L'euro
stable face au dollar dans l'attente des chiffres de l'emploi américain
Tokyo (awp/afp) - L'euro restait quasiment
stable vendredi face au dollar sur un marché prudent dans l'attente des
chiffres de l'emploi américain pour février qui seront publiés dans la journée.
Vers 07H00 GMT (08H00 HEC), l'euro, qui avait nettement progressé jeudi, s'effritait à 1,0950 dollar contre 1,0957 dollar la veille à 22H00 GMT (et 1,0865 dollar mercredi soir).
La monnaie unique européenne montait un petit peu face à la devise nippone, à 124,64 yens contre 124,56 yens jeudi soir.
Le dollar gagnait aussi un peu de terrain face à la monnaie japonaise, à 113,83 yens contre 113,69 yens la veille au soir.
Le peu de variation des taux de change s'explique par le fait que les opérateurs sont prudents dans l'attente de la publication des chiffres mensuels sur l'emploi aux Etats-Unis pour le mois de février, qui donneront une bonne indication sur l'évolution de la croissance de la première économie de la planète, soulignaient les opérateurs.
Les analystes prévoient en moyenne pour février la création de 190.000 emplois et un taux de chômage stable à 4,9%.
Ces statistiques de l'emploi interviennent dans le sillage de bons chiffres sur le front de la croissance américaine depuis le début de la semaine même si jeudi une série d'indicateurs plus mitigés ont été publiés aux Etats-Unis. Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont ainsi légèrement augmenté, alors que les analystes s'attendaient à une faible baisse.
"De nouveaux chiffres solides feraient beaucoup pour rassurer sur la santé de l'économie américaine et pourraient rehausser les attentes du marché quant à la possibilité d'un nouveau resserrement monétaire par la Réserve fédérale cette année", a relevé Omer Esiner, chez Commonwealth Foreign Exchange.
La Fed fait en effet de l'amélioration notable et pérenne de l'emploi et de l'accélération de l'inflation les deux éléments déclencheurs d'un resserrement monétaire.
Si en plus les chiffres de vendredi révèlent une progression du salaire horaire, "cela pourrait encourager le comité de politique monétaire à relever le loyer de l'argent, si la présidente Janet Yellen reste confiante dans les chances d'arriver à l'objectif de 2% d'inflation", a noté David Song, chez DailyFX.
Mais avec le mauvais début d'année sur les marchés financiers, "les conditions économiques mondiales agitées conduisent les marchés à penser qu'une hausse de taux est peu probable à court terme", rappelait Brenda Kelly, analyste chez London Capital Group.
Autre facteur de prudence sur le marché, la Banque centrale européenne (BCE) se réunira la semaine prochaine, et beaucoup attendent de nouvelles mesures d'assouplissement.
La BCE soutient déjà l'économie à hauteur de 60 milliards d'euros mensuels de rachats d'actifs, ce qui a pour effet collatéral de diluer la valeur de la monnaie unique. Toute extension de ce programme risquerait donc d'accentuer la pression sur l'euro.
Vers 07H00 GMT, la livre britannique était quasilent stable face à la monnaie européenne, à 77,33 pence pour un euro, et baissait un peu face au billet vert, à 1,4160 dollar pour une livre.
La devise suisse était en légère hausse face à l'euro, à 1,0860 franc pour un euro, ainsi que face au billet vert, à 0,9917 franc pour un dollar.
La monnaie chinoise progressait face au billet vert, s'affichant à 6,5231 yuans contre 6,5347 yuans pour un dollar à la fin des échanges jeudi à 15H30 GMT.
Cours de vendredi Cours de jeudi
-------------- --------------------
07H00 GMT 22H00 GMT
EUR/USD 1,0950 1,0957
EUR/JPY 124,64 124,56
EUR/CHF 1,0860 1,0873
EUR/GBP 0,7733 0,7730
USD/JPY 113,83 113,69
USD/CHF 0,9917 0,9924
GBP/USD 1,4160 1,4174
bur-pre/ggy
(AWP / 04.03.2016 08h19)
Vers 07H00 GMT (08H00 HEC), l'euro, qui avait nettement progressé jeudi, s'effritait à 1,0950 dollar contre 1,0957 dollar la veille à 22H00 GMT (et 1,0865 dollar mercredi soir).
