jeudi 3 mars 2016

INFOS DE LA NUIT DU 2 AU 3 MARS 2016 ET AGENDA ECONOMIQUE du jeudi 3 mars

Le pétrole sans direction en Asie


Singapour - Les cours du pétrole hésitaient jeudi, partagés entre le bond des stocks de brut américain et le déclin de la production d'or noir aux Etats-Unis, à quoi s'ajoutent les espoirs d'une réduction concertée de l'offre des grands producteurs mondiaux.

Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en avril prenait cinq cents à 34,71 dollars vers 04H00 GMT.

Le baril de Brent de la mer du Nord, référence européenne du brut, pour livraison en mai, reculait de six cents à 36,87 dollars.

Je pense que le seul signe positif pour le marché en ce moment c'est la production de brut américain, a déclaré à l'AFP l'analyste chez Phillip Futures Daniel Ang. 

Quand on regarde ce recul, on se dit qu'on pourrait facilement assister à de nouvelles baisses, y compris de 500.000 barils par jour, a-t-il estimé.

Le ministère américain de l'Energie (DoE) a annoncé mercredi que la production avait reculé pour la sixième semaine de suite, se rapprochant par le haut du seuil des neuf millions de barils par jour (bj).

Le DoE a également annoncé un bond de plus de 10 millions de barils des réserves de brut, qui restent au plus haut depuis plus de 85 ans, et une hausse conséquente des réserves de produits comme le gazole ou le fioul.

Mais pour Daniel Ang, les investisseurs sont devenus indifférents par rapport à la hausse des stocks, indicateur de la morosité de la demande chez le plus grand consommateur de brut au monde.

Pour que les stocks baissent à plus long terme, il faut que la production baisse. Le marché regarde plus loin en ce moment, a-t-il assuré. 

Le marché, plombé depuis près de deux ans par la surabondance générale, a été relancé ces derniers temps par un accord sur un gel de l'offre entre l'Arabie saoudite, meneur de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), et Moscou, qui lui est extérieur, même si les marchés espèrent surtout une vraie baisse de la production. 

Les analystes doutent cependant que cela ait un impact véritable sur des cours inférieurs d'environ 70% de leurs sommets de la mi-2014.

Cela va être très difficile pour l'Opep de faire plus que, disons geler la production aux niveaux actuels, ce qui n'aura pas grande conséquence sur les marchés, a déclaré à l'AFP l'analyste chez CMC Markets Ric Spooner.

Mercredi à la clôture, le WTI a pris 26 cents à 34,66 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

A Londres, le Brent a gagné 12 cents à 36,93 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).


str/rc/ev/mda

INTERCONTINENTALEXCHANGE GROUP


(©AFP / 03 mars 2016 05h39)
http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=681890 

Wall Street hésite avant de finir en timide hausse

jeudi 3 mars 2016 06h00

 (Répétition sans changement d'une dépêche transmise mercredi)
* La tendance oscille avec les cours du pétrole
* L'énergie progresse, les matériaux reculent
* Une hausse des taux en mars jugée très peu probable
par Rodrigo Campos
NEW YORK, 3 mars (Reuters) - Wall Street a terminé mercredi en légère hausse une séance longtemps indécise, en raison notamment de la volatilité des cours du brut
L'indice Dow Jones a pris 34,24 points, soit 0,2%, à 16.899,32. Le Standard & Poor's 500, plus large, a gagné 8,10 points (0,41%) à 1.986,45 points et le Nasdaq Composite a progressé de 13,83 points (0,29%) à 4.703,42.
Le pétrole, dont les fluctuations influencent fortement la Bourse de New York depuis quelques mois, s'est d'abord orienté à la baisse suite à l'annonce d'une nouvelle hausse des stocks américains avant de se retourner à la hausse sur fond d'espoir d'un accord sur un gel de la production pour soutenir les prix.
Wall Street avait fini mardi en très forte hausse, remontant à son niveau de début janvier, à la faveur d'indicateurs supérieurs aux attentes attestant de la bonne tenue de la première économie mondiale.
"Le marché a été très nettement 'suracheté' hier", dit Jeffrey Saut, chargé de la stratégie investissements chez Raymond James Financial.
Le secteur privé aux Etats-Unis a créé 214.000 emplois en février, davantage que ce que prévoyaient les économistes, selon l'enquête mensuelle publiée mercredi par ADP, le spécialiste de l'externalisation de la gestion des ressources humaines.
Ces données, publiées conjointement par ADP et Moody's Analytics, paraissent deux jours avant la publication des chiffres officiels de l'emploi aux Etats-Unis qui portent à la fois sur le secteur privé et le secteur public.
LE DOLLAR EFFACE SES GAINS
Le marché a entendu en outre la Réserve fédérale dire que l'économie américaine avait continué de s'améliorer de début janvier à fin février, mais dans des conditions extrêmement variables en fonction des régions et des secteurs d'activité.
Les dépenses des ménages ont augmenté mais l'activité manufacturière a stagné et reste pénalisée par la vigueur du dollar, la faiblesse de la demande du secteur de l'énergie et des perspectives mondiales qui se dégradent, écrit la banque centrale dans son "livre beige" sur l'état de la conjoncture récente.
Ces signaux mitigés rendent peu probable une nouvelle hausse de taux lors de la prochaine réunion de politique monétaire de l'institution, les 15 et 16 mars.
La Fed a relevé ses taux en décembre, pour la première fois depuis près de 10 ans. Le calendrier qu'elle adoptera pour de prochaines hausses demeure incertain en raison notamment du ralentissement de l'économie mondiale, des turbulences sur les marchés financiers et de la faiblesse des pressions inflationnistes aux Etats-Unis.
Du côté des valeurs, le secteur des matériaux a été pénalisé par une chute de 7,77% pour Monsanto après que le premier producteur mondial de semences a réduit sensiblement ses prévisions de résultats 2016 en mettant en avant la vigueur du dollar et des pressions sur les prix.
La meilleure performance sectorielle est pour l'énergie, dont l'indice a pris 2,45%.
Sur le marché des changes, le dollar a d'abord progressé face au yen et à l'euro avant d'effacer ses gains, les traders doutant de plus en plus de la poursuite à court terme de la divergence entre les politiques monétaires des deux côtés de l'Atlantique.
Sur le front de la dette, la santé plutôt rassurante de l'économie américaine ranime l'appétit pour le risque et diminue l'attrait les valeurs refuge comme les Treasuries, dont les rendements progressent.
(Patrick Vignal pour le service français)

