du baril de 52,20 dollars cette année mais le Brent se traite actuellement sous les 28 dollars et sur les marchés à terme, même les contrats d'échéance 2022 s'échangent sous 50 dollars, signe qu'un rebond est jugé peu probable.
Mario Draghi a noté que la faiblesse des prix de l'énergie n'avait pas que des effets néfastes et qu'elle devrait soutenir la consommation et l'investissement.
La banque centrale est en fait confrontée à un dilemme: alors que la croissance reste limitée, la faiblesse des prix de l'énergie a commencé à se répercuter sur ceux des biens et des services, éloignant un peu plus l'inflation de l'objectif qu'elle s'est fixé, à savoir un taux inférieur à mais proche de 2%, au risque de compromettre la crédibilité de son action.
Mario Draghi a reconnu jeudi que les taux d'inflation devraient rester "très bas voire négatifs dans les prochains mois".
En dépit des turbulences des dernières semaines sur les marchés financiers, liées en grande partie au ralentissement de la croissance chinoise, il s'est montré relativement confiant dans la solidité des banques de la zone euro.
"Jusqu'à présent, nous avons observé qu'elles restaient assez résistantes", a-t-il dit. "Nous n'avons pas observé de risque d'instabilité comparable à celui que nous avions observé pendant la période précédant la crise."
Les cours des banques des pays dont les secteurs bancaires sont jugés les plus exposés aux créances douteuses souffrent d'un regain de défiance des investisseurs, provoqué par l'initiative de la BCE de demander à certains établissements des précisions sur leurs créances douteuses.
Ce mouvement a notamment affecté les valeurs bancaires italiennes, dont l'indice de référence a chuté de 24% depuis le début du mois. Il reprenait toutefois près de 5% jeudi après-midi.
(avec Balazs Koranyi et Frank Siebelt; Marc Angrand pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)


Bourses dans le monde/ Les Bourses européennes rebondissent, soutenues par la BCE
Paris - Les marchés européens se sont repris jeudi, au lendemain d'un plongeon, s'appuyant sur de nouvelles promesses du président de la Banque centrale européenne, qui a promis si nécessaire d'augmenter son soutien à l'activité dès le mois de mars.

Il sera nécessaire de réévaluer et peut-être revoir la politique monétaire lors de la prochaine réunion du conseil des gouverneurs, le 10 mars, a déclaré M. Draghi dont les propos ont aussitôt mis du baume au coeur des investisseurs.

Le marché a apprécié cette indication même si aucune annonce concrète n'a été faite, souligne Frédéric Rozier, conseiller de gestion chez Meeschaert Gestion Privée.

Selon lui, le discours de la BCE a été effectivement très accommodant mais il va falloir attendre la prochaine réunion prévue en mars pour en savoir plus.

A la clôture, Paris gagnait 1,97%, Londres 1,77% et Francfort 1,94%, tandis que Milan bondissait de 4,2%, portée par les valeurs bancaires, dont BMPS (Monte dei Paschi di Siena), qui s'envolait de 44% après trois séances de chute vertigineuse.

La BCE ne capitule pas et a le pouvoir, la volonté et la détermination d'agir pour remplir son mandat, à savoir ramener l'inflation en zone euro au niveau qu'elle souhaite, a martelé M. Draghi, alors que les prix ne décollent pas, notamment à cause de la baisse du cours du pétrole.

Après un mauvais début de semaine, Wall Street montait nettement jeudi à la mi-séance, aidée par des propos jugés encourageants de la Banque centrale européenne (BCE) et un rebond des cours pétroliers: le Dow Jones prenait 1,39% et le Nasdaq 1,05%.

Vers 17H00 GMT, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average gagnait 129,35 points à 15.986,09 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 46,86 points à 4.518,55 points.

- Le pétrole repart à la hausse -

Les cours du brut, tombés mercredi à leurs plus bas niveau depuis 12 ans et qui étaient de nouveau repartis à la baisse en Asie jeudi matin, repartaient en forte hausse en fin d'échanges européens, en dépit de l'augmentation plus forte qu'attendu des réserves américaines de brut la semaine dernière, les investisseurs préférant se réjouir de la baisse des stocks de produits distillés.

Vers 17H10 GMT (18H10 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 29,73 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,85 dollar par rapport à la clôture de mercredi.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour la même échéance, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, prenait 1,83 dollar à 30,18 dollars.

Depuis mi-2014, les cours se sont effondrés d'environ 70%, affectant sérieusement les économies émergentes et notamment les grands producteurs d'or noir du Golfe. 

- Plongeon historique du rouble -

Plus tôt dans la journée en Asie, les principales Bourses avaient de nouveau piqué du nez jeudi: malgré une ouverture en hausse, Tokyo a perdu 2,44% à la clôture, à l'instar de Hong Kong qui a reculé de 1,82%.

A Shanghai, au terme d'une séance en dents de scie, la Bourse a finalement chuté de 3,23% malgré des injections massives de liquidités par la banque centrale. Le marché est toujours affolé par le ralentissement persistant de l'économie chinoise, dont la croissance n'a atteint que 6,9% en 2015, sa plus faible depuis un quart de siècle.

En Russie,l'indice RTS a fini la journée en légère hausse, de 0,59%. Le rouble, après être passé mercredi sous son record des journées noires de décembre 2014, s'est enfoncé malgré une stabilisation en cours de journée des prix du baril de pétrole, principale source de revenus du pays avec le gaz, dont les cours suivent ceux de l'or noir.

Le dollar a bondi jusqu'à 85,99 roubles, du jamais vu depuis que les autorités russes ont retiré trois zéros à la monnaie pendant la banqueroute financière de 1998.

La Bourse de Sao Paulo affichait peu avant 18H00 GMT un gain de 0,61% tandis que celle de Buenos Aires, qui avait lourdement chuté mercredi, se reprenait en progressant de 4,43%.

bur-spi/ggy/boc/gib

BANCA MONTE DEI PASCHI DI SIENA


(©AFP / 21 janvier 2016 19h05)
http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=669138 
Serge Poznanski

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