La monnaie unique européenne montait un petit peu face à la devise nippone, à 124,64 yens contre 124,56 yens jeudi soir.
Le dollar gagnait aussi un peu de terrain face à la monnaie japonaise, à 113,83 yens contre 113,69 yens la veille au soir.
Le peu de variation des taux de change s'explique par le fait que les opérateurs sont prudents dans l'attente de la publication des chiffres mensuels sur l'emploi aux Etats-Unis pour le mois de février, qui donneront une bonne indication sur l'évolution de la croissance de la première économie de la planète, soulignaient les opérateurs.
Les analystes prévoient en moyenne pour février la création de 190.000 emplois et un taux de chômage stable à 4,9%.
Ces statistiques de l'emploi interviennent dans le sillage de bons chiffres sur le front de la croissance américaine depuis le début de la semaine même si jeudi une série d'indicateurs plus mitigés ont été publiés aux Etats-Unis. Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont ainsi légèrement augmenté, alors que les analystes s'attendaient à une faible baisse.
"De nouveaux chiffres solides feraient beaucoup pour rassurer sur la santé de l'économie américaine et pourraient rehausser les attentes du marché quant à la possibilité d'un nouveau resserrement monétaire par la Réserve fédérale cette année", a relevé Omer Esiner, chez Commonwealth Foreign Exchange.
La Fed fait en effet de l'amélioration notable et pérenne de l'emploi et de l'accélération de l'inflation les deux éléments déclencheurs d'un resserrement monétaire.
Si en plus les chiffres de vendredi révèlent une progression du salaire horaire, "cela pourrait encourager le comité de politique monétaire à relever le loyer de l'argent, si la présidente Janet Yellen reste confiante dans les chances d'arriver à l'objectif de 2% d'inflation", a noté David Song, chez DailyFX.
Mais avec le mauvais début d'année sur les marchés financiers, "les conditions économiques mondiales agitées conduisent les marchés à penser qu'une hausse de taux est peu probable à court terme", rappelait Brenda Kelly, analyste chez London Capital Group.
Autre facteur de prudence sur le marché, la Banque centrale européenne (BCE) se réunira la semaine prochaine, et beaucoup attendent de nouvelles mesures d'assouplissement.
La BCE soutient déjà l'économie à hauteur de 60 milliards d'euros mensuels de rachats d'actifs, ce qui a pour effet collatéral de diluer la valeur de la monnaie unique. Toute extension de ce programme risquerait donc d'accentuer la pression sur l'euro.
Vers 07H00 GMT, la livre britannique était quasilent stable face à la monnaie européenne, à 77,33 pence pour un euro, et baissait un peu face au billet vert, à 1,4160 dollar pour une livre.
La devise suisse était en légère hausse face à l'euro, à 1,0860 franc pour un euro, ainsi que face au billet vert, à 0,9917 franc pour un dollar.
La monnaie chinoise progressait face au billet vert, s'affichant à 6,5231 yuans contre 6,5347 yuans pour un dollar à la fin des échanges jeudi à 15H30 GMT.
Cours de vendredi Cours de jeudi
-------------- --------------------
07H00 GMT 22H00 GMT
EUR/USD 1,0950 1,0957
EUR/JPY 124,64 124,56
EUR/CHF 1,0860 1,0873
EUR/GBP 0,7733 0,7730
USD/JPY 113,83 113,69
USD/CHF 0,9917 0,9924
GBP/USD 1,4160 1,4174
bur-pre/ggy
(AWP / 04.03.2016 08h19)

Le
pétrole à la hausse en Asie
Singapour - Les cours du pétrole étaient orientés
à la hausse en Asie vendredi, après des déclarations du ministre nigérian du
Pétrole annonçant une prochaine réunion des producteurs de brut en Russie.