Chine/Indicateurs-La croissance du secteur des services rechute en février

jeudi 3 mars 2016 04h32

 (RPT)
PEKIN, 3 mars (Reuters) - Principaux indicateurs économiques chinois du mois:
* INDICE PMI CAIXIN DES SERVICES À 51,2 EN FÉVRIER
3 mars - La croissance dans le secteur des services a ralenti en février, alors qu'elle avait atteint son rythme le plus soutenu depuis six mois le mois précédent, montre une enquête publiée jeudi qui ajoute aux maux de l'économie chinoise.
L'indice Caixin-Markit des directeurs d'achat est retombé à 51,2 en février, après 52,4 en janvier.
Contrairement à l'indice du secteur manufacturier, il reste néanmoins en croissance et assez nettement au-dessus du plus bas de 17 mois atteint à 50,2 en décembre.
Le sous-indice mesurant les nouvelles affaires a lui aussi son coup de frein le plus net depuis quatre mois, passant de 52,9 en janvier à 51,7 le mois dernier.
En 2015, la contribution du secteur des services au PIB s'est élevée à 50,5%, dépassant la barre des 50% pour la première fois.
* INDICE PMI DU SECTEUR MANUFACTURIER A 49,0 EN FÉVRIER
1er mars - L'activité dans le secteur manufacturier s'est contractée en février pour le septième mois d'affilée, selon l'indice officiel des directeurs d'achats du secteur (PMI) publié mardi.
Il s'est établi à 49,0 en février contre 49,4 le mois précédent, en dessous de la barre des 50 qui sépare la croissance de la contraction sur une base mensuelle. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur 49,3.
L'indice PMI s'affiche à son plus bas niveau depuis novembre 2011, ce qui sous-entend que la situation économique continue de se détériorer en ce début 2016 malgré les récentes mesures de soutien de la Banque centrale.
La croissance économique chinoise a ralenti l'an dernier, à 6,9%, son niveau le plus faible depuis 25 ans.
* INDICE PMI CAIXIN-MARKIT MANUFACTURIER A 48,0 EN FÉVRIER
1er mars - L'activité manufacturière s'est contractée pour le douzième mois d'affilée en février, selon l'indice Caixin-Markit des directeurs d'achat (PMI) du secteur publié mardi.
Il s'est établi à 48,0, moins que les 48,4 de janvier et que les 48,3 attendus par les économistes. L'indice reste nettement en dessous de la barre de 50 qui sépare la croissance de la contraction sur une base mensuelle.
La composante de l'emploi a reculé à 46,0 contre 47,0 en janvier, au plus bas depuis janvier 2009/
L'enquête de Caixin-Markit est davantage centrée sur le secteur privé et les petites et moyennes entreprises.
* Pour retrouver les principaux indicateurs publiés en février: (Service économique)

Zone euro et FMI peinent toujours à s'accorder sur la Grèce

mercredi 2 mars 2016 17h45

par Jan Strupczewski
BRUXELLES (Reuters) - Les représentants de la zone euro et du Fonds monétaire international (FMI) en charge du dossier grec peinent à s'accorder sur les réformes qu'Athènes doit encore mettre en oeuvre, au risque de reporter le déblocage d'argent frais et le début des négociations sur l'allègement de la dette du pays, ont dit des responsables au fait du dossier.
Le Grèce est maintenue à flot depuis 2010 par une succession de plans de renflouement de la zone euro et du FMI qui ont déjà été en désaccord dans le passé sur les mesures à réclamer aux autorités grecques mais sont parvenus à aplanir leurs différends jusqu'à présent.
La perspective d'un troisième plan de sauvetage pour la Grèce a suscité des réserves au sein du FMI qui souhaite qu'il soit l'occasion de remettre le pays sur pied.
"Le principal problème maintenant est le désaccord entre les institutions (créancières), parce que cela va nuire à la crédibilité de toute solution", a dit un haut responsable. "Il faut qu'ils s'entendent et s'accordent sur un scénario et des mesures de politique" économique.
Les représentants de la zone euro et du FMI espèrent parvenir à un compromis sur la Grèce dans la semaine en vue de la réunion de l'Eurogroupe de lundi prochain. Des représentants de l'un et l'autre partie doivent se retrouver lors d'un dîner à Bruxelles mercredi pour débattre du sujet.
Tant qu'un accord n'est pas trouvé, il n'est pas possible de décider si Athènes a respecté les exigences initiales pour le déblocage de nouveaux prêts et la zone euro ne peut pas lancer les discussions sur un allègement de la dette qui permettrait de la rendre soutenable.
AUCUN REMBOURSEMENT MAJEUR AVANT JUILLET
La Grèce n'est confrontée à aucun remboursement majeur sur sa dette avant le mois de juillet, ce qui laisse amplement le temps à ses créanciers de trouver un compromis. Mais les discussions, qui traînent en longueur, risquent de miner la confiance des investisseurs.
"Si nous entrons maintenant dans un cycle pour savoir si cet examen (de la situation de la Grèce) sera mené à bien ou pas, cela entraînera le même genre d'incertitudes que celles que nous avons plus ou moins connues il y a un an... avec la perte de confiance et la fuite des capitaux", a dit un troisième responsable proche des créanciers.
Le différend porte principalement sur la nécessité pour Athènes de dégager un excédent budgétaire primaire, soit un excédent budgétaire hors charges de la dette, de 3,5% du produit intérieur brut en 2018 et de le maintenir à ce niveau afin de ne plus avoir à emprunter auprès des autres pays membres de la zone euro pour assurer sa solvabilité.
Les représentants du FMI ont une vision plus conservatrice que ceux de la zone euro des perspectives de croissance de l'économie grecque, sachant que l'expérience montre qu'Athènes a plutôt été en dessous des objectifs en la matière au cours des dernières années.
Le FMI considère que l'excédent primaire devrait être de l'ordre de 2% en 2018 avec les réformes actuellement proposées par Athènes sur la base d'une hypothèse de croissance d'environ un point de pourcentage inférieure aux prévisions de la zone euro. Pour le FMI, Athènes devrait en conséquence avoir un programme de réformes plus ambitieux, notamment dans le domaine le plus politiquement sensible, celui des retraites.
(avec Paul Taylor à Bruxelles et Gernot Heller à Berlin, Marc Joanny pour le service français, édité par Véronique Tison)

La BCE peut aller plus loin, dit Benoît Coeuré

mercredi 2 mars 2016 20h00

FRANCFORT (Reuters) - La Banque centrale européenne n'a pas atteint ses limites en matière de politique monétaire, a déclaré mercredi Benoît Coeuré, membre du directoire de l'institution.
Les marchés s'attendent à voir la BCE baisser à nouveau la semaine prochaine son taux de facilité de dépôt, déjà en territoire négatif, afin de tenter de faire remonter l'inflation dans la zone euro.
"Je ne dirais pas que la politique monétaire a atteint ses limites", a déclaré Benoît Coeuré en réponse à une question d'un député européen à Bruxelles.
"Mais je voudrais ajouter (...) que les autres politiques, en particulier les politiques budgétaires, peuvent contribuer à la croissance", a-t-il ajouté.
(Francesco Canepa; Patrick Vignal pour le service français)