Les cours ont perdu plus de 60% depuis juin 2014, quand le
baril se négociait à 100 dollars, et ce en raison d'une offre largement
excédentaire, que ne parviennent plus à absorber des économies -notamment
chinoise- en plein ralentissement.
Tout indice d'une prochaine baisse de la production est
accueillie avec enthousiasme par les investisseurs.
Jeudi, le ministre nigérian du Pétrole Emmanuel Ibe Kachikwu
a indiqué selon l'agence Bloomberg qu'une réunion interviendrait le 20 mars et
prédit un mouvement spectaculaire des prix.
Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de light
sweet crude (WTI) pour livraison en avril prenait 24 cents à 34,81 dollars vers
04H00 GMT.
Le baril de Brent de la mer du Nord, référence européenne du
brut, pour livraison en mai, gagnait 11 cents 37,18 dollars.
Les deux contrats ont pris environ deux dollars depuis la
semaine dernière, en raison des espoirs d'une réduction de la production.
Si les grands producteurs comme l'Arabie saoudite, l'Iran,
l'Irak acceptent de geler la production, cela pourrait aider. Mais les fondamentaux
du marché restent globalement inchangés, a déclaré Bernard Aw, d'IG Markets
Singapour.
Le marché a été relancé ces derniers temps par un accord sur
un gel de l'offre entre l'Arabie saoudite, meneur de l'Organisation des pays
exportateurs de pétrole (Opep), et Moscou, qui lui est extérieur, même si les
marchés espèrent surtout une vraie baisse de la production.
Les cours bénéficient également du fait que le ministère
américain de l'Energie (DoE) ait annoncé que la production avait reculé pour la
sixième semaine consécutive, se rapprochant par le haut du seuil des neuf
millions de barils par jour (bj).
(©AFP / 04 mars 2016 05h40)
La Bourse de Tokyo finit
en légère hausse
vendredi
4 mars 2016 08h06
TOKYO (Reuters) - La
Bourse de Tokyo a bouclé vendredi une quatrième séance consécutive de hausse
après avoir passé toute la matinée légèrement dans le rouge dans un climat de
prudence à l'approche de la publication des chiffres de l'emploi aux Etats-Unis
au mois de février.
L'indice Nikkei a gagné
54,62 points, soit 0,32%, pour repasser la barre des 17.000 points, à
17.014,78. Le Topix, plus large, a pris 0,46% à 1.375,35.
Sur l'ensemble de la
semaine, le Nikkei progresse de 5,10%, enchaînant une troisième hausse
hebdomadaire de suite.
L'appétit des
investisseurs pour le risque a été émoussé par l'imminence de l'annonce des
statistiques de l'emploi américain, déterminantes pour le calendrier que
choisira la Réserve fédérale pour les hausses de taux à venir.
Du côté des valeurs, Sharp
a bondi de 9,42% suite à un article du Nikkei évoquant des avancées en vue du
rachat du groupe d'électronique par le taïwanais Foxconn, également appelé Hon
Hai Precision Industry.
(Joshua
Hunt; Patrick Vignal pour le service français, édité par Benoît Van
Overstraeten)
© Thomson
Reuters 2016 Tous droits réservés.
Hausse prudente à Wall
Street avant les chiffres de l'emploi
jeudi
3 mars 2016 22h43
par Noel Randewich
NEW YORK (Reuters) - Wall
Street a fini en légère hausse jeudi sous la conduite des banques et des
valeurs de l'énergie qui ont poursuivi leur redressement récent dans le sillage
des cours du pétrole, permettant à l'indice Standard & Poor's de revenir à
son meilleur niveau depuis deux mois.
La séance a été plus
hésitante toutefois, nombre d'investisseurs préférant rester sur la touche à la
veille de la statistique mensuelle de l'emploi toujours déterminante pour
l'évolution des taux d'intérêt de la Réserve fédérale.
L'indice Dow Jones des 30
grandes valeurs a pris 44,58 points, soit 0,26%, à 16.943,90 et le S&P-500,
plus large, a gagné 6,95 points ou 0,35% à 1.993,40. Le Nasdaq Composite a de
son côté grignoté 4,00 points (0,09%) à 4.707,42 après avoir passé l'essentiel
de la séance dans le rouge.
La progression modeste du
S&P-500 fait suite à quatre semaines de rebond qui ont permis à l'indice de
limiter sa perte à 2,5% depuis le début de l'année, contre plus de 10% à la fin
du mois de janvier.
"On reste sur un beau
parcours grâce à la stabilisation des cours du pétrole et à des données
macro-économiques positives", commente Art Hogan, stratège chez Wunderlich
Securities à New York. "Aujourd'hui les investisseurs sont restés en mode
d'attente à la veille des chiffres de l'emploi, et on a aussi eu des prises de
bénéfice."
La statistique des
créations d'emplois non agricoles de février sera publiée une heure avant
l'ouverture vendredi. Les économistes tablent en moyenne sur un solde net de
190.000 postes créés, contre 151.000 en janvier, ce qui confirmerait la
résilience du marché du travail et conforterait le scénario d'une remontée
progressive des taux de la Fed cette année.
Pour autant, les
indicateurs du jour ont montré que la Fed, dont la prochaine réunion de politique
monétaire aura lieu les 15 et 16 mars, devrait rester prudente. Les
inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté alors qu'elles étaient
attendues en baisse, et l'enquête ISM sur le secteur des services a montré une
contraction de l'emploi pour la première fois en deux ans.
"La probabilité d'une
hausse des taux de la Fed en mars est très faible", dit Jeff Powell,
directeur général de Polaris Greystone Financial Group.
JOY GLOBAL TIRE CATERPILLAR
Huit des dix grands
indices sectoriels S&P-500 ont fini en hausse, seuls ceux de la santé et
des technologiques échouant à revenir en territoire positif. Johnson &
Johnson, en repli de 0,4%, et Microsoft (-1,1%) ont notamment pesé sur leur
indice respectif.
L'indice de l'énergie, en
hausse de 1,28%, a réalisé la meilleure performance dans la foulée des cours du
pétrole qui restaient bien orientés au moment de la clôture, après un violent
rebond de quelque 35% en moins de deux mois.
L'indice des financières a
pris de son côté 0,63%.
Parmi les valeurs en vue,
le constructeur d'équipements pour l'industrie minière Joy Global a bondi de
20,8% à 16,09 dollars après avoir soulagé les investisseurs en maintenant ses
prévisions de résultats pour 2016. Dans la foulée, Caterpillar a pris 3,42%
pour signer la meilleure performance du Dow Jones.
SolarCity, le spécialiste
de l'énergie solaire, a aussi brillé avec un gain de 15,6%, à 22,49 dollars,
sur des rumeurs selon lesquelles l'entrepreneur Elon Musk, actionnaire à
hauteur de 22,3%, pourrait racheter la totalité du groupe et le retirer de la
cote.
Staples, le géant des
fournitures de bureau, a gagné 1,75% à la veille de la publication de ses
résultats.
A la baisse, le
distributeur Kroger a chuté de 7% à 37,80 dollars. Le groupe de supermarchés,
propriétaire des enseignes Ralphs, Smith's et Food E Less, a publié un bénéfice
trimestriel meilleur que prévu mais la hausse de 3,7% de ses ventes à périmètre
comparable a déçu les analystes.
Dans la pharmacie, Valeant
a lâché 3,8% à 64,89 dollars après l'annonce du départ de sa vice-présidente
exécutive Deb Jorn. Le groupe canadien coté sur le NYSE a dû préciser qu'elle
démissionnait pour raisons personnelles et que ce départ n'avait aucun lien
avec l'enquête en cours de la SEC, le gendarme de Wall Street, sur la
comptabilisation des ventes d'une de ses filiales.