L'économie américaine s'améliore, selon la Réserve fédérale

mercredi 2 mars 2016 20h37

WASHINGTON (Reuters) - L'économie américaine a continué de s'améliorer dans la plupart des districts de début janvier à fin février mais les conditions sont extrêmement variables en fonction des régions et des secteurs d'activité, déclare mercredi la Réserve fédérale.
Les dépenses des ménages ont augmenté mais l'activité manufacturière a stagné et reste pénalisée par la vigueur du dollar, la faiblesse de la demande du secteur de l'énergie et des perspectives mondiales qui se dégradent, écrit la banque centrale dans son "livre beige" sur l'état de la conjoncture récente.
La situation continue de s'améliorer sur le front de l'emploi mais les hausses de salaires varient "considérablement" d'une région à l'autre, dit encore la Fed.
Ces signaux mitigés rendent peu probable une nouvelle hausse de taux lors de la prochaine réunion de politique monétaire de l'institution, les 15 et 16 mars.
La Fed a relevé ses taux en décembre, pour la première fois depuis près de 10 ans. Le calendrier qu'elle adoptera pour de prochaines hausses demeure incertain en raison notamment du ralentissement de l'économie mondiale, des turbulences sur les marchés financiers et de la faiblesse des pressions inflationnistes aux Etats-Unis.
(Lindsay Dunsmuir; Patrick Vignal pour le service français)

Les Russes d'accord pour geler leur production de pétrole

mercredi 2 mars 2016 17h26

MOSCOU (Reuters) - Les producteurs russes de pétrole sont d'accord pour geler leur production de brut cette année à son niveau du mois de janvier afin de soutenir le marché, a déclaré mercredi le président Vladimir Poutine.
"Dans l'ensemble, nous sommes parvenus à un accord sur le maintien de la production (en 2016) au niveau de janvier", a-t-il dit lors d'une réunion du gouvernement au lendemain d'une rencontre avec les dirigeants des compagnies pétrolières du pays.
Le ministre russe de l'Energie, Alexandre Novak, avait négocié en février avec les représentants de trois pays de l'Opep, dont l'Arabie saoudite, un premier accord mondial depuis 15 ans sur le pétrole, les différentes parties cherchant ainsi à enrayer la chute de 70% des cours depuis leurs pics de juin 2014.
Ni Vladimir Poutine, ni Igor Setchine, le patron de la puissante compagnie pétrolière Rosneft, ne s'étaient encore exprimés publiquement sur cette initiative, laissant planer un doute sur les intentions d'une industrie pétrolière russe largement influencée par le Kremlin.
Selon des chiffres publiés mercredi par le ministère de l'Energie, la production russe est effectivement restée stable en février par rapport à janvier, à 10,88 millions de barils par jour - pratiquement son niveau le plus élevé depuis 30 ans.
Même après les propos de Vladimir Poutine, des incertitudes demeurent quant à la portée réelle de l'accord de Doha puisque l'Iran, tout juste de retour sur la scène internationale après des années d'isolement, entend bien relancer sa production.
"Il a été souligné qu'il fallait poursuivre le travail avec d'autres grands pays producteurs", a déclaré Dmitry Peskov, porte-parole du Kremlin, au sujet de la réunion d'hier avec les principales compagnies pétrolières du pays.
Alexandre Novak, le ministre de l'Energie, avait indiqué mardi que l'Iran pourrait faire l'objet d'un traitement à part compte tenu de sa situation particulière.
Il a ajouté que Moscou espérer qu'un accord final sur un gel interviendrait en mars lors d'une réunion élargie de pays producteurs.
Le produit intérieur brut de la Russie s'est contracté de 3,7% l'an dernier, en grande partie à cause de la chute des prix du brut. Le pétrole et le gaz naturel représentent à eux seuls la moitié du budget de l'Etat.
(Daria Korsounskaïa et Denis Pintchouk, Véronique Tison pour le service français)

AGENDA ECONOMIQUE du jeudi 3 mars

mercredi 2 mars 2016 18h09

 (Supprime les stocks des entreprises US)
    ** HEURE DE PARIS (GMT+1) **
 
    
 PARIS :
 - 07h30 Taux de chômage au sens du BIT / T4
 - 09h50 Indices PMI des services et composite / février
 - 10h50 Adjudication de 8,0 à 9,0 milliards d'euros d'OAT long terme, dont une
         nouvelle OAT 0,50% mai 2026 
    
 AMIENS, Somme :
 - Sommet franco-britannique 
    
 TOKYO :     
 - Indice PMI Markit des services / février
    
 PEKIN :     
 - Indice PMI Markit des services / février (définitif) 
    
 BERLIN :    
 - 09h55 Indice PMI Markit des services / février (définitif) 
     
 LONDRES :   
 - 10h00 Indice PMI Markit services en zone euro / février (définitif) 
 - 10h30 Indice PMI Markit des services / février
    
 BRUXELLES : 
 - 11h00 Ventes au détail en zone euro / janvier
    
 WASHINGTON :
 - 14h30 Inscriptions au chômage / semaine au 27 février
 - 14h30 Productivité, coûts du travail / T4 (révisé) 
 - 16h00 Indice ISM des services / février
    
 BRASILIA :

 - PIB / T4
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Serge Poznanski

1 commentaire:

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