Aux technologiques,
Hewlett-Packard Enterprise a cédé 2,2% avant la publication, à la clôture, de
ses premiers résultats trimestriels depuis sa séparation de HP en novembre.
(avec
Tanya Agrawal à Bangalore, Véronique Tison pour le service français)
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Le Dow Jones gagne 0,26%
à la clôture, le Nasdaq grignote 0,09%
jeudi
3 mars 2016 22h05
NEW YORK (Reuters) - La
Bourse de New York a fini en hausse de 0,26% jeudi, l'indice Dow Jones gagnant
44,24 points à 16.943,56.
Le Standard &
Poor's-500, plus large, a pris 6,94 points, soit 0,35%, à 1.993,39.
Le Nasdaq Composite a
avancé de son côté de 4,00 points (0,09%) à 4.707,42.
(Ces données sont
susceptibles de varier encore légèrement).
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Les Bourses européennes
clôturent sur une baisse modérée
jeudi
3 mars 2016 18h16
PARIS (Reuters) - Les
Bourses européennes on terminé jeudi en baisse modérée, pénalisées par les
secteurs de la chimie et de la pharmacie dans un environnement global apaisé
par des indicateurs rassurants et un sursaut du pétrole.
Les cours du brut, dont
les oscillations provoquent des remous sur les marchés actions, sont orientés à
la hausse dans l'espoir d'un accord entre producteurs pour soutenir les prix.
Le chimiste allemand
Evonik a pesé sur la tendance en reculant de près de 12% après avoir révisé à
la baisse ses prévisions de bénéfice.
Les groupes
pharmaceutiques ont également souffert, à l'image de Roche (-4,66%) et de
Sanofi (-2,47%) après l'abaissement par Moody's de sa perspective pour
l'ensemble du secteur, de "positive" à "stable". L'indice européen des valeurs pharmaceutiques a abandonné
2,43%.
À Paris, l'indice CAC 40 a
cédé 0,2% (8,81 points) à 4.416,08 points. À Francfort, le Dax a reculé de
0,25% et à Londres, le FTSE a perdu 0,27%. L'EuroStoxx 50 de la zone euro a
abandonné 0,31% et l'indice paneuropéen FTSEurofirst 300, qui restait sur cinq
séances consécutives de hausse, a fléchi de 0,56% en clôture.
Les Bourses européennes,
en léger repli en début de séance, ont été rassurées un temps par les données
définitives du PMI en Europe, qui montrent certes un ralentissement de la
croissance mais pas aussi marqué que redouté. Et les ventes au détail dans la
zone euro ont augmenté plus que prévu.
La cote a surtout été
soutenue par l'indice regroupant les valeurs européennes liées aux matières
premières, qui a gagné 1,44%, la plus forte hausse sectorielle en Europe, dans
la foulée du pic de trois mois atteint par le cours du cuivre.
Glencore (+5,61%) et
ArcelorMittal (+3,14%) figurent parmi les plus fortes hausses de l'indice Stoxx
600.
La plus forte hausse de
l'Eurofirst 300 est pour Telecom Italia, qui a bondi de 5,67% sur des
informations faisant état d'une rencontre entre Vivendi et des candidats
potentiels au remplacement éventuel de l'actuel administrateur délégué de
l'opérateur.
Sur le marché des changes,
le dollar recule face à un panier de devises de référence et notamment face à
l'euro, qui se traite autour de 1,0952 dollar vers 17h00 GMT.
A l'heure de la clôture en
Europe, Wall Street évolue légèrement à la baisse dans un marché prudent à la
veille de la publication des chiffres de l'emploi aux Etats-Unis au mois de
février. Des données robustes laisseraient la porte ouverte à de nouvelles
hausses de taux par la Réserve fédérale cette année.
(Patrick
Vignal pour le service français)
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Reuters 2016 Tous droits réservés.
Serge Poznanski